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Tout ce qui a été posté par Keril Cahendirr
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La fatigue est justement là pour pallier l'absence de compteur entre deux attaques. A chacun de la gérer selon son bon vouloir.
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Avec les diminutions successives, la perte d'xp suite à une mort par joueur a été divisée pratiquement par 3 depuis le début du jeu, ce qui me parait déjà considérable. Il ne faut donc pas espérer que ça évolue à ce niveau, les ajustements se feront ailleurs.
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(Lehed) Le nécromant s'avançait prudemment vers le lieu ou se reposaient les deux compagnons et s'arrêta devant la sortie de la clairière. Il ne savait que faire, il hésitait entre attendre les cavaliers du Comte ou se laisser attirer par ses envies de sang. D'ailleurs il était cruel, et c'est cette cruauté qui lui avait permit de devenir au fil du temps le meilleur assassin du Comte... *** De son côté L'homme commençait à s'assoupir, il rêvassait en regardant la femme, elle avait l'air de dormir si profondément, si bien, qu'il aurait aimé en faire de même. Pour lutter contre ce sommeil, il se leva et regarda autour de lui, il ne vit rien d'autre que quelques chauve-souris virevolter sous les quelques rayons de lune, qui arrivaient à transpercer la forêt. Puis il se rappela le sac que le rôdeur avait laissé, et la curiosité l'emplit, il ne savait pas ce qu'il contenait, et ses questionnements grandissaient peu à peu... *** Décidé, le nécromant avançait lentement et sans faire de bruit, il évitait toutes branches ou feuillages pouvant indiquer sa présence, et restait la plupart du temps dans l'ombre, le rendant presque invisible dans sa tenue sombre... Il ne se trouvait maintenant qu'à une centaine de mètres des deux compères...
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Pour apporter quelques précisions, il n'y a pas une mais trois auberges disponibles pour le moment et d'autres part le jeu n'est pas figé, on essaie de l'améliorer un peu tous les jours en écoutant vos commentaires. Par contre je ne tolère pas l'irrespect.
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Mes excuses je n'ai pas pu revenir aux commandes à l'heure. Les luttes sont lancées.
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Les 20 minutes ne se cumulent pas
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Si, il y a bien une erreur que je vais corriger "l'aide que tu as apportée à ma soeur" tu apportes quoi ? -> l'aide COD placé avant le verbe (apporter) donc on accorde -> apportée
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La phrase d'attaque impossible est générale à plusieurs attaques ratées donc pas nominative. Quant à la durée je ne la trouve pas excessive, sachant que l'attaque n'est réussie que si l'ont touche exactement la case de la cible.
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(Eliyane) « Squeeeck. » Un magnifique écureuil au pelage brun roux lustré jaillit subitement du buisson. Avec un grommellement le guerrier rengaina son arme tandis que, la femme poussait un petit cri de ravissement soulagé. « Rien qu'un bête écureuil ... grmbll ... toute cette histoire me met les nerfs en pelote. _ A moi de même, mais je pense que nous sommes maintenant hors d'atteinte du Comte. _ Peut être bien ... mais votre ami a pris la tangente semble-t-il. _ Laisse-le courir, nous avons le sac voici le principal. N'est ce pas qu'il est adorable ? _ Ce pleutre ? Cette charogne ? Ma foi ... _ Je parlais de ce magnifique animal, il a un regard intelligent ... presque ... humain. » Nouveau grommellement du guerrier sur la frivolité féminine. « Cet endroit est aussi bon qu'un autre pour s'y reposer un instant ... dressons là notre camp, on repartira au matin. _ Bonne idée ! Je monte la garde, dormez ma Dame, vous me relayerez plus tard. » Après un rapide repas de viande séchée afin de ne pas faire de feu, la femme s'endort rapidement, laissant le guerrier veiller seul, adossé à un arbre, la lame en travers des genoux. Nul ne remarque un discret mouvement dans les branches d'un arbre qui s'en va en sautillant de branche en branche. L'écureuil finit par s'arrêter au bout d'une dizaine de minutes et descend dans la clairière qui s'étend. Le petit animal, prudent, progresse pas à pas, puis, intrigué, scrute la clarté lunaire qui jette un éclairage blafard sur les lieux. Avec des couinements subitement affolés, l'écureuil se roule par terre, agité de spasmes qui déforment son corps. La brume envahie la clairière alors que l'animal enfle et dans un écœurant bruit de déchirement laisse soudain place à un homme titubant, recouvert du sang de la pauvre bête. Reprenant son souffle, haletant, le nécromant se redresse, chassant d'un revers négligeant de la main les reliefs de l'écureuil. Une voix d'outre-tombe fend le silence appesanti. « Monseigneur Comte, je les ai retrouvés. »
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On en discute entre nous pour le moment.
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C'est fait
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Je remets les points sur les i. C'est un post sérieux donc toute autre réponse inadéquate sera supprimée.
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On a d'autres priorité.
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Tu la crées sans l'apostrophe et je changerai le nom ensuite.
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Là je veux du positif pour le moment ;-)
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Pour mieux faire connaitre TdE nous allons vous solliciter car rien ne vaut l'avis de ceux qui font vivre le jeu au jour le jour. Toutes les bonnes volontés peuvent écrire un texte (agrémenté de dessins ou impressions d'écran) racontant ce que vous appréciez sur TdE. Ces textes nous serviront à étoffer un éventuel "dossier de presse" donc n'hésitez pas à être exhaustifs. Vous pouvez écrire en réponse à ce post ou par mail à contact @ terre-des-elements.net Merci
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Pas de souci a priori
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Dell ? oui c'est vrai qu'ils font du bon matériel
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(Amelyhenry (aaricia )) Le rôdeur, qui n'avait pas encore fini son récit prit peur, mais il ne pouvait pas abandonner ses « amis » ... Oh et puis, pourquoi pas ? Ce ne sont que des collègues qu'il ne voit que lors de missions très dangereuses ..., partir, rester ? Que faire ? L'autre homme avançait de plus en plus vers les bruits suspects ... Mais il ne semblait pas avoir peur. Il scrutait l'obscurité, mais ne voyait rien, il entendit le rôdeur derrière lui, que faisait-il ? Il lui chuchota : « Oh, tu viens à mes cotés, au cas où ... » pas de réponse ... La femme, elle, restait près des affaires, le sac du rôdeur qu'il n'avait pas encore voulu ouvrir devait contenir des objets importants ... Et ses affaires à elle, elle en avait besoin, elle ne s'en était pas encombrée pour rien ... Elle sortit sa dague, elle était bien coiffée pour une fois mais elle ne louperait pas le plaisir de se battre, allez, l'autre dague dans l'autre main pour la route. Il entendit l'appel de l'homme mais ne répondit pas, il réfléchissait « Partir, rester ? Et ma mission ? Je l'ai remplie, je n'ai pas fini mon récit, et alors ? Ils ont le sac, je n'ai plus qu'à glisser la lettre dans la main de la belle demoiselle, oui, la BELLE demoiselle, qu'elle est belle, non, non Marc, tu ne vas pas rester que pour une femme, une fille même ... Non, je trouverai une demoiselle autre part, ce sera moins dangereux. Allez mon p'tit Marc on s'en va ... ». En même temps que de penser cette phrase, il partit en courant dans l'autre sens en oubliant totalement la lettre. A une centaine de mètres de leur lieu de camp, il y repensa mais ne fit pas demi-tour. « Ils comprendront sans la lettre tant pis, je n'ai qu'à disparaitre un petit moment comme ça le chef oubliera que j'ai mal fait mon travail, j'ai la moitié de la récompense c'est déjà ça » il mit la main dans sa poche, là où se trouvait l'or que leur employeur lui avait donné, il devra faire très attention, sinon ... « Bon qu'est ce que tu fais ? ... » Il l'entendit partir en courant, « voila maintenant, ils savent qu'on est là » pensa-t-il. Il y eut encore du bruit, mis à part les bruits de « l'abruti qui s'est enfui comme un froussard » La femme écoutait attentivement pour savoir ce que c'était, elle n'arrivait pas à reconnaitre ce bruit, ou c'était un animal ou un homme très fort ... Il ne fait pas le même bruit qu'un homme normal ... Mais qui est-ce ? Un bruit plus fort, l'homme réussit à repérer d'où venait le bruit, il se demanda si ce n'était pas le rôdeur qui revenait, impossible, le rôdeur fait le même bruit qu'un bœuf, là c'est un bruit léger ... Un troisième bruit, c'est bon, ils savent au centimètre près où est l'individu ... Ils se sont compris, 3, 2, 1 Go, ils se jettent sur leur « proie » ...
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(Faust) Les trois compagnons étaient dorénavant réunis, le rôdeur lui était exténué de la route parcourue pour rejoindre les deux autres. Son voyage avait été long et pénible, pourchassé par les sbires du comte à de nombreuses reprises. Ses chausses se trouvaient trouées de toutes parts, sa cape était déchirée en plusieurs endroits par ses fuites incessantes dans la forêt afin de brouiller les pistes. Son veston était lui usé plus que de raison. Le visage crispé il commença à raconter les informations qu'il avait pu récupérer. La conversation fût vite écourtée par le bruit d'un craquement de branche à quelques mètres du campement de fortune. La visibilité devenue bien trop faible la tension était à son comble, totalement impossible de voir la chose qui arrivait. La situation stagnant l'homme sorti son épée de son fourreau et commença à avancer dans l'obscurité des bois.
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Je modifierai ça bientôt
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(Jean) L'homme sorti son épée du fourreau pour être prêt, en cas de besoin, à pouvoir riposter. Pendant ce temps, sa consœur essayait tant bien que mal de repérer d'où le bruit aurait bien pu venir. Elle aperçut quelque chose se mouvant au loin dans la forêt. Une silhouette était perceptible, semblant venir à leur rencontre. Son attitude semblait suggérer qu'il ne s'agissait pas d'une menace. Mais la prudence était de mise, car cela pouvait être un piège tendu par les sbires du Comte. Au fur et à mesure que l'ombre approchait, on pouvait distinguer la carrure de cet inconnu. Son corps semblait de carrure assez svelte, il ne pouvait être celui d'un guerrier lourdement armé, mais ressemblait plutôt à celui d'un rôdeur. Il semblait porter avec peine un sac très lourd qu'il trainait par terre, sans se soucier du bruit que cela engendrait. La femme se mit à sourire et dit à son compagnon : « Range ton épée, je connais ce bougre. Il s'agit de l'ami auquel j'ai demandé de recueillir des informations sur le Comte, afin de trouver son repère. »
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Comme ton argent en banque tu retrouveras le tout de l'autre côté.
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(Arkantose) Allongés sur leurs chevaux pour ne pas perdre de vitesse, les deux fuyards ne prirent pas la peine de se retourner aux cris des poursuivants, sachant très bien de quoi il retournait. Les jambes des cavaliers se collaient aux flancs des chevaux dégoulinants de sueur, la peur des cavaliers se calmait petit à petit mais les chevaux eux continuaient leurs courses folles ; complètement affolés par les hurlements provenant de derrière eux. Lorsque la visibilité se fit insuffisante, ils quittèrent les chemins pour s'enfoncer dans un lieu où montures et cavaliers pourraient prendre un repos bien mérité. Installant un campement spartiate, les deux compagnons s'allongèrent pour dormir sans allumer de feu pour ne pas se faire repérer, instaurant un tour de garde, même ainsi installé au milieu de nulle part, l'ennemi pourrait les retrouver ... Bientôt l'homme s'endormit, et elle se glissa lentement vers ses fontes pour vérifier leurs contenus, ne faisant pas encore totalement confiance à son compagnon. Tout était là, heureusement, hélas cela ne suffisait pas, comment après avoir été pris de cours allait-elle accomplir sa mission. *Maudit employeur, pensa-t-elle, heureusement que le cachet vaut les risques pris.* Elle se m'y à rêver à ce qu'elle ferait une fois toute cette histoire réglée. *Cette fois c'est sûr, je me retire de la profession.* Sur cette pensée elle entendit une branche craquer, tendant l'oreille elle se rendit compte « qu'on » approchait. Elle ramassa une pierre au sol et l'envoya sur son coéquipier pour le réveiller, remettant bien vite ses affaires dans ses fontes elle se saisit d'un couteau en attendant l'arrivée de l'inconnu. Son collègue se leva bien vite, habitué à ce genre de situation, là dans le noir, dos à dos, les deux attendirent.
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La période de Noí«l étant terminée, nous voici de retour avec l'affichage classique. Cependant afin de le rendre plus agréable nous avons traduit un certain nombre de boutons et remplacé les icônes pour mieux distinguer les sujets comportant de nouveaux messages (merci à Ara).