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Terre des Éléments

Yuwena

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Tout ce qui a été posté par Yuwena

  1. La Source, le vent et la marraine (14° partie) « Oui, oui les Elfes. » L'histoire de Luien ne collait pas, les gens l'appelait gentiment la Fille du Faucon, pas comme s'il voulait se moquer de sa mère, et puis le conte dont elle semblait être la protagoniste ne rentrait pas. Pour ne pas paraitre égocentrique, Yùwéna fouilla son esprit pour trouver une question sur le mariage de sa sœur avec Faramen. Il ne faisait aucun doute que Luien rapporterait cette conversation à Yùen. Ensuite l'aventurière se souvint de ce qui l'avait amené en premier lieu. « Tu sais Luien, quand on est aventurier, on doit accomplir des quêtes et pour l'une d'elle j'ai besoin d'un certain papillon rare. – Alors tu es au bon endroit ! Qu'est-ce qu'il te faut. Je te l'offre pour fêter ton retour. » Ce n'était pas si simple, Luien avait besoin d'un certain type de filet que Yùwéna dû d'abord quérir, la routine de l'aventure de débutant. Cela pourtant en valut la peine. Le seriata était vraiment une merveille blanche comme l'argent polie sur le bord des ailes et vers l'intérieur comme la neige qui revenait. Le soir arrivait et le vent semblait rappeler par ces froids flocons que Yùwéna ne pouvait pas rester plus longtemps loin de sa famille. Elle s'était cachée toute la journée, sa mère s'était certainement ronger les sangs qu'elle soit partie sans déjeuner. « Il est l'heure de rentrer, déclara Luien, si tu veux on peut faire un bout de chemin ensemble. » Yùwéna accepta et proposa de porter un ou deux filets, du nombreux matériel de la chasseuse de papillons. « Je suis très contente que tu m'aie répondu franchement tout à l'heure. Est-ce que par hasard j'ai des yeux sans pupilles. C'est peut-être une question évidente... j'ai oublié tout plein de choses banales. »
  2. La Source, le vent et la marraine (13° partie) « Hé ben ! T'en fais une tête, remarqua Luien, on dirait que tu penses à la mort. – Constamment depuis que j'ai vu le recycleur d'âme. » Yùwéna marqua une pause puis prête à saisir l'occasion, celle-ci ne lui échapperait pas : « Dis-moi Luien, sais-tu pourquoi on m'appelle la Fille du Faucon ? – Je m'attendais à cette question Yùé. Avant la mort, tu étais satisfaite avec l'idée que tes parents avaient manqué d'inspiration à ta naissance, mais tu sais bien que c'est l'aîné que l'on nomme d'après l'un des parents, pas le cadet. Ce n'est pas logique que tu portes le nom de père. Ta mère n'a jamais voulu vous le dire, je les sais de mes parents. Yùyù n'a que des pouvoir magique très restreint, comme c'est normal chez le peuple de ta mère. On conclut, à ta naissance, qu'un enfant mage aussi puissant que toi, ne pouvait pas être le descendant de Yùv. Ta mère pour couper court à toutes ces rumeurs te nomma la « fille de Yùv », mais les ragots ne cessèrent pas : le bruit se propagea que c'était donc Yùèn qui était la fille d'un coucou et que ta mère avait trompé son fiancé. » De longues fiançailles sont courantes en Aéris, le temps d'assembler la somme nécessaire aux noces. Il n'est pas rare que les enfants naissent avant le mariage, les Aérides sont libéraux sur ce point. Yùwéna n'était pas satisfaite, ce n'était qu'une pièce de plus au puzzle. Vraiment ? N'était-ce pas plutôt que cette vérité la dérangeait ? « Le peuple de ma mère... – Mais oui, répondit Luien, les Elfes de la Steppe. »
  3. La Source, le vent et la marraine (12° partie) Il semblait que Yùwéna ne pouvait pas faire vingt pas sans rencontrer plaisir ou souvenir de sa patrie. L'impression de repêcher des souvenirs profonds avait disparue, c'était plus comme activer sa mémoire « normalement ». Yùwéna voulait toujours partir, elle était seulement moins pressée, sa colère envers sa famille s'était posée. Aéris était un beau pays, autant y rester le temps que cette contrée pourrait lui apprendre et qu'elle pourrait l'aider. Les idées ne manquaient pas à la conteuse qui arriva à la plaine de la Crevasse en s'imaginant triomphant des esprits frappeurs de la cave au Nord-Est. Yùwéna vit de loin la robe de Luien se détacher dans le tapis floral qui ornait le tour de la fontaine. Une tapisserie multicolore qui attirait de nombreux voyageurs et que Luien favorisait pour ces spécimens vivants. Le monument fontinal siégeait de l'autre côté de la grande crevasse et la mage songea un instant à surfer dans le vent, passant le précipice à plat ventre portée par le courant d'air. Elle l'avait déjà fait, malgré les interdictions répétées de sa mère, ce jour-là, ce fut la fatigue qui l'en dissuada. Elle prendrait le pont construit au bout le plus étroit, c'était une passerelle de bois massif qui inspirait confiance à tous les Aérides et, pour celui-là, on pouvait même affirmer que les touristes n'en étaient effrayés que pour la forme. Le problème était le nuage de branleils espiègles qui virevoussaient par là. Yùwéna savait qu'ils ne tapaient que si on les provoquaient, mais les armes à sa ceinture, ne seraient-elles pas suffisantes pour s'attirer leurs furies ? Yùwéna, pour contrer ses réflexes agressifs d'aventurières, se força à penser à une chose neutre.... La fontaine... L'eau pour le jeu de jets complexes et élégants venait d'une poche enfermée dans le granit dur de la montagne. Autrefois, une grande rivière avait coulée là et avait forgé, aidée de tremblements de terre, la crevasse au point le plus faible de la roche. Une part de son eau était restée piégée en haut et alimentait perpétuellement la fontaine. Cette eau s'ennuyait-elle ? N'ambitionnait-elle pas de rejoindre la mer ? Ou représentait-elle simplement le cycle de la vie : une brève existence sous le soleil et une longue attente enfuie dans la terre avant d'être à nouveau projetée pour quelques secondes dans le monde des vivants. Profitait-elle alors autant de ce court passage que les humanoïde le font ? « Yùé ! Yùé ! J'ai entendu la nouvelle, mais je n'y croyais pas ! » Luien avait attrapée la petite sœur de sa meilleure amie et la tenait prisonnière de ses bras. Il fallait croire que la collectionneuse de papillon montrait son amour en épinglant ceux qu'elle aimait.
  4. La lettre écrit à Suyvel se trouve ici La Source, le vent et la marraine (11° partie) Le vent avait fini de lui chuchoter la vision parfumée. Yùwéna décida d'écrire à sa marraine une lettre polie pour prendre contact, le bureaucrate sous la statue d'Eolia se chargea de l'envoi. Impatiente de recevoir une réponse, Yùwéna ne pouvait pas rester sans rien faire, il fallait occuper son esprit puisque qu'une missive n'arriverait vraisemblablement pas avant le lendemain. Elle avait faim ! On était d'ailleurs midi, quand à la moitié du jour les quatre lunes se cachent derrières leur soleil respectif, celle du jaune serait la première à revenir. Cependant l'astronomie présentait peu d'intérêt pour son creux viscéral. L'aventurière s'approcha des cactus, délicieux nopal, pour en récolter un peu de jus. C'est alors qu'une voix jeune et féminine l'interpela gaiment avec l'accent du plateau d'Urgo. Yùwéna leva la tête, qui était-ce ? Lumina s'approchait déjà. Mais oui ! Yùwéna l'avait aidée en lui rapportant d'abord la liste, puis une partie des courses. « De retour à ce que je vois ! Si j'avais su je t'aurais contacter. J'allais justement manger, tu peux m'accompagner. » Yùwéna ne se fit pas prier deux fois. Lumina était venu faire des emplettes de produits qu'on ne trouvait qu'ici, elle en avait aussi profiter pour acheter toutes les spécialités culinaires de la régions. L'Aéride qui avait mangé de la chair de serpent à tous les repas pendant plusieurs semaines se réjouissaient de ces saveurs familières. Lumina avait tout prévu et ce fut un pique-nique presque caricaturalement classique avec nappe blanche et tout. Il y avait le fameux soufflé-vapeur si bien levé qu'on croirait les œufs évaporés, une salade de pissenlits aux pâquerettes et quelques autres fleurs sauvages, une autre d'oseille, du pain d'orge (qui pousse mieux dans les hauteurs que le blé), du fromage des alpages épicé de cumin, des pattes de branleils grillées, de la mousse au chocolat légère comme un nuage, accompagnée d'une brioche aérée comme de l'ouate. Le café qui arrondissait le repas fut servi avec une crème fouettée comparable seulement au brouillard du matin. Les deux femmes discutèrent encore un peu, puis Yùwéna se mit en route vers la fontaine où elle supposait que Luien serait. Elle n'avait pas oubliée sa quête pour Killien. Il se trouvait aussi que Luien était la meilleure amie de sa sœur. Avant d'ouvrir son atelier de couture Yùèn avait chassé les papillons presque tous les jours avec Luien. C'est un passe-temps fort apprécié en Aéris, rare pourtant sont ceux qui sont parvenus à une telle collection que celle de Luien, qui avait dévoué toute sa vie. Yùwéna n'avait pas besoin de son expertise de lépidoptériste, mais de quelqu'un qui connaissait sa famille, ses origines.
  5. Dans les plaine du Sud Antiquaire Sournois Ce personnage étrange n’a pas l'air d’être arrivé depuis longtemps dans le coin. D'ailleurs, sa proximité avec les brigands de Til'Ra n'a certainement rien de fortuite. rien s'accorde au masculin singulier Keril : il me semble que c'est la proximité qui fortuite
  6. La Source, le vent et la marraine (10° partie) La menthe poivrée avait fait effet ! Yùwéna avait oublié comment c'était de respirer librement, elle n'avait pas un souvenir si agréable de cette normalité. Elle resta quelques minutes satisfaite de ce simple plaisir. Le docteur lui avait prescrit du repos, il était grand temps de le prendre. Elle était descendue du plateau, avait traversé Suspensia et s'était assise sous l'arbre de Nuagia : une yeuse grandiose. Ici le mal du pays aurait pu la prendre, plus exactement l'envie de rester en Aeris et de savourer les bons côtés tant aimés de sa patrie. À cet instant pourtant, lui revinrent les pensées avec lesquelles elle avait quitté Kilien : la nécessité de combattre le Mal et celle de trouver l'appui d'une marraine pour la guider à travers la vie d'aventurière, sa famille ne serait pas là. En vérité, sa mère et sa sœur ne serait pas non plus là, si elles approuvaient finalement de son projet, car Yùwéna irait au loin. Un groupe d'enfants jouant au Croloup passa en courant et salua joyeusement la conteuse. Plus que la distance, le lointain se mesurerait à l'étrangeté qui la séparerait des gens. Ici et ici seulement elle était à la maison. Yùwéna tira la lettre d'attribution des parrains de sa poche. Son envie était grande et forte, la jeune aventurière se força de prendre un instant de réflexion. Une fois cette lettre envoyée, elle ne retournerait pas en arrière, elle aurait l'impression de faillir. N'importe quoi ! Comment sa carrière d'aventurière pourrait-elle être un échec ? Yùwéna lut le pli et apprit le nom de sa marraine : Suyvel Ayflesh. Le vent alors lui donna une vision de cette personne.
  7. Yuwena

    Anniv' du chat !

    Je savais que la souris serait à ton goût
  8. Yuwena

    Anniv' du chat !

    ~(=^‥^)/ ⌯͒▾ Joyeux ♡ anniversaire ▾⌯͒ヽ(^‥^=)~ Une ᘛ⁐̤ᕐᐷ morte t'attends devant la porte de ta chaumière.
  9. Yùwéna s'installa à la table de sa chambre d'auberge, sortit son grimoire et tout en mangeant le compléta avec les éléments de la journée. Elle commençait à se sentir vraiment fatiguée. Elle regrettait de ne pas être resté sur des arguments enfantins : l'air est meilleur que la terre parce qu'il se passe de T. Elle n'aurait alors jamais découvert ses pensées dangereuses : confondre argument et paroles vaines, croire que l'on puisse tolérer ceux qui refusent la tolérance… C'était trop tard de toute façon, il fallait dormir si elle voulait être en forme le lendemain. Elle ferma les yeux gardée par la nuit qui n'est l'ami, ni l'ennemi d'aucun élément.
  10. (Zethyr : un peu grand, mais un bon ASCII-art, on peut avoir une part ?)
  11. Il me semblait bien que le bout de tes ailes grisonnait ! /|\(°◡°)/|\ Joyeux anniversaire ꒰。•‿•。꒱೨⋆*✩⋆*✩ une année de bonheur et bien entendu si je peux à nouveau t'aider, tu es le bienvenu dans ma boîte aux lettres.
  12. Félicitations pour cette idée ! Je suis distinctiomanique et je ne peux qu'approuver. Je rejoins Hépha pour les échelons boss. Si vous tenez à l'intermédiaire je verrais plutôt 1 – 3 – 5 qu'une distinction bicide. Je ne comprends pas d'où sortent 1250 - 1750 - 2300, cependant je ne les trouve pas plus mal que des chiffres plus ronds et ma proposition de remplacer 1750 par 1789 ne serait probablement pas retenue.
  13. La Source, le vent et la marraine (9° partie) Que le paysage était beau ! Le granit des parois étincelait de paillettes de mika, l'herbe couvrait les pentes et les vallons d'un voile de velour vert, un bosquet de prunelles mûres et bleues occupait le cœur du petit plateau. La praire ondulait sous la caresse du vent, les feuilles du pruneliers frimoussaient. Yùwéna avançait en regardant le sol, elle n'avait pas peur des sepents paresseux encore balourds à cette heure, non, elle voulait attrapper du regard les fleurettes modestes et alpestres qui se cachaient parmi les touffes d'herbe bleue, les tiges olive et larges et derrière les brins longs et ronds qui étaient les fils du vert voile. Les fleurs obscènes et voyantes n'avaient jamais été à son goût, elle préférait les petites étoiles, les filigranes et étroits soleils, les complexes orchidées à la rigueur, mais plutôt les petites corolles qui semblent servir de verre aux coccinelles, tous ces petits points de couleur vive ou pâle qui pour ses yeux sans pupilles n'étaient pas dur à apercevoir. Parfois il lui semblait qu'un zéphyr écartait un graminé pour lui montrer une dentelle pastelle sur le fond de sinople. "On dirait que tu t'intéresses aux plantes !" Yùwéna leva la tête, elle était arrivée à destination : le marché au métier. Longtemps il n'avait été possible d'apprendre les métiers d'aventuriers qu'à la capitale, depuis quelques mois pourtant l'administration avait envoyé des maîtres sur les terres élémentaires, un panneau fut planté derrière le bosquet de prunelier, le reste se fit de soi-même : un marchand et réparateur d'outils s'intalla, les maîtres aménagèrent des "bacs à sable" pour l'entraînement de leurs élèves. Yùwéna confirma l'observation du maître herboriste et s'enquit des modalités pour apprendre, le jour même si possible, l'art de la récolte et conservation des plantes. "C'est un métier pour les aventuriers qui voyagent loin, visitent de nombreuses zones climatiques différentes, car ici ne poussent qu'une infine partie des plantes utiles." Notre aventurière répondit avec enthousiasme et ajouta qu'elle était mage, ce qui disait-on était un avantage. "Tout à fait," répondit le maître en regardant dans les yeux sans pupilles, assurément magiques de Yùwéna "Les mages sont très perceptifs aux sensations des plantes, cela les rend plus délicats oui, mais ce n'est pas tout. Les mages ont des sens plus aiguisés et aussi des sens que les autres ne connaissent pas, c'est inexplicable avec des mots. Si tu veux essayer, il te faudra une serpe." L'achat de la serpe fut une déception : il n'y avait aucun choix. Yùwéna eut préféré dépenser plus pour un outil de qualité : plus aiguisé, au poids mieux équilibré, au manche laqué... Il fallait faire avec ! Elle pourrait certainement revendre cette serpe bon marché moitié prix dès qu'elle rencontrerait un meilleur marchand. Le maître apprit à la conteuse la récolte de la menthe poivrée, Yùwéna n'était pas adroite, sinon de sa langue, et au début rata de nombreux coups, mais au fil des minutes de concentration intense Yùwéna comprit comment se faire aider par la plante qui se courbait, remontait ou abaissait des feuilles, une fois même se redressa probablement en pompant de l'eau jusqu'à son sommet. Le maître insista sur la coupe équilibrée : toujours enlever les feuilles des deux côtés de la plante, en parfaite symétrie pour éviter un traumatisme qui amenerait la menthe à délaissser un côté. Deux heures durant l'apprentie s'attela à la tonte de deux mètres carrés de menthe poivrée, prenant soin de sortir que les meilleures feuilles. Le vent dans ce temps lui contait à l'oreille les merveilles de son voyage sans pareil, ou n'était-ce que ce qu'on appelle l'inspiration et qui vient plus facilement au grand air ?
  14. (ノ´∀`)ノ*.゚・。:*: KERIL BIENTÔT SÉNIL :*:。・゚.*ヽ(´∀`ヽ) J'ai été forcé par Guix de poster ici un message de joyeux anniversaire, je n'aime pas qu'on me dise que faire, na !
  15. Yuwena

    Commentaires HRP

    Je ne voulais pas bloquer vos RP en restant silencieuse, Yùwéna est souvent interpelée directement et beaucoup de ce qui se dit reprend quelque chose que notre bavarde a dit. Pour la mauvaise impression : je n'ai absolument pas joué pour gagner, j'ai développé mon perso en calquant son comportement sur celui des anti-spéciésistes que je connais (en revanche ses arguments sont tout à fait valide : le paradoxe de la tolérance qui s'annihile si elle tolère ceux vont la restreindrent et le fait que ta phrase sur les arguments est tout simplement fausse : mais franchement dit comme elle le fait, qui l'écouterait ?).
  16. Yuwena

    Commentaires HRP

    Juste pour dire que si Yùwéna est sortie c'est parce que je savais que je n'aurais pas le temps pour écrire quoi que se soit cette semaine ;o) Mais cela bien entendu ne change rien à vos propos RP.
  17. Le bestiairologue dans le bâtiment de la guilde, il manque l'accent sur la a de voilà Ah, merci beaucoup ! Il me faudrait quelques échantillons de monstres provenant de Melrath Zorac maintenant, voilà leurs descriptions. Et voici rémunération pour ton labeur !
  18. Sur l'arbre de curiosité ont poussées quelques questions sur la 3è partie : Est-ce qu'il s'agit de la division en catégories et sous-catégories différentes à celles en place ? Reprendre dans le sens que cela continuera après l'intégration (encore merci au passage) des deux RP ou se remettra en pause après ? Dans le premier cas, pourrait-on en apprendre plus ? Y-a-t-il une formule ? Ou est-ce chaque mois une récompense variable (un coup des PP, un autre de l'or) ?
  19. Ou la possibilité d'ajouter un note à chaque quête (50 ou 100 caractères suffiraient probablement), comme cela on peut noter où se trouve le PNJ ou autre chose.
  20. Yuwena

    Vu sur la toile

    Désolée, je le trouve très compréhensible avec son accent brittish qui ressort assez souvent, je vais voir pour trouver avec des sous-titres ;o) Je suis scotchée devant LAST WEEK TONIGHT depuis cette découverte, difficile de choisir ce qu'il faut absolument voir, mais j'ai quand même un favori : http://www.mamamia.com.au/rogue/john-oliver-uganda-gay-rights/?FB-1 Il y a un résumé en anglais de la vidéo. Oliver montre que les lois contre l'homosexualité en Ouganda ont été instiguées par des états-uniens, le summum c'est l'activiste Pepe Julian Onziema qui reste cool alors qu'un présentateur de télé profère des insultes invraisemblables sur les homos.
  21. Je suis une véritable distinctiomanique ! Les modifs de ce côté me plaisent bien !
  22. Géfin croisa le chemin de Yùwéna, Aon Duine avait commandé à manger pour tous et en effet la magicienne se sentait un creux. Elle accepta le plat pour l'emmener à sa chambre. "Merci Duine, Aon Duine." Il avait eut la décence de se présenter sur la carte de l'alcool de bambou. "Vous rencontrez fut un plaisir et me laisse avec l'espoir que la Terre n'est pas l'élément fini décrit par la magicienne, mais qu'il est similaire à l'air comme je le vois : un guide vers les hauteurs ou plutôt un sentier de terre battu qui mène l'amélioration de soi." Yùwéna rendit son verre vide à Géfin enéchange de l'assiette, elle prit ensuite congé des membres de sa faction, en particulier de sa marraine et sortit.
  23. Yùwéna se leva et saisit la main d'Héphaistos pour la serrer et secouer. Dans l'autre main elle tenait son verre. "Vous venez de nier l'existence de la science qui se base justement sur le fait qu'on ne peut pas contredire tout argument. Mais passons outre, je me suis levée pour vous féliciter car voyez -vous ! Vous êtes l'une des rares personnes autour de cette table à s'être contredite elle-même ! Félicitations ! Ce fut un grand honneur de faire la connaissance d'un tel champion." Elle se tourna vers Merel. "Car voyez-vous j'ignorais tout de cet homme quand je lui ai offert ma boisson en le priant de se présenter. Maintenant que je sais que le seul argument substantiel qu'il a apporté à ce débat fut prononcé, indépendamment, par un Igné si rond qu'il ne marchait plus droit, mon estime pour cet étranger a bien baissée. " Reprenant ensuite son ton de compliments : Si la palme de la contradiction vous revient Héphaistos, l'équipe de Terra fait une admirable seconde place." Yùwéna montra de son bras les Terrans, s'arrêta sur Karamell. "Pas pour lui qui a reconnu s'être trompé sur la chose la plus grande, prouvant un tantinet de grandeur. Je pensais plutôt à la magicienne qui soutient que ces dieux sont pour le respect d'autrui, alors qu'ils prônent de brûler ceux qui ne leur sont pas fidèles. Elle a aussi brillamment illustrer le paradoxe de la tolérance en proposant de tolérer ceux qui veulent entraver des libertés. Je ne peux tolérer que ceux qui me tolère de même, cela exclut pas exemple les machistes qui considèrent les femmes inférieures, cela exclut les assassins de personnes neutres. Ce n'est qu'une seule femme et j'ai dit que toute l'équipe terrane mérite la coupe de la contraction : c'est pour dire à la fois que l'on doit regarder les Terrans pour juger de leur élément et qu'il est impossible de juger un élément par les choix, actions et morales de ses partisans. Je traduis pour ceux qui n'ont pas encore compris : c'est dire tout et son contraire. Bravo ! Je continue à croire que l'on peut juger un élément d'après la probité de la majorité de ces affiliés et avant de partir j'aimerais encore dire que le racisme n'est pas un trait purement terran, comme montrer avec Rayna. Je ne crois pas avoir à expliquer ici qui est Beffa et quel fut le sort de ces enfants, j'ai rencontré son fils voué à Vulfume et ses premières paroles furent : Je n'aime pas les étrangers. J'ai tenté ce soir de démontrer les erreurs de raisonnements et de logique, de pousser à bout les implications morales de certaines paroles. Je suis jeune et enthousiaste, cela m'a rendue vulnérable à vos moqueries et j'aurais certainement dû moins parler. En effet, cette assemblée préférait le ridicule aux faits. Puissiez-vous méditez sur tout cela comme je méditerez sur les paroles d'Anamaya. Yùwéna leva alors son alcool de bambou. "À votre santé amis d'Aqua ! La victoire sera vôtre si la Tavernière a un tant soit peu plus de sens logique et de compréhension rhétorique que ces compatriotes." Elle bu la moitié du verre d'une longue traite, puis se dirigea vers sa chambre.
  24. Une case inaccessible dans l'armurerie redessinée : Pour fêter la réouverture de la bibliothèque Yùwéna danse sur la table ! Comme il n'y pas de surveillant, elle piétine des vieux documents fort précieux que quelqu'un a laissé traîner par terre : Yùwéna sait voler on l'a déjà vu, ici elle cherche un palmier pour faire son nid : Au-dessus de la lave c'est facile avec l'air chaud qui s'élève :
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