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Tout ce qui a été posté par Suyvel
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Lorsque je récolte mes ressources d'herboriste, il existerait l'ombre d'un soupçon d'un début d'une possibilité hypothétique que je rate un coup.... paraît-il, cela n'a jamais été prouvé. Le message qui apparaîtrait alors serait celui-ci: Trop maladroit, vous ratez votre coups. Comme il n'y a qu'un coup de raté, le 's' me semble de trop. J'ignore si les autres professions ont le même message et la même faute...?A vérifier. "‹EDIT Keril : corrigé
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Un beau jour, ou peut-être une nuit... je sortais de l'auberge de Melrath Zorac, reposée de mes précédentes pérégrinations. L'air était vif, il faisait beau, et la neige, abondante cette année, semblait nous accorder une trêve. J'allais pour quitter la ville lorsque je remarquai un personnage à l'allure ronde et bonhomme. Sa tenue rouge doublée de fourrure blanche ne laissait guère de doute quant à son identité, et une foultitude d'images issues de mon enfance vinrent brièvement m'envahir l'esprit. Quoi? Le Père Noí«l, ici, à MZ? Au beau milieu de ces terres déchirées par une guerre perpétuelle? Et puis que pouvait-il bien faire ici, les bras ballants? Quelque peu interloquée par cette vision inattendue, je me décidai néanmoins à l'aborder. "Bonjour... îtes-vous le Père Noí«l?" Il me sembla que cette question était parfaitement ridicule, mais l'auguste personnage n'éclata pas de rire. Non. En fait, il avait l'air bien trop soucieux pour cela. C'est donc le plus gravement du monde qu'il me répondit: "Oui, c'est bien moi. - Oh. Et bien... je suis très heureuse de vous rencontrer enfin. Moi qui croyais que vous n'étiez qu'une légende... Et je suis surprise de voir ici, quelque peu désœuvré, alors que Noí«l approche..." Je n'eus pas le temps de finir ma phrase que le Père Noí«l éclatait en sanglots! Au milieu de ses hoquets, il me livra la raison de son désespoir. "Je devrais être en train de préparer ma tournée... Mais voilà, mes lutins, mes indispensables petites mains laborieuses, n'ont pas trouvé meilleure idée que de se mettre en grève! Comment vais-je livrer tous mes cadeaux? Il va falloir tout annuler cette année..." Annuler Noí«l?! L'idée me frappa comme une boule de neige en plein visage. En beaucoup plus froid. "Enfin, vous ne pouvez pas faire une chose pareille? Pensez aux enfants, à leur déception... Il faut absolument ramener vos lutins à la raison! Quelle est la raison de cette grève sauvage, au juste? - Ils trouvent qu'ils sont surchargés de travail toute l'année... Du coup, ils ont décidé de prendre des vacances. - DES VACANCES?!? Mais ce n'est pas le moment! m'écriai-je avec une mauvaise foi en or massif. - Oui, c'est ce que je leur ai dit... Mais ils sont partis quand même. Et depuis, je les cherche un peu partout. Et je n'en ai même pas trouvé un seul! (sanglots) - Ils sont ici, sur ces terres? Alors il doit bien avoir moyen de retrouver ces petits lâcheurs... - Oui, quelques personnes que j'ai croisées m'ont dit qu'elles me ramèneraient les lutins qu'elles rencontreraient. Résultat, j'attends ici, au cas où... - Très bien alors organisons-nous. Je pars à leur recherche. De votre côté, vous restez ici pour réceptionner les lutins éventuellement capturés, et pour trouver des volontaires..." Je m'arrêtai là car, connaissant un peu la population locale, je me dis en mon for intérieur que faire plaisir au Père Noí«l n'allait pas constituer une motivation suffisante pour un certain nombre d'entre eux. "Peut-être vous serait-il possible de proposer une récompense à ceux que vous croiserez? - Bien sûr, faire des cadeaux, c'est mon boulot. Je donnerai une liste pour chaque lutin qui me sera ramené. - Une liste de cadeaux? Oui, ça doit pouvoir marcher... Très bien, faites comme ça; moi, je me mets en route. A bientôt!" J'arpentai donc les routes et les chemins de MZ, battant la campagne, résolue à trouver un maximum de ces petits saboteurs de festivités. Je pensai en trouver un grand nombre et me mis à réfléchir à la façon d'en transporter beaucoup, mon sac risquant d'être vite rempli. Une charrette, peut-être? Mais où pouvait-on acheter ça ici? Plusieurs heures et quelques ampoules aux pieds plus tard, je m'assis sur le bord d'un chemin, presque découragée. J'étais éreintée et bredouille. La chasse au lutin n'avait rien d'une partie de plaisir, ces petits roublards avaient l'ouïe fine et s'y entendaient en camouflage. Je comprenais mieux que le Père Noí«l n'en ait pas retrouvé un, même lui qui les connaît bien. Il allait falloir penser à me rentrer, mais j'avais honte à l'idée de me présenter les mains vides. J'en étais là, perdue dans mes amères réflexions, lorsqu'une voix proche me fit sursauter. "Belle journée pour prendre le soleil, n'est-ce pas?" Je me retournais brusquement et vis, derrière les roseaux, un tout petit homme qui se prélassait sur un transat. Pas frileux, vu la saison, songeai-je. Il portait sur le nez un objet bizarre, fait de tiges de métal fin et de deux disques sombres et translucides que je n'identifiai pas. A moins que... non?! Des écailles polies de dragon? Mais comment s'en procurer? J'avais bien ouï parler d'aventuriers assez puissants pour terrasser ces bêtes fabuleuses mais personnellement, je m'imaginais difficilement expliquer à ces monstres au souffle dévastateur que, si ça ne les dérangeait pas, j'aurais besoin de leur arracher quelques écailles... Le petit homme devait avoir de sacrées relations. "Oui, heu... bonjour. Enfin, je ne prends pas de bain de soleil, en fait. Je faisais juste une pause. - Mais l'un n'empêche pas l'autre. Regardez-moi: je bronze et je fais une pause. Une pause d'au moins un mois! Ah ahaha ha ha! D'ailleurs, mademoiselle la géante, pourriez-vous vous écarter un peu? Votre ombre est aussi encombrante que vous." Je m'écartai machinalement, absorbée par ce que je voyais. Un homme minuscule, le transat, la pause d'un mois... Lorsque les pièces du puzzle s'assemblèrent dans mon esprit, je crus que le déclic allait s'entendre à plusieurs lieues à la ronde. "Dites-moi, vous ne seriez pas un des lutins du Père Noí«l? - Précisément, précisément! Douée pour les devinettes, hein? Comment y avez-vous pensé, vu que j'avais enlevé l'uniforme de ma profession?" J'évitai de répondre "ben, le transat, bien sûr" (mais seulement de justesse) et changeai de sujet: "Dites-moi, étant donné l'époque, je n'aurais pas cru que vous seriez en congé..." Une entrée en matière remarquable de maladresse. Immédiatement, le lutin se redressa, remonté comme une horloge. "Ouais, et alors? Ça vous dérange, vous aussi? J'ai des comptes à vous rendre, peut-être? - Non, du tout, fis-je penaude, déconfite par autant de férocité dans un si petit être. Mais votre employeur a certainement son mot à dire, lui..." Lorsque je mets un pied dans le plat, il paraît que j'ai tendance à mettre l'autre dedans juste après. Mais, bien sûr, ceux qui disent ça sont rien que des mauvaises langues. Malheureusement, le lutin semblait leur avoir parlé. "Quoi? Ce vieux tyran? Et puis quoi encore? Il nous exploite à longueur d'année, aucun salaire, aucun avantage, et il faudrait en plus qu'on l'écoute? Dites donc, vous ne seriez pas un de ces indigènes cupides qu'il a embauchés pour retrouver les grévistes? - Non non, voyons, quelle idée... (il paraît que j'ai aussi tendance à mentir même lorsque je suis prise en flagrant délit, mais ça le lutin semblait l'ignorer, ouf!) - Son mot à dire? Ah! Et nous alors, rien? Jamais on ne nous écoute! Même pas le droit de se plaindre! Alors cette fois-ci, ras le bonnet! On va l'obliger à nous écouter! Lorsqu'il aura compris qu'il ne peut rien faire sans nous, que Noí«l aura été un fiasco retentissant, on négociera les conditions de travail. Et là il les sentira passer, nos revendications! - Vous voulez que Noí«l soit un fiasco cette année? - Ouaip! Puissant comme idée, hein? - Mais... c'est horrible! - Quoi? Vous allez me dire qu'on n'a pas le droit de faire ça, vous allez nous culpabiliser et tout? Oubliez ça! On ne cédera pas! Même à la force! Même si on nous enchaînait à notre poste de travail, on se contenterait de ne rien faire! Marre!" Là, ça devenait compliqué. Si les lutins étaient prêts à tout... Le Père Noí«l m'avait dit de ne pas hésiter à leur appliquer un horion au sommet de leurs petits crânes de cabochards, mais à quoi cela servirait-il? S'ils refusaient de reprendre le travail, à quoi bon les ramener? J'entendais déjà Kronan me répondre "ben après, c'est son problème, au vieux croûton" (oui, le problème des barbares, outre l'irrespect qui les caractérise, c'est d'avoir du mal à envisager l'avenir au-delà d'une limite de, disons, cinq minutes). Mais j'aurais voulu sincèrement aider le Père Noí«l à débloquer la situation. Comment faire? Pendant ce temps, le lutin, ayant le verbe facile comme ceux de sa race en général, continuait de soliloquer. "... et puis Noí«l, c'est totalement dépassé comme concept. Récompenser par des cadeaux les gentils enfants, y a pas plus démodé. Et puis quels gentils enfants, d'abord? On voit bien ce qu'ils deviennent quand ils grandissent. Des héros? Bah! Pensez donc! Les héros ont tous disparu depuis longtemps..." Là, j'aurais voulu réagir, m'indigner, le détromper... mais en repensant à la population du coin, j'avais du mal à le contredire. "... les gosses, quelle plaie de nos jours. Y en a pas un pour rattraper l'autre. Tous criards, colériques, avides, égoïstes... - Égoïstes?! C'est vraiment ce que tu crois? - Ça oui alors! C'est une certitude! - Alors permets-moi de te raconter une histoire. Et si elle te fait changer d'avis sur les enfants, accepterais-tu de reporter ta grève après Noí«l? - Ah! Changer d'avis sur les enfants? Aucune chance! Mais je dis chiche. Et si je ne change pas d'avis? - Alors je te laisserai à ton bain de soleil et à tes revendications, et je m'en irai pacifiquement. - Vendu! En plus, j'adore les histoires. Je t'écoute! - Il était une fois (oui, il paraît que les bonnes histoires commencent toujours par ces quatre mots, alors dans le doute, hein...) une petite fille qui attendait impatiemment Noí«l. Elle avait passé la journée à préparer des gâteaux. Pas pour elle, non. Pour le Père Noí«l. Et un grand bol de lait, qu'elle ferait chauffer au dernier moment, avant d'aller se coucher. Parce qu'il faisait froid dehors, et elle savait que le Père Noí«l avait beaucoup de travail et une longue route à faire. Oui, elle attendait impatiemment le soir de Noí«l, parce qu'elle voulait demander un cadeau très précis au Père Noí«l. Et qu'il n'y avait que lui qui pourrait le lui donner, ça elle en était sûre. Cette petite fille vivait seule avec son papa. Elle ne savait pas pourquoi, elle n'avait pas de maman. Elle voyait bien que les autres enfants avaient un papa et une maman, et elle non. Son papa lui avait dit que sa maman - dont elle ne se rappelait pas du tout - était tombée très malade lorsqu'elle était encore bébé, et qu'elle était partie pour toujours. Elle avait demandé pourquoi, si c'était de sa faute, mais son papa lui avait promis que non, maman les aimait très fort tous les deux, mais qu'elle n'avait pas eu le choix. Et elle était partie. La petite fille avait dit à son papa qu'elle irait la chercher, pour qu'elle revienne auprès d'eux. Mais son papa lui avait dit que personne ne pourrait la faire revenir. Alors la petite fille se tourna vers celui en qui elle avait toute confiance: le Père Noí«l. Cette année, elle lui demanderait un cadeau particulier: qu'il lui ramène sa maman. Car elle savait qu'il avait le pouvoir d'exaucer tous les souhaits des enfants. Année après année, il lui avait apporté tous les cadeaux qu'elle avait demandés. Elle était sûre que lui serait capable de lui ramener sa maman. Pour elle-même? C'aurait été bien compréhensible. Rien ne remplace une maman, surtout pour une petite fille. Malgré cela, ce n'était pas à elle qu'elle pensait en demandant ce cadeau au Père Noí«l. Car sa maman manquait encore plus à son papa. Des fois, la petite fille avait vu son papa, se croyant seul, soupirer devant le portrait de sa maman. Et parfois, il était si triste qu'il se mettait à pleurer. La petite fille avait compris que l'absence de sa maman lui déchirait le coeur. Alors la petite fille avait su ce qu'elle allait demander au Père Noí«l: que son papa ne soit plus triste. Parce qu'elle aimait par-dessus tout son papa. Et Noí«l passa. Elle eut des cadeaux, mais celui qui lui tenait vraiment à coeur, non. Fut-elle en colère? Perdit-elle espoir? Non. Noí«l après Noí«l, elle continua de demander la même chose au Père Noí«l. Parce que rien n'ébranlait sa confiance en celui qui lui avait toujours apporté ce qu'elle voulait. Elle se dit que cela prendrait sans doute plus de temps, que c'était plus compliqué, même pour quelqu'un comme lui. Et chaque année, elle continua à lui préparer des gâteaux et son bol de lait chaud." Le lutin, visiblement ému, tira un mouchoir aussi grand que lui-même était petit, et se moucha de façon si retentissante qu'il aurait fait fuir une meute de tortogriffes. "Tu vois, lutin, c'est en cela que Noí«l est si important: il aide les enfants à devenir meilleurs. Et qui y a-t-il de plus important que d'aider les enfants à bien grandir? Tu disais tout-à-l'heure que notre époque ne comptait plus de vrais héros. Et bien moi, je crois que tu travailles pour l'un des derniers, et je t'envie... - Merci à toi. Je crois que j'avais oublié le vrai sens de cette fête. Et ton histoire m'a vraiment fait changer d'avis sur les enfants... - Tiendras-tu parole? - Oui, bien sûr! Noí«l doit avoir lieu, tu m'as convaincu. Et pour nos conditions de travail, on en reparlera avec le boss en janvier... Allez hop, en route! Dis, demoiselle aux longues jambes, pourrais-tu m'emmener? Tu marches plus vite et tu dois savoir où se trouve le patron. - Si je peux aider... allez, grimpe!" Je lui tendis la main et, en un éclair, il grimpa le long de mon bras pour venir s'asseoir sur mon épaule. Et nous voici de retour à MZ, devant le Père Noí«l. "Ah vous voilà! Et vous me ramenez un de ces sacripants! - Celui-là a fait amende honorable, et je pense qu'il vous aidera à convaincre les autres de reprendre le travail. Enfin, si on les retrouve, parce que ce n'est pas évident... - Oh, pour cela, j'ai avancé de mon côté. J'ai trouvé beaucoup de volontaires et certains m'ont déjà ramené plusieurs de mes lutins!" Des volontaires à la pelle? Voilà assurément une bonne nouvelle, et surprenante ici. Après tout, l'esprit de Noí«l soufflait peut-être vraiment sur ces terres... Mais quelque chose me chiffonnait encore. Je me tournai vers le lutin et lui demandai: "Au fait, qui a eu l'idée de se mettre en vacances juste avant Noí«l? L'un d'entre vous? - En vérité... non, avoua le lutin. C'est un des Ténébreux qui nous a soufflé cette idée." - Un Ténébreux? Jamais entendu parler. - M'étonne pas. Ils sont plus que discrets. Mais nous lutins voyons beaucoup de choses, ils ne peuvent se cacher de nous. Et on les a baptisé de ce nom qui leur va bien. - Et que veulent-ils? - Eux? Mystère. Ils se contentent de donner des idées aux gens. Ils sont à l'origine de beaucoup d'évènements ici, et pas toujours des plus agréables. Par exemple, qu'est-ce qui a décidé Fargol à attaquer MZ? Vous croyez que l'idée venait de lui? Non... c'était un Ténébreux qui l'en a convaincu! - Mais dans quel objectif? Et qui sont-ils? - Dans quel but? Je l'ignore. Ainsi que leur identité réelle. Mais ils aiment manifestement manipuler les autres et ils y excellent. Même nous, sachant cela, nous avons prêté une oreille complaisante aux propos de l'un d'entre eux. Faut dire qu'ils ont fait des cadeaux , aussi... - Les écailles de dragon? - Les...? Ah oui, les lunettes de soleil. Effectivement, elles viennent d'eux. C'est une sorte de secte, je crois. Ah oui, ils se sont appelés eux-mêmes: les Admins. Finalement, cette histoire de grève semblait cacher d'autres choses, plus graves sans doute... Une secte... Y avait-il un rapport avec les mystérieux individus aperçus récemment sur les toits de la ville, ou dans ses alentours? Ils étaient le sujet de beaucoup de rumeurs, mais personne ne semblait rien savoir à leur sujet. Les Admins... amis ou ennemis? Ou plus compliqué que cela, peut-être... Tôt ou tard, il faudrait lever le voile sur cette secte, les démasquer ou révéler leurs vrais objectifs. Sans doute quelqu'un s'y intéresserait et chercherait des volontaires pour percer ce mystère. Une future quête, peut-être...? Je pris congé du Père Noí«l et de son lutin, mais alors que je m'éloignais déjà, ce dernier m'interpella: "Hé, mademoiselle la géante, juste une question! - Oui, monsieur le moustique? - Je repensais à ton histoire. La petite fille... c'était toi, n'est-ce pas?" Fin.
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Aujourd'hui, deux nouveaux équipements à proposer à la vente! C'est le Père Nowell qui va être content. J'ai mis à jour la liste en conséquence.
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J'avais remarqué que la bulle d'aide du bouton servant à se déconnecter indiquait "déconnection" au lieu de déconnexion. (il s'agit du bouton parmi les 10 placés sur le bandeau supérieur, qui est présent à l'écran en permanence) "‹EDIT Keril : corrigé
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J'ai un nouvel équipement à proposer à la vente. J'ai mis à jour la liste en conséquence.
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Salut à tous! Je propose à la vente les équipements suivants: Chausses de féérie (niveau 36) Prix magasin: 1300 PO Mon prix: 975 PO Vendues à Mythras Gants d'enchantement (niveau 38) Prix magasin: 2000 PO Mon prix: 1500 PO Vendus à Mythras Boule de divination (niveau 40) Prix magasin: 2500 PO Mon prix: 1875 PO Vendue à Nenwende Tunique d'illumination (niveau 42) Prix magasin: 3000 PO Mon prix: 2250 PO Vendue à Patafruit Bracelet d'enchantement (niveau 44) Prix magasin: 3500 PO Mon prix: 2625 PO Vendu à Patafruit Diadème d'enchantement (niveau 48) Prix magasin: 4500 PO Mon prix: 3375 PO Vendu à Patafruit Chausses de prière (niveau 52) Prix magasin: 5500 PO Mon prix: 4125 PO Vendu à Mythras Gants de prière (niveau 54) Prix en magasin: 6000 PO Mon prix: 4500 PO Vendus à Mythras Orbe de prière (niveau 58) Prix en magasin: 8000 PO Mon prix: 6000 PO Vendue à Mythras Tunique de prière (niveau 62) Prix en magasin: 10.000 PO Mon prix: 7500 PO Vendue à Mythras Bracelet de prière (niveau 66) Prix en magasin: 12.000 PO Mon prix: 9000 PO Vendu à Thewhitewizard Coiffe de prière (niveau 70) Prix en magasin: 15.000 PO Mon prix: 11.500 PO Vendue à Mythras Orbe de l'envoûtement (niveau 82) Prix en magasin: 19.000 PO Mon prix: 14.500 PO Vendu à Asinus Bottes d'esbroufe (niveau 75) Prix en magasin: 16.000 PO Mon prix: 12.000 PO Vendues au magasin de location Gants ponceau (niveau 78) Prix en magasin: 18.000 PO Mon prix: 13.500 PO Vendus au magasin de location Je vends à tous, toutes factions confondues (exception faite de ceux qui m'ont déjà tapé dessus! ). Livraison sur MZ ou au marais. Merci de m'envoyer un message dans le jeu.
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[vente][MZ] Matos magicien petit et moyen niveau
topic a répondu à Suyvel dans Vitrine de la boutique
Salut, Si le pendentif de mage (lvl 50) est toujours disponible, cela m'intéresse. Pourrais-tu me le réserver?