Salaha Luvia

Que certains aient gagné un niveau, on s'en moque un peu (et vu l'Xp gagné sur les orcs cela peut se comprendre). Ce qui pose problème c'est que des THL aient mis à profit ce bug pour chain-kill des joueurs encore bridés. Comme les points de résurection étaient assez éloignés, certains se sont retrouvés bloqués en nécropole (et ce malgré les distributions fréquentes de PE). C'est le seul point noir de la soirée. D'ailleurs, avec un level proche du bridage ou en n'attaquant que les monstres, le bug n'était pas visible pour celui qui le "subissait". Puisque le PvE n'était pas bridé, continuer à taper les orcs après avoir "perdu le bridage" n'avait également aucune incidence. Pour ce qui est de savoir s'il y a eu ou non exploitation de faille, seuls les admins sont à même de voir / juger qui a profité du bug en connaissance de cause. Et, si tel est le cas, des excuses de ces joueurs seraient sans doute bienvenues. En attendant peut-être vaudrait-il mieux fermer ce post qui n'a pour effet que d'envenimer une situation déjà tendue.

2, Période Pluvia, 105 AC, L'aube se levait à peine sur la forêt d'Irliscia. Les quatre soleils illuminaient peu à peu la terre des Elfes. Au sud, une jeune magicienne quittait l'auberge du port de pêche. Comme tous les matins cette dernière semaine, Salaha s'en allait inspecter les murailles orcs. Elle longeait la plage pour arriver à l'extrémité du camp Ouest. Là, derrière une tortue des sables aux dimensions peu commune se tenaient les hauts remparts. Sortant du sable comme de l'eau, les pierres s'élevaient en une barrière infranchissable. Le seul art des maçons n'avait pu rendre si solide ces murs si vite bâtis. D'autant que les orcs étaient loin d'être des génies. Non, il y avait une puissante magie là-dessous. Elle en avait eu la certitude lors de sa rencontre avec le Seigneur Noir. Depuis, elle n'osait même plus prononcer son nom. Il fallait sans doute être fou pour chercher passage vers Son campement. Pourtant, elle ne renoncerait pas. Si cette région tombait entre Ses mains ténébreuses, Melrath Zorac suivrait de peu. Quitte à mourir demain, autant que ce soit en se dressant sur Son chemin. Elle s'approcha de la muraille invulnérable. Pas la moindre fissure ne se dessinait sur la large enceinte. Elle poursuivit vers le nord son observation quotidienne. Aucun Orc à l'horizon, ils se cachaient en leur terrier. Elle reprit alors sa route vers le camp Est. La forêt était encore déserte à cette heure matinale. Un étrange silence y régnait pourtant. Qu'était devenu le doux chant des oiseaux ? Où se cachaient les multiples insectes bourdonnants ? Quelque chose n'allait pas. La magicienne accéléra le pas. Elle approchait de l'ancien cimetière quand un cri se fit entendre. Bondissant de nulle part, Iltiah, princesse des Sirathiens, brisa le silence de sa voix glacée. "Sus aux Orcs et à leur maître Rebom ! Nous allons écraser cette vermine et les refouler à la mer." Les cors orcs ne tardèrent pas à faire écho à cet appel. Du sud vint une armée comme peu en avait vue. Par centaine les Orcs envahirent la plaine déserte. Salaha déglutit. Un sentiment de solitude s'empara de son être comme l'effroi gagnait son cœur. La peur au ventre elle recula. D'où sortait cette multitude ? Comment ces chiens avaient-ils pu se terrer en un camp si petit ? Derrière elle, des voix s'élevèrent bientôt. Encouragés par Iltiah, les humains se rassemblaient... pour mieux se diviser. Si un jour l'Humanité fut unie sous une même bannière, ce temps était depuis longtemps révolu. Déchirés par leurs croyances en un passé plus proche, ils l'étaient maintenant par leurs convictions. Ainsi, alors que les pieux se dressaient avec courage devant l'armée des ténèbres, les vils aiguisaient leurs couteaux pour les prendre à revers. Cette bataille n'opposerait pas les Hommes aux Orcs mais les alliés des Elfes aux serviteurs de Rebom. Salaha se souvenait de lointaines lectures où les ennemis se faisaient front avant l'ultime combat. Il n'y eut rien de tel en ce sinistre jour. Les épées heurtèrent les boucliers sans que nulle menace ne soit formulée. En un désordre à faire pâlir le Chaos lui-même, les flèches fendirent l'air. Magie blanche et noire s'entremêlèrent au sein de la mêlée. On ne distingua bientôt plus ennemis et alliés. Les combattants s'éparpillaient, tantôt traquant tantôt fuyant. Ils ne luttaient plus pour une quelconque cause, mais pour sauver leurs vies. Dans cette sanglante anarchie, trébuchets et catapultes vinrent imposer un silence mortel. Les Himms cachaient quelques surprises sous leurs casques. Les armes de sièges ravagèrent l'ancien cimetière, ne laissant devant elles que des marres de sang. Quelques courageux se lancèrent à leur assaut, pendant que les âmes malchanceuses étaient confiées au soin de la Recycleuse. Les machines furent réduites en cendre, mais d'autres déjà pointaient à l'horizon. Plus nombreux, mieux armés, les Orcs gagnaient du terrain. Le désespoir se lisait sur les visages des derniers défenseurs de ces terres. Même les plus braves s'interrogeaient sur leur chance de tenir face au noir fléau. Une fois encore, la voix d'Iltiah s'éleva dans les airs. Couvrant le vacarme des affrontements, elle vint réchauffer les cœurs vaillants. Plus encore, les menaces futiles d'un Orc au ton nasillard galvanisèrent les alliés des Elfes. "Vous n'avez plus d'avenir, joignez vous à notre maître Rebom ! Si vous voulez vivre !" A cette simple phrase, les doutes s'effacèrent pour laisser place à une rage infinie. Pensait-il corrompre si facilement les fidèles de Melrath-Zorac ? Soumettre par la peur les combattants aguerris qui se tenaient devant lui ? En cet instant, tous virent Iltiah s'élancer vers la muraille des Orcs en un ultime effort. Ceux qui le purent la suivirent en sa course folle. Sous leur assaut désespéré, le mur s'effondra en un vacarme assourdissant. La brèche était ouverte, le sort s'inversait. Par son courage sans faille la princesse Sirathienne venait de repousser les combats vers le sud. Se frayant un chemin au milieu des cadavres, Salaha luttait pour atteindre le campement ennemi. Quand elle arriva enfin au pied du mur, il était scindé en son milieu. Derrière, le combat se poursuivait entre les tentes du Clan des Himms. Passant les barils d'explosifs et les barricades encore debout, elle rejoignit la nouvelle ligne de front. Ironiquement, les Orcs étaient moins nombreux par là. Le plus gros de l'armée avait quitté les grottes pour envahir le Nord. Usant de ses sortilèges, elle se ménagea un passage dans les rangs ennemis. Elle traversa ainsi la place forte pour se heurter à un autre mur. Loin d'être aussi stupide que Ses serviteurs, le Seigneur Noir avait fait dresser plusieurs enceintes. Combien de Ses créatures ce cachaient-elles encore derrière cette barrière ? Le rapport de force s'inversant, les peaux vertes disparurent peu à peu. Si certains s'en sortirent vivants, ils détalèrent plus vite que le vent. Comme la matinée s'achevait le silence reprit ses droits en la plaine dévastée. Comme beaucoup, la jeune magicienne prit le chemin de l'auberge. épuisée par une lutte acharnée, elle ne comptait plus ses passages à la lisière du Royaume des Morts. Quelle folie l'habitait d'ainsi risquer sa vie ? Peut-être valait-il mieux ne pas trop y penser. Une autre question occupait son esprit. Qu'était devenue la grande Princesse de Sirath ? Et dire qu'elle l'avait prise pour une rôdeuse démoniaque... Alors que la bataille prenait fin, de nouveaux affrontements se dessinaient déjà à l'horizon. Rebom ne manquait pas de pantins pour servir ses desseins. Mais combien d'êtres s'opposeraient encore à sa domination ? Chaque jour, Irliscia semblait compter de moins en moins de défenseurs. L'Humanité courrait-elle à sa perte ?

Question en rapport avec la dernière animation : Etait-ce voulu que l'on ne puisse pas attaquer le chef de Himms (Phokus) alors que Iltiah était, elle, vulénarble aux coups des joueurs alliés aux orcs ? Se faire frapper par un PNJ sans pouvoir riposter c'est assez frustrant... Si ce n'était pas un bug, pourquoi avoir laissé "Admin, vous ne pouvez pas attaquez un admin" (pas sûre de l'exactitude de la phrase) dans sa description ? Que le PNJ soit intouchable pour éviter une modification du scenario, à la limite ça peut se comprendre, mais la petite phrase "admin" portait vraiment à confusion. Du coup on ne se méfiait pas du tout de lui jusqu'au moment où il nous envoyait faire un passage par la nécropole.

J'inaugure avec deux screens se réfèrant à l'animation du 26 mars. La rencontre avec Rebom relatée dans mon Rp : Et l'issue de la course poursuite à travers bois : Malheureusement les remparts étaient intouchables... et le campement avait un peu trop de points pour être détruit en solitaire et à 3 cases.

Passe un coup de balai. Le problème est toujours présent et ce quelque soit la qualité de la connexion. C'est assez embêtant...

22, Période Braisa, 105 AC, Assise sur son lit en son humble chaumière, la jeune magicienne regardait les nombreuses copies éparpillées sur sa couverture. Elle les fixait depuis vingt bonnes minutes déjà, incapable de se résigner. Elle les avait cherchés ces maudits morceaux, plus que de raison. Elle en avait connu des échecs, quelques réussites aussi. Elle pensait à tous ces indices, ces énigmes, ces situations improbables, parfois gênantes... Elle en avait suivi des pistes, connu des déconvenues. De faux espoirs en désespoir, elle avait été à deux doigts de renoncer. Puis maître Le Loir s'était montré plus bavard. Alors elle avait repris du poil de la bête. Sans hésiter, elle avait foncé, tête baissée, s'engager dans la 36ème. Son plus grand succès, sans nul doute. Mais voilà que la fin lui échappait. Trente-trois parchemins, pas un de plus pas un de moins. La tâche demeurait inachevée, toutefois sa recherche devait s'arrêter là. Il incombait à d'autres de terminer le travail qu'elle avait commencé. Il était temps de tourner la page. Le jour était venu de reprendre une autre voie, trop longtemps délaissée. En un coin de son esprit, des questions demeuraient sans réponses. Cela n'avait que trop duré. Pourtant, quelque chose la retenait. Un arrière goût amer lui restait au fond de la gorge à contempler cette carte incomplète. Par l'Unique, quel besoin avait-elle de toujours vouloir poser la dernière pierre ? La carte serait assemblée. Peut-être l'était-elle déjà. N'était-ce pas là tout ce qui comptait ? Quelle importance que ce soit par sa main ou une autre ? Elle avait fait son devoir envers ces terres, et sa faction. Elle avait fait de son mieux. - Alors pourquoi ai-je l'impression d'abandonner ? Elle soupira. Quel choix avait-elle ? Le trente-quatrième morceau s'était refusé à elle. Elle s'était pourtant montrée polie, autant que les autres. Mais si eux avaient réussi, ses mains à elle étaient restées désespérément vides. Quel Dieu avait-elle pu offenser ? A bien y penser, surement plus d'un. Quelle importance... Elle ne pouvait récupérer seule le trente-cinquième bout de papier. Oui ce n'était rien de plus que des bouts de papier. En outre, Iso ne lâcherait point le 36 si elle ne lui présentait pas le 35. C'était sans issue, et inutile. Puisque d'autres s'en occupaient déjà. Voilà, la tâche était terminée, la carte complète. - Ou elle le sera bientôt. Par elle, ou par ses compagnons de route, cela importait peu. Elle fit en sorte de s'en convaincre, rassembla les parchemins et les posa négligemment sur une étagère de sa bibliothèque. Là, ils pourraient prendre la poussière avec tous ces livres qu'elle n'ouvrait plus... comme son vieux journal, ou encore ce grimoire du magicien débutant acheté pour trois sous en une boutique d'Aqua. Elle délaissa ces vieux souvenirs qui n'avaient de valeur qu'à ses yeux, et sortit. Quelques minutes plus tard, elle empruntait le passage qui menait du village au bastion du Souffle. Sans se retourner, elle poursuivit jusqu'à l'ancienne carrière. Là elle trouva l'entrée de la grotte du Léviathan, devenue familière avec le temps. Au bout du tunnel l'attendait l'Académie. Là, se tenait sans doute une bibliothèque à la hauteur de ses attentes. Elle espérait juste que la porte lui serait ouverte.

26, Période Braisa, 105 AC, La nuit régnait en maîtresse absolue en ces heures indues. Pourtant, loin d'être désertes, les rues de la capitale se peuplaient peu à peu. Quelque rumeur avait tiré du lit les curieux de la contrée. Quelque menace avait réveillé les fidèles défenseurs de la cité. La vieille déjà, une troupe de courageux soldats avait pris la route du Sud. Où se rendaient-ils ? Tous semblaient encore l'ignorer. Toutefois, la foule grandissait près de l'auberge de Melrath Zorac. Des groupes se formaient de ci de là. Alors l'annonce résonna parmi les êtres assemblés. Les portes de la forêt des Elfes venaient de s'ouvrir. Irliscia, menacée, appelait à l'aide. Qui répondrait ? La jeune magicienne avait regagné Melrath Zorac la veille. Un vague sentiment d'urgence l'avait arrêtée sur la route pour l'Académie. Plus qu'une impression, quelques mots échangés avec de vieilles connaissances l'avaient persuadée de revenir sur ses pas. Ses recherches devraient attendre encore un peu. Quelque mauvais présage planait sur le Sud. Sa curiosité l'y attirait déjà. Elle était arrivée juste à temps pour voir la colonne des soldats s'enfoncer dans les bois. Elle n'avait pu les suivre toutefois. Le passage était demeuré fermé à ses yeux non initiés. Mais l'heure était venue maintenant. Elle suivit le flot des aventuriers qui se hâtaient vers la Porte Sud. Bientôt ils furent en vue des bois. Des arbres gigantesques en barraient l'entrée. Les plus habiles à la hache tentaient déjà d'ouvrir un passage. Etait-ce là la solution ? Les Elfes ne seraient-ils pas outrés de les voir ainsi ravager leur forêt ? Elle n'eut guère le temps de trancher la question. Les géants s'effondrèrent sur le sol verdoyant, libérant l'accès à la foule enthousiaste. Dans toute cette pagaille, on distinguait à peine les blasons. Aussi la plupart des combattants demeurait calme, repoussant l'heure des combats. Ils attendraient sans doute d'avoir rejoint une zone plus dégagée. A l'orée d'Irliscia, pressés les uns contre les autres dans la nuit noire, les humains ne pouvaient distinguer ennemis et alliés. Le passage se dégagea peu à peu, les visiteurs s'éparpillaient en cette contrée inconnue. D'aucun partait en exploration, d'autres parlaient de conquête. Salaha préféra s'éloigner de la foule avant que l'inévitable bataille n'éclate. Elle se précipita à travers le premier bosquet venu. Elle se retrouva ainsi en une paisible clairière où trônait une fontaine d'eau pure. Voilà à quoi devait ressembler la terre des Elfes... un lieu paisible et féérique. Elle se laissa aller à quelque rêverie, avant de se rappeler que cette paix était menacée. Mais où se trouvait cette menace ? Les soldats avaient dit au Sud, sur les plages. Oui, ils avaient parlé de bateaux. Elle poursuivit son chemin en cette direction. La forêt s'avéra aussi dangereuse qu'elle était belle. La magicienne l'apprit à ses dépens quand une hydre lui souffla son poison. Comment un lieu si magnifique pouvait-il abriter un tel monstre ? La bête ne semblait pas d'humeur à répondre. L'aqueuse reprit donc sa route, avec plus de méfiance cette fois. Elle finit par rejoindre la mer. Mais toujours aucun orc à l'horizon... Sa promenade, devenue périple, la mena plus à l'Est. Non loin des plages, elle trouva le campement des fidèles hommes de la garde. Ils lui indiquèrent sans mal les positions avancées des envahisseurs. Elle fut surprise par la hauteur des fortifications que ces créatures avaient déjà pu bâtir. Derrière un mur infranchissable se tenait l'avant-garde d'une armée redoutable. C'est en tout cas ce qu'on lui expliqua. De ces ennemis, elle ne distinguait que quelques casques. Peut-être était-il possible de contourner les fortifications, à défaut de pouvoir les franchir ? Alors qu'elle étudiait cette solution, remontant vers le nord, l'atmosphère se glaça autour d'elle. Une rumeur d'outre-tombe monta de derrière les remparts. Une ombre se profila du haut des créneaux. Là, deux yeux rouges luisaient dans le noir. A côté d'elle, un homme murmura « Rebom ». Ce simple nom suffit à faire trembler tous les présents. Salaha ignorait tout de cet être qui se terrait là. Pourtant ce nom lui sembla familier. L'avait-elle lu en un ouvrage de la bibliothèque ? Ou était-ce ailleurs ? Comme les humains reprenaient leurs esprits Rebom bougea. Il se faufila à travers les remparts, sans que nul ne puisse dire par où il était sorti. Il vint narguer les soldats jusque dans leur campement, puis il disparut dans les bois. Un groupe de courageux se lança à sa poursuite. La magicienne était des leurs. Courant à travers la forêt, se heurtant aux arbres qui semblaient vouloir les ralentir, ils butèrent sur les falaises du nord. Longeant la roche, leur ennemi se fraya un chemin vers l'Est. Sans jamais pouvoir l'atteindre, ils le suivirent sans relâche. A travers un ancien cimetière, luttant contre les squelettes qui tentaient des les arrêter, ils traquèrent la bête jusqu'à sa porte. Là, de l'autre côté des bois elfiques, se tenait un deuxième campement. Rebom y pénétra. A l'abri derrière ses murs, il les toisa du regard. Alors son épouvantable rire s'éleva vers les cieux comme défi lancé aux dieux. Si cette muraille avait une faille, ils ne la trouveraient pas cette nuit. Tous finirent par le comprendre. La guerre d'Irliscia n'était qu'à ses prémisses.

Le Mélèze ?

Primula auricula

Soldanelle des Alpes ?

Bonjour, Y a-t-il une date limite ? Je devrais pouvoir te faire une proposition sous peu.

Les Primevères ?

Le printemps ?

Donc ça ne vient pas de chez moi, me voilà rassurée. Chronologiquement parlant, il est possible que ce problème soit survenu après la mise à jour de l'affichage des cartes.

Heureux Anniversaire !

Bonjour, Depuis quelques semaines je rencontre des problèmes sous le navigateur Firefox (testé avec les versions 3.16 et 10). Quand je clique sur un PNJ, monstre ou joueur et au changement de carte j'ai une page blanche qui s'affiche en transition. Cela peut durer une demi seconde comme trois secondes (environ) dans le pire des cas. C'est assez gênant en terme de jouabilité, et cela peut devenir embêtant en certaines circonstances. Je n'ai pas changé d'ordinateur, ni de configuration, ni de connexion... rien qui ne puisse expliquer ce problème soudain. De plus, je viens d'essayer sur un autre ordinateur avec une connexion de meilleure qualité et le souci est aussi présent, la page blanche reste juste moins longtemps. Pas de souci de ce type sous Google Chrome, mais des ralentissements (apparus à peu près en même temps que la page blanche du Panda Roux). Y aurait-il eu une mise à jour sur le jeu qui puisse expliquer ce problème ?

Prépare le petit bois pour le bûcher et un tigre en peluche pour faire diversion.

Euh, je partais du principe que le gain 3PC/8PE ne serait possible qu'une fois par 24h. Les clics suivants ne rapporteraient rien. D'où l'idée de "concours" pour donner un intérêt à cliquer sur plusieurs banières dans la journée.

De mon point de vue, l'idée de Jean reste la meilleure. Je suis par nature opposée à toute polution publicitaire. Si une pop-up apparait quand je me connecte j'aurais plustôt tendance à la fermer qu'à cliquer dessus. Par contre, si je sais qu'en allant cliquer sur une petite bannière en bas de l'écran je peux gagner un petit bonus quotidien et aider le jeu, je le ferai surement. C'est un avis personnel, toutefois je ne pense pas être la seule à penser ainsi. On coopére plus facilement quand ce n'est pas imposé. Question pratique : est-il possible d'enregistrer le nombre de clics sur bannière que chaque joueur fait par jour ? Si c'est le cas, serait-il envisageable d'organiser des concours de clics (hebdomadaire par exemple) avec un petit gain pour le vainqueur ? Par exemple, le plus grand cliqueur de la semaine remporterait 1000 po, ou un objet, ou une ressource sélectionné de façon aléatoire. L'appât du gain est souvent un bon moyen de convaincre.

Le 26, Période Uniqua, 105 AC, en une certaine zone du marais. Prologue Depuis quelques temps une ombre planait sur le Marais d'IssCaNak. Un danger mortel y guettait les plus frêles habitants de la contrée. Sans garde rapprochée, l'honnête cueilleur était condamné au trépas. Sans escorte, le jeune aventurier ne faisait guère plus d'un pas. Seuls les combattants aguerris avaient leur chance en ces lieux, l'ombre s'écartant devant eux. La menace grandissait un peu plus chaque jour. Quand les massacres cesseraient-ils ? Quand on y mettrait fin. Acte I "“ Opération « Boum, Boum » En sa chambre d'auberge, Salaha relisait la missive reçue trois jours plus tôt. Les mots sonnaient l'appel aux volontaires. L'objectif était des plus simples. Le plan, bien ficelé, ne pouvait échouer. Il suffirait de faire passer le message. La force devait aider là où la parole avait échoué. Pourtant, quelque chose n'allait pas. Alors que le moment fatidique approchait, un doute naissait en l'esprit de la magicienne. La confrontation apporterait-elle la solution ? On frappa à sa porte. Un coup d'œil à la pendule lui rappela qu'il n'était plus temps pour la réflexion. Elle rangea rapidement le parchemin, prit une grande inspiration et sortit. Le village était désert en ce début de soirée. Seuls quelques cliquetis d'armure indiquaient un mouvement de troupe à l'ouest. Elle accéléra le pas pour rejoindre le groupe. L'Alliance était venue en nombre pour mener à bien son opération « Boum Boum ». Elle sourit presque en repensant à ce nom de code pour le moins farfelu. En d'autres circonstances, elle aurait trouvé ça drôle. Mais l'heure n'était pas au rire. Elle arriva finalement près des piliers. Ce lieu jadis synonyme de paix était maintenant perverti par le mal qui s'y abritait. La casemate se tenait là, au milieu de la clairière. A l'intérieur se trouvaient sans doute ceux qui avaient fait couler tant de sang ces derniers jours. Derrière, on apercevait tout juste la base du trébuchet. Voyant que les autres commençaient à entourer le bâtiment, Salaha les imita. Elle ne reconnaissait qu'un seul visage parmi les présents. Elle devinait l'identité de certains. D'autres restaient pour elle de parfaits inconnus. Il faudrait remédier à cela, plus tard. Une voix familière la ramena au présent. Ysabeau les rejoignait maintenant, suivi de peu par Tigrrr, Siiix et quelques autres de ses compagnons de route. L'assemblée vit son nombre croitre en quelques minutes. Ils furent bientôt une vingtaine à encercler la bâtisse. L'ordre fut donné. Tous sortirent leurs armes. épées, fléaux, arcs, arbalètes, magie blanche comme noire, chacun usa de son talent pour ébranler l'édifice. Salaha hésita un instant. La violence n'était pas de ses habitudes. Même attaquée, elle préférait bien souvent la fuite. Mais pouvait-on fuir éternellement ? Non. Tendre l'autre joue n'avait jamais conduit à la paix. Du peu qu'elle savait de ce monde, à trop plier sous les coups on finissait par périr. Il était temps de faire passer le message. Ils devaient comprendre. Elle regarda à nouveau la bâtisse. Ce n'était que du bois après tout. « Des poutres et des planches ». Elle s'en convainquit mentalement, et joignit enfin sa magie à l'effort commun. Sa frappe céleste ne laissa qu'une fine rayure sur le mur. Autour d'elle, les autres essuyaient les mêmes déconvenues. A ce rythme là, ils y passeraient une bonne partie de la soirée. Pourtant, nul ne semblait se décourager. Ils étaient ensemble, et ensemble ils parviendraient à leur but. Acte II "“ L'Ultimatum Le temps s'écoula au compte-gouttes. Les alliés poursuivaient leurs attaques incessantes sans que nul ne vienne troubler l'opération. Quelques curieux jetèrent bien un œil indiscret en leur direction. Toutefois ils repartirent aussi vite qu'ils étaient venus. Une heure avait du s'écouler quand le Général de l'Alliance annonça le passage à la deuxième phase du plan. Le bâtiment était bien amoché maintenant, même s'il demeurait fermement ancré sur ses fondations. Le moment était venu de lancer l'Ultimatum. Sayanel, en sa qualité de lieutenant, fut désigné comme intermédiaire. Alors que tous s'éloignaient du fortin, il sortit son écritoire. Salaha vint tapoter son épaule. - Dites, vous comptez vraiment rester là ? Il lui jeta un regard agacé, peu ravi d'avoir été dérangé en ses réflexions. Elle lui montra l'engin diabolique qui se tenait derrière eux. - Ils vont utiliser la machine. Si vous ne souhaitez pas être transformé en crêpe, vous devriez peut-être vous écarter. Il la suivit sous les arbres un peu plus loin, où la majorité du groupe se tenait déjà. Enfin un moment de répit. Elle aurait bien aimé discuter un peu, mais le rôdeur avait déjà repris sa tâche. Elle espérait que tout ceci prendrait bientôt fin. Pendant les négociations, le trébuchet donna le rythme. Un tir toutes les deux minutes exactement pour que nul n'oublie les enjeux de cette soirée. Le message était clair. Si les massacres cessaient, la bicoque restait debout. Sinon, il n'en subsisterait rien au matin. Les Astres avaient un quart d'heure pour se décider. La magicienne retenait son souffle à chaque nouvel assaut du trébuchet. Ils allaient forcément céder. Qui préférerait voir sa maison réduite en miette plutôt que de se résoudre à épargner ses plus frêles adversaires ? Les quinze minutes devinrent bientôt trente. Provocation, reproches, effarouchement, insultes à demi voilées, aucune discussion ne semblait possible. Les alliés du soir s'apprêtaient à se résoudre à terminer ce qu'ils avaient commencé quand la Générale astrale se manifesta enfin. La seule personne raisonnable en cette faction allait-elle éviter le pire ? Salaha ne comprenait pas. Ils ne leur demandaient pas la lune pourtant. Nulle reddition n'avait été exigée. Pas de rançon, pas d'excuses, pas de chantage... Non, la seule requête était que les Astres aguerris s'engagent à épargner les plus jeunes aventuriers qui avaient le malheur de croiser leur route. Négocier une protection pour les plus faibles, là était le seul but de cette démonstration de force. Cinq minutes furent encore laissées, sans plus grand espoir de voir la raison l'emporter. Acte III "“ De la folie humaine L'ultimatum n'eut finalement pas l'effet escompté. Les Astres avaient décidé de leur sort. Pour sûr ils avaient profité du temps laissé, mais point pour se réunir. Comme la patience des justiciers du soir commençait à s'effilocher, l'ennemi pointa le bout de son épée. Vinrent d'abord deux lieutenants astrales, suivis de peu par une poignée de mercenaires. Cinq, six, peut-être sept, Salaha ne parvint pas à les compter dans la pagaille qui s'installait. Combien de combattants pouvait-on rassembler en trois quart d'heure ? Ce n'était pas le moment d'y penser. Le combat s'engageait à l'est de la casemate. Les combattants les plus aguerris faisaient front pour protéger les moins expérimentés. Elle vint se placer derrière cette première ligne, soignant les plus mal en point. Elle fit de son mieux pour aider, malgré sa maigre expérience des batailles. Elle aveugla aussi quelques adversaires pour protéger le trébuchet. Toutefois, elle n'attaqua aucun des humains présents. Frapper contre du bois mort était une chose, blesser un être pensant en était une autre. Elle resta fidèle à ses valeurs même lorsque sa vie fut menacée. Elle était une proie facile pour ces soldats de longue date. En outre, comme le combat avançait, elle se retrouva vite moins bien entourée. Vint alors le moment fatidique, celui où elle dut regarder la mort en face. était-ce la fin ? Que l'Unique soit béni pour la seconde chance qui lui fut offerte. Revenant d'une nécropole pas si lointaine, elle retourna sur le champ de bataille sans hésiter. Elle reprit sa place devant le trébuchet, prête à donner sa vie autant de fois qu'il le faudrait, pour peu que les dieux ne l'abandonnent pas en cette folie. Oui, folie, il n'y avait point d'autre terme pour qualifier ce qui se tramait ici. Quel genre d'êtres pouvait préférer l'appel du sang à la chaleur d'un foyer ? Les mercenaires combattaient pour l'or. Les Astres, eux, sacrifiaient leur refuge pour le seul plaisir de tuer, encore et toujours. Cette pensée l'attristait plus que tout, mais il était maintenant trop tard pour reculer. Les alliés du soir iraient au bout. A défaut de sécuriser la zone, ils montreraient à tous que les opprimés avaient encore en ces terres de farouches défenseurs. Acte IV "“ Tragique issue Le trébuchet joua son rôle jusqu'à la dernière seconde. Les lieutenants de l'Alliance l'avaient manié tour à tour tout au long de la soirée. Quelques blessures ne les arrêteraient pas. Beaucoup firent bouclier de leur corps pour protéger l'arme de siège. Au-delà de cet effort commun, leurs opposants de la dernière heure ne semblaient pas la viser particulièrement. Salaha en vint à se demander s'ils étaient vraiment venus sauver les meubles, ou juste assouvir leur soif de combat. Quelle importance ? L'issue était proche, autant que fatale. Comme le jour finissait, la casemate s'effondra dans la poussière et le sang. épilogue Alors que le silence reprenait ses droits, chacun gagnait un refuge pour la nuit. Nulle gloire n'emplissait les cœurs des vainqueurs, juste la satisfaction d'un devoir accompli. Les jours à venir seraient surement rudes, pourtant les présents ne regrettaient rien. Alors qu'elle gagnait sa chambre en l'auberge de ce maudit marais, la magicienne se souvint d'un proverbe de son ancien monde. « On ne récolte que ce que l'on sème. » Elle le trouva fort à propos.

Les "exactions" des Astres sont des attaques de THL sur BL, ou de groupe sur joueur isolé, toutes factions confondues (à minima Alliance et Souffle). L'attaque sur la casemade des Astres a été organisée par l'Alliance. Ils ne mobilisent pas une dizaine de joueurs pour les beaux yeux des Souffleux... si, si, je vous assure. Il était clair dès le début de "l'opération", sur la conversation MSN, que si les Astres s'engageaient à ne plus attaquer des joueurs trop BL pour eux, nous cesserions l'attaque. La destruction totale est due à leur refus, symbolisé par leurs réponses et leur riposte de dernière heure. Alliés ou mercenaires payés, aux environs de 22h30, les AD jouaient bien en partenariat avec les Astres autour de la casemade. Ailleurs, on ne peut pas savoir ce qu'il se passait. N'ayant pas le don d'omniscience ni celui de voyance, Sayanel ne pouvait que résumer ce qu'il a vu. Si cela vous plait de supposer ou imaginer, c'est votre choix, mais là il s'agissait de relater du vécu. Libre aux présents de raconter ce qu'ils ont vu, vécu... à leur tour. C'est cela le Rp, pas une éventuelle supposition de ce qu'un joueur a pensé derrière son écran. D'ailleurs, en parlant d'omniscience... Quand je lis le récit d'Exoriel, je ris doucement. C'est toujours marrant de lire de la main d'un autre ce qu'on est censé avoir pensé, ressenti... ces derniers jours. Merci pour ce moment de sourire.

Un ouvre-boite ?

20, Période Uniqua, 105 AC, - Cinq mille pièces d'or ? - Un coffre chez les orcs. - Puisque je te dis qu'il ne s'ouvre pas ton maudit coffre ! - Un coffre embastillé. - Pff, dix mille pièces mais c'est ma dernière offre ! - Au milieu des remèdes. - Pour la quinzième fois, nous l'avons déjà celui-là. - Un coffre chez les orcs. - Tu te répètes mon vieux... - On dit merci aux ressources. - Merci aux ressources. Elle lui fit un grand sourire en tendant la main. Rien. Le regard perdu dans le vide Iso Le Loir continuait de déblatérer ses prétendus indices. Salaha possédait déjà la majorité des morceaux dont il lui parlait. Elle commençait à se demander s'il était bien humain. Pouvait-il être une sorte de machine archaïque programmée pour répéter le même message en boucle ? Elle soupira en s'éloignant. Ce n'est pas aujourd'hui qu'elle trouverait un nouveau bout de carte. Bien entendu, elle connaissait la position géographique de deux d'entre eux. La veille encore, les Souffleux s'étaient retrouvés à faire des pitreries devant l'un des deux coffres. Rien que d'y penser le rouge lui venait aux joues. Ils avaient tout tenté. Déjà avec l'embastillé... Même lui sauter dessus n'avait pas aidé. Les coups de hache non plus. Et pour son confrère... il valait mieux ne plus y songer. Elle n'avait pas fini de faire des cauchemars. Le plus incompréhensible demeurait le nombre de pistes restantes. Deux coffres, deux énigmes, un Iso avare... et ? Que savaient-ils du sixième morceau ? Ce « 36 » indiquait-il vraiment le nombre de parchemins ? Quoi d'autre en ce cas ? Le Loir avait beau se répéter, il y avait une différence entre « 36 » et « égal 36 ». - Grr, c'est trente-six chandelles que je vais lui faire voir s'il ne se met pas à table le bougre. Elle se jeta littéralement sur son informateur à la langue liée. Quelques minutes plus tard, la jeune magicienne était jetée à la porte de l'auberge du marais, manu militari. La violence ne menait jamais bien loin. Elle s'en voulut de l'avoir oublié quelques instants. Cela ne lui ressemblait guère, pour le peu qu'elle s'en souvenait. Ces morceaux de cartes allaient vraiment finir par la rendre folle. Elle rentra au village du Souffle, voir si d'autres avaient eu plus de chance.

Pouvoir PvP d'égal à égal avec des joueurs qui habituellement nous OS, c'était juste purement génial. Pour ceux qui se plaignent sans arrêt que le PvP est inexistant sur le jeu, je pense que les admins ont trouvé là une solution efficace. Quelques bémols : - la répartition des niveaux max, mais à voir celle qui sera adoptée. - la perte de vie quand on passe d'une carte à l'autre, ce serait bien de retrouver ses pvs manquant quand on revient sur une carte d'un niveau max supérieur sans avoir été blessé. - la difficulté en PVE... mais si les niveaux sont bien qualibrés ce ne devrait pas être tellement dérangeant. Pour le système de visée, une fois qu'on a compris à quoi correspond chaque type de flèches cela permet d'y voir plus clair dans les combats de groupes. Par contre, une petite note explicative ne serait, du coup, pas de trop. Par ailleurs, en complément, il serait bien de pouvoir créer des équipes temporaires. Actuellement ne sont considérés comme alliés que les membres de sa faction. Or il est courant de jouer aussi en groupe avec des joueurs d'une autre faction. Il devient alors difficile de savoir si on est "locké" par un ennemi ou un allié hors faction qui veut nous soigner. Si on pouvait créer un "groupe" ou "équipe" dont les membres seraient alors considérés comme nos alliés pour un temps de jeu limité (1h par exemple), ce serait vraiment pratique.

15, Période Uniqua, 105 AC, La jeune magicienne se réveilla en l'auberge de la Porte Ouest de Melrath-Zorac. Un goût amer lui restait au fond de la gorge. La veille n'avait guère été joyeuse. Le 14 Uniqua. Si sa traduction du calendrier était correcte, cela devait correspondre au 14 février. Se souvenir du calendrier de son « ancien monde » lui avait pris un temps certain. Elle était toute fière d'avoir retrouvé ces repères. Maintenant cela lui causait du chagrin. Elle s'était remémorée une soirée inoubliable en tête à tête dans un petit restaurant. Un diner plutôt intime... Oui, ce devait être un 14 février, la « St Valentin » comme on l'appelait. Elle avait toujours trouvé ces célébrations futiles, jusqu'au jour où elle avait eu le plaisir d'y gouter. Aujourd'hui, cela lui manquait terriblement. Pas de Valentin pour une soirée aux chandelles en ce cruel univers. Elle sortit de son lit. Il ne fallait pas sombrer dans le désespoir. Une soirée passée à se morfondre, c'était déjà une de trop. Elle devait s'occuper l'esprit. Oui, une saine activité, voilà ce qui l'aiderait. Elle sortit de leur étui protecteur les trente parchemins, copies de ceux trouvés par les Souffleux. La table n'offrant plus assez d'espace, elle les étala sur le sol. Patiemment, elle disposa chaque morceau à la place qui lui revenait. - Six de large, six de long... un carré de trente-six. était-ce là le second indice d'Iso Le Loir ? « 36 », à ne pas confondre avec « égal 36 ». Elle plongea la main en sa besace pour en sortir une liste griffonnée sur un vieux bout de papier. Elle recompta les précieuses indications recueillies par Dame Gravity. - Trente-quatre possibilités pour trente-six morceaux. Si celui-ci correspond bien à celui-là... et ce monstre-ci à ce coin-là... et... Elle poursuivit sa réflexion, notant avec application chaque déduction logique. Il lui resta au final cinq énigmes. Cinq renseignements pour six morceaux. Ce maudit Iso était difficile en affaire. Il faudrait encore essayer de lui graisser la patte. Peut-être finirait-il par céder. Elle décidait de mettre à jour sa miniature de la carte complète avant de retourner à ses recherches. Un des morceaux manquant était tout près, elle le savait. - Proche mais inaccessible... Elle percerait ce mystère, elle y était décidée. Mais d'autres y parviendraient-ils avant elle ?