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+ 0.37 kuchikucha
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? c'était ma réponse
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Tes paroles , ô divin eddy ?
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alors, on a bon white ?
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De l'ombre de la fatalité que sont les toilettes qui dévore l'être.
topic a répondu à odriistfen dans Histoires personnelles
A travers les champs où veillent les paisibles rocchus Battus par les pesantes giclées de glace et de flammes Se dessine parmi les hommes le besoin jamais repu De sacrifier le corps pour servir l'âme Se battant pour qu'elle soit marquée d'un étendard, Pour qu'elle iradie le monde de son éclat Pour l'honneur, l'or, la gloire Pour tromper la fatalité qu'est l'ennui d'ici bas Les lames s'entrechoquent, ou siffle Lorsque les vents scintillants d'enchantement les giflent Trahissant le luth et la musique, l'arbalète, Sonne son glas pincé sous des malédictions comme venues de prophètes. L'acier trempé de sang s'efface à la lumière même en mettant fin aux malédictions La flêche blanchie par une âme noire se redresse sous un juste blasphème Alors que le ciel voit se déchaîner les dragons Le chaos envahit la plaine Et par l'éploration d'une plainte guerrière ascendante Sous les rayons de l'ardent zénith S'enfoncent sous Terre les pensées transcendante Dont la damnation éthérée hérite Sous les feux et les trompettes de l'apocalypse Le doux séisme flamboyant de la chute Précipite l'enterrement sous une éclypse Du luth Rageant de sang et crachant la terre Comme brûle la rosée pourrie par une aurore défraichie S'éviscère dans un maelstrom et dégénère La moralité atrophiée de l'obnubilation équarie. Et alors que l'immondice ravage la plaine Sous une forêt perdue dans l'ombre de la décadence S'illumine le surplomb à la résilience sereine A ses pieds la putréfaction s'étend comme une danse Dans le matin se levant comme chaque jour sûr la fange obscurcie et dévoyée Le vagabond connait bien mieux le vautour Que les cors victorieux de la postérité. Se présente un lui alors qu'il avance Un individu au regard vide Paraissant comme en transe Ne bougeant pas, le teint livide D'autres lui donnent la mort en échange Et ce geste sage délivre le pentelant de la Terre hostile Un pipeau n'est pas un cor ni une vendange Mais il vaut mieux que le vide stérile Cet acte vaut mieux que la bile d'un dragon Ce serait lui rendre service. Mais telle n'est pas ma vocation, Le diable m'emporte si un jour je tue un inactif. Seconde chronique rimée, de la geste et de l'esprit du combat et du serment sur les croix de bois et de fer. -
De la genèse de la boustifaille vers l'universalité.
un sujet a ajouté odriistfen dans Histoires personnelles
Leur aspect dur, et leur beauté froide, comme sortie directement des entrailles de la Terre, mais réfléchissant et se transparaissant sous les rayons du soleil auraient pû faire passer inaperçue leur réelle magnificence. Issus des lithes terreaux des buissons qui ressemblent parfois à ceux-ci, et donc les feuilles accompagnent à merveille la sublime gemme brillant des feux des éléments, leur pardon permet de renier la négation de la vie à celui qui à pris celles des êtres qui de tous leur étaient les plus cher. Apparaissant souvent à ces moments de douleurs, accompagnement parfois les esprits , leur clarté solennelle apporte au devastateur le calme, et à son âme le repos. Ils disparaîtront malgré tout dans d'autres entrailles, libérant ainsi la vague bienfaitrice dont ils sont le concentré. Dilution de lumière, de la Terre et des éléments dans l'ombre et l'acide, leur éclat rejailli, sublimant l'espace prisonnier du chaudron de chair, repos de^l'étre canalisateur et dissolvant, jusqu'au siège de son âme à l'éclat terni par la fatigue et le poids de la fatalité. Et aujourd'hui, ils sont regroupés pour vous, aux côtés de leurs frères d'âmes, si tant est que la vertu en soit une, avec un savoir-faire et une sagesse vielle commme la douce brise venue des confins de l'océan , et qui inlassablement, passe, adoucit et fait vibrer les peaux et les moeurs. Et si vous m'ennn trrrouvey hun pas faiy à coeur, je mange mon avatar ! La tour des terres du rocchus ! De puissance en chantant -
Effectivement, c'est un ouvre-boite ! Parce que si les apotres se sont nourris avec le corps du christ, il ne l'ont pas ouvert à l'ouvre-boite. Pour eddy, je dirais : UN COFFRE !!!!
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Non eddy, pas cette fois Non antharielle, mais la nature de l'objet est bonne, et j'avais pas pensé à cette histoire de scie avec le christ looooool
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Je tourne sur un disque par un cylindre contourné. Je parcoure la piste, un précipice d'un côté et celui que je creuse de l'autre Mes sillons donnent la nourriture sans la récolter Je n'ai point servi au roi des apôtres.
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Bien joué sizzle lol, je jouais la carte de la confusion avec le soleil, mais ça n'a pas marché ^^
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Je suis de L'aube à travers les rouages L'eau tombe sur moi sans qu'il y ait de nuages Après un demi cercle je disparais sous la surface Je crée des filets blancs qui aussitôt s'effacent
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* persévérant exactement eddy !
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Et je donne raison à eddy ! Je pensais plus précisément à un dragon en terre cuite, mais je ne vais pas resquiller là dessus
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eddy est proche, et sizzle aussi dans l'esprit ( et dans la forme de nomination )
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non, c'est bien un dragon, mais de quel nature ? Lisez bien l'éniigme ( bon je reconnais que la réponse n'est pas évidente )
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De l'ombre de la fatalité que sont les toilettes qui dévore l'être.
un sujet a ajouté odriistfen dans Histoires personnelles
L'aube teinte d'améthyste l'eau frémissante La plaine alanguie reçoit ses rayons comme de fils partis depuis trop longtemps. A travers les arbres humectés de rosée où la brise chante La nature s'éveille rêveuse, comme hors du temps. Deux vols de geais s'envolent en croassant A l'arrivée d'un vagabond qui par les chemins va. Leurs cousins corbeaux relèvent la tête, le regard scintillant Vers cet intrus qui erre serrant dans sa main son long bâton de bois Soudain sa tête encapuchonnée qui bringuebalait au rythme de la marche se fixe Et, si seule l'ombre apparaît sous l'étoffe frangée de bleu , Il aurait semblé à qui l'eût observé voir son regard attentif Car son intensité le rendait tangible, même l'ombre de l'eau n'en couvrait pas le feu. A l'autre bout de la plaine, à l'autre bout du regard, se tient un autre homme Un jeune magicien, tout de noir et de vert, s'étant lui aussi arrêté pour contempler le vagabond Son bâton est couvert de lierre frémissant au vent, comme s'agitant en une plainte, à sa main une pomme Il se tend resserre sa prise sur son bâton, les deux êtres semblant de même force, se font face, de loin, sans dire mot. Avec peu d'écart, ces deux âmes opposées s'ébrouent et reprennent leur marche La lumière croissante de l'astre solaire tombant à travers les nuages par halos sur leurs chemins Les derniers oiseux se sont envolés, les vivants restants se taisant comme par temps d'orage; Le sol tendre et les ramures semblent trembler et vaciller comme tombent leurs pas d'airain. Ainsi les deux hommes sont opposés, ils avancent le regard dur Marchant l'un sur l'autre d'un rythme soutenu Nul n'eût pu dire lequel était le mieux doté par la nature. Mais dont on connaissait les valeurs semblables de justice et de vertus. La collision approche, les nuages semblent oppressant S'élevant sur les marches célestes la fatalité semble presque matérielle Les cors infernaux eussent paru trompettants Là où peu de temps avant le vent se ravissait des chants d'hirondelles Mais voilà le vagabond et le magicien presque côte à côte! Les âmes alentours, fermant les yeux voyaient surgir en éruption les flammes infernales! D'un changement de place, le nécromancien se supplanta à l'autre, Et tous deux suivirent leur errance en foulant leur chemin, ils eurent tôt fait de quitter le val. Chronique rimée première, de l'antimatière d'un combat. -
une des natures et bonne, il faut maintenant préciser
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au niveau d'une des nature de l'objet, tu es proche, et sur le général c'est une bonne idée mais ce n'est pas encore ça
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Une énigme difficile, ouvrez bien vos esgourdes : Mes ailes sont ouvertes, mais je suis lié à la terre Mon feu semble être dansmes entrailles, mais les a en vérité créées Mes écailles sont fragiles, bien que semblant de fer Mes griffes sont longues, mais c'est moi qu'il est aisé de briser. Tournez , méninges !
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La vertu ?
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si eddy a bon, j'ai pas mal de bonnes réponses sans connaître le jeu lol
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piou piou, du mil, quand une partie autre que la moitié du cercle nous a filé entre les mains, avec un filet à papillon ou à coup de massue ou avec de l'alcool, le paradis ?
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magnifique sizzle ! c'est bien ça ! suyvel y était presque, j'ai peut être un peu pinaillé en refusant sa réponse Bon, j'ai assez monopolisé la place, je laisse un peu les autres lancer leurs énigmes quand je parlais de la "tare" de notre ami eddy, c'était parce qu'il avait un homonyme, mais mal orthographié ( t'inquiètes, on va te faire bien progresser et dans quelque temps, nul ne pourra plus te vanner là-dessus ) et une belle ténacité de sa part entre autres .