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Terre des Éléments

Yuwena

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Tout ce qui a été posté par Yuwena

  1. La Source, le vent et la marraine (8° partie) Son genoux anesthésié par le choc commençait à l'embêter, sans y penser Yùwéna utilisa un soin mineur. Un homme lui avait enseignée quelques aptitudes magiques pour une modeste somme. Qu'avait-il fait de plus que lui indiquer l'endroit de son esprit, où trouver ce qu'elle savait déjà ? Enseigner... non en fait il lui avait seulement donner le bon mot, comme l'on donnerait l'intitulé d'une étiquette à quelqu'un qui fouille des étagères. Prise par ses pensées simples, mais focalisées Yùwéna sortit sans panique. Enfin au-dehors des entrailles serrées de la terre, la clarté du jour lui offrait une vue vaste et vivifiante. Le vent joli soufflait pour elle, il chatouilla ses narines, gonfla sa poitrine et la rinça de l'odeur rance. Elle était au pied du tumulus et pour faire fuir la frousse pour de bon, Yùwéna décida de monter sur le plateau couvert d'herbe et de pieux de bois qui formaient le toit du tertre funéraire. Bien qu'on fusse encore de bon matin, Kilien était déjà là. Le vent était son seul ami, mais Yùwéna entretenait une relation fréquente et amicale avec Kilien qui chassait les branleils et les autres insectes au Nord de la ville. C'était un lieu peu fréquenté, mais pas encore sauvage. Souvent pour picnicker ou parce que l'envie lui prenait, il s'installait sur cette hauteur qui surplombait la Terre des éléments. Yùwéna le salua et dès qu'elle fut arrivé près de lui, Kilien se leva pour la prendre dans ses bras. Il partagea son déjeuner avec la revenante, à la condition qu'elle lui raconte tout dans les moindres détails. Ah qu'il était content de la revoir en resplendissante santé ! Son teint bronzé, peu usuel pour une Aéride, ne lui disait rien qui vaille, mais il se tut à ce sujet. Ils avaient fini de manger et contemplaient en silence le large. La brume de la vallée qui s'étendait jusqu'à la mer méridionale s'était dissipée. Yùwéna voyait les palmiers danser autour du Lac au Sud du Désert. Elle apercevait des tâches oblongues sur les remparts de Melrath Zorac, chacune d'elle un garde de cette ville qui en avait assurément besoin de plus que... La Fille du Faucon plissa les yeux... 23. Elle avait entendu ce qu'il se passait à MZ l'ancienne capitale ! La ville plongée dans le chaos était empoisonnée ! Des démons en costume d'humanoïde, qui n'avait qu'un muscle pour cœur, tuaient à volonté les plus faibles dans le but de s'enrichir... parfois... dans l'intention de faire le mal et d'en tirer plaisir... bien plus souvent. Elle raconta à Kilien sa décision de partir à l'aventure et à la guerre contre le Mal. Il sourit à la première assertion, la seconde le laissait plutôt froid. „ J'ai une... comment vous dîtes déjà vous les aventuriers... une quête voilà c'est ça ! J'ai une mission pour toi. Tu sais que je suis un fou de ces superbes créatures que sont les papillons. En fait Yùé il ne m'en manque plus qu'un ! Et bien entendu, c'est le plus beau de tous : Blanc, avec des auréoles d'un noir pur... Une merveille !! Je t'en ai certainement déjà parlé, on le nomme Idaea seriata. ” Yùwéna était, en tant que conteuse, ouverte à toutes les sciences qui pouvait lui livrer de quoi étoffer ses récits. Elle hocha pour dire qu'elle se souvenait. „ Il n'y a que Luien qui en possède un exemplaire... Mais elle refuse de me dire comment elle l'a eu. Veux-tu aller lui demander pour moi? ” „ Ça ” occupait son esprit tandis qu'on se massacrait là en-bas ! Juste là ! Dans le panorama qui se déroulait sous le toit du monde, en ce jour sans nuage. Au nom de dieux dont la volonté n'était claire que dans ses contes et qui peut-être n'existaient même pas – en tout cas faute de comprendre leurs messages, cela revenait au même – au nom de ces entités divines donc, on commettait des crimes. Kilien aurait pu employer son énergie vitale à faire le bien dans cet univers de misère ! Yùwéna se souvint alors que ce qui était normal pour elle, était extraordinaire pour d'autres. Elle voyait l'île Eewa, où l'horizon se brouillait en flou outremer, dans la marre de verdure d'Irliscia elle distinguait les cimes des arbres-rois de cette forêt. Elle accepta donc de rendre service à Kilien. Autant rester un bon souvenir dans sa mémoire avant de quitter cette terre de futilité. Et le papillon pour une collection, dépassait en ce domaine les obsessions vestimentaires. Avec la peur du trépas, l'instinct égocentrique d'une créature pensant à sa survie et à profiter de ses jours comptés avait délaissé Yùwéna. Elle ne songeait plus uniquement à améliorer sa médiocre condition par des loisirs ou des possessions. Voilà peut-être ce qu'elle aurait dû dire la veille au soir, au lieu de se taire. Aurait-ce eu un effet ? Puisque sa famille ne la soutenait plus, il lui fallait un nouvel appui, une épaule pour épancher les nouveaux soucis que son futur plein de péripéties apporteraient. Une tante... Non, une marraine ! La lettre du bureaucrate était dans sa poche, là où il l'avait fourrée la veille. Voilà la personne qui pouvait aussi lui apprendre le métier d'aventurier pour lequel elle aurait sans doute bientôt une averse de questions.
  2. La Source, le vent et la marraine (8° partie) Un pairle la tenait prisonnière. Un pal sur sa poitrine et deux branches qui était planté au sol de chaque côté d'elle. Sa cage thoracique ne pouvait pas se lever, cette fourchette l'étouffait. Heureusement ses bras étaient à l'extérieur de cette emprise. Yùwéna entoura la lourde barre de ses mains et bien qu'elle manquait d'air se libéra. L'objet bascula, il se tenait debout sur son pied : c'était un Y. Un i grec inversé ? Était-ce un symbole ? Peut-être une branche qui en engendre deux autres qui, d'abord proches, s'écartent toujours plus. Le pairle-i grec-symbole plia ses branches vers elles comme les cornes menaçantes d'un taureau. Yùwéna décida de se réveiller avant qu'il ne la fixe une seconde fois au sol. En sursaut elle se réveilla aux côtés de Yùèn. Inspira à s'en casser les côtes. Avec déjà une certaine routine d'aventurière, elle se saisit de sa tunique et de sa ceinture-avec-tout-ce-qu'il-faut et quitta en silence la sombre chambre. Docteur Yado avait raison pour ses poumons, peut-être qu'une promenade aurait le même effet que l'huile de menthe. De toute façon, elle voulait sortir. Le rêve lui avait donné une idée. À l'heure de la fraîche rosée, elle ne voulait pas aller au-dehors sans sa cape. L'habit beige traînait abandonné sur la table de couture. Yùèn avait renforcé le feutre de la cape d'un tissu de laine jaune primaire qui bordait les manches et les ourlets du bas et de la capuche. Les lisières ne s’effilerait pas de si tôt ! Dehors, on était à la demi-lune. Chacun des satellites solaires ne couvrait que la moitié de son astre, autrement dit on était entre chien féroce et Croloup. Une étoile rouge au regard narquois la narguait. Yùwéna devait marcher dans sa direction vers le Nord, là se trouvait le tumulus qu'habitaient les décédés. Bizarre qu'une étoile si claire n'ai jamais attiré son attention plus tôt. Certainement n'était-ce que sa mémoire défaillante. Le tertre était à l'écart de la ville, au-delà des champs. De son sommet, on voyait tout Suspensia et plus loin tout le Sud. Toutefois Yùwéna venait pour descendre, descendre dans l'obscurité et l'étroitesse. Yùwéna n'avait pas à attendre que ses yeux s'accoutument à lumière, puisqu'elle n'avait pas de pupilles. Il faisait aussi noire que sous l'aile d'un corbeau et plus loin comme dans un puits. Un sort lumineux arrangea cela. Les virages et la largeur insuffisante des couloirs devenaient apparents. Des menhirs érigés à intervalles réguliers soutenaient des pierres larges comme des chênes centenaires et lisse comme une pierre non-polie peut l'être. Entre les menhirs de granit gris étaient placées des dalles d'obsidienne noire, jointes sans la moindre fissure. L'air était croupi. Des entrailles labyrinthiques de ce tumulus aussi vieux que la civilisation montait l'haleine de ceux qui ne bougeaient plus. Cette pensée la distrayait de sa claustrophobie. Yùwéna n'avait plus peur d'aucune part du cycle de la vie. L'estomac serré l'Aéride s'avança. "Nom d'un pet puant ! " Elle s'était cogné le genoux ! Un caillou gisait caché dans l'ocre jaune qui tapissait le sol. Yùwéna n'était pas peureuse, mais son cœur battait plus vite à l'idée du toit de pierre qui s'étendait au-dessus de sa tête sur plusieurs étages. Le poids de 20 000 rocchus ! Il ne s'effondrait pas, mais la fuite semblait impossible si elle se perdait... boum... boum... boum.... Elle s'arrêta : la dalle à sa droite était la sépulture de son père. La concentration revint. Ses cendres avaient été dispersées dans le vent, sauf son crâne et les os de ses mains symboles de sa personnalité qui avaient été lavés à l'eau claire puis remis, pour l'éternité, à la terre. Dernier lieu pour se souvenir de lui en sa présence. Lentement Yùwéna tourna la tête : YÙV Elle était donc la fille de Yùv, de l'homme qui s'appelait faucon. Elle toucha la dalle et la retira aussitôt toute secouée. Elle avait vu l'image de son papa qu'elle avait tant aimé. Ses yeux étaient jaunes, les yeux d'un autochtone des montagnes et ils avaient des pupilles larges et belles, rondes comme des joyaux d'obsidienne polie. Andelle avait les yeux bleus. Yùwéna supposait que sa propre verdeur respectait une loi de la nature quand deux humains s'unissent. Toujours sans réponse satisfaisante, Yùwéna partit à la recherche de la sortie.
  3. Merel il y a un fil de discussion pour les fautes d'orthographe, de frappe et de français http://www.terre-des-elements.net/forum/index.php?showtopic=282
  4. Décidant de surpasser sa marraine qui n'était après tout qu'elfe, Yùwéna vola de ces ailes invisibles de faucon. Elle s'avança droit devant : elle semblait léviter par-delà le vide abyssal. "Profision ton troisième défi est trop simple ! J'ignore ton labyrinthe de téléporteurs, moi !" Comme l'observateur attentif remarquera j'avais déjà tué les skelets-arcs au moment de la photo, je n'avais pas pris de screen shot en arrivant là la première fois, mais en cherchant le bon dernier téléporteur, j'ai décidé d'y retourner parce que le temps me suffirait largement. C'est donc bien à chaque fois qu'on se retrouve du mauvais côté du socle.
  5. Dans le temple de MZ en haut à droite : Superbe vitrail Finement réalisé Vous ressentez une sensation étrange en vous approchant de ce vitrail en particulier. Comme si la magie avait été utilisée ici très récemment ... Accord au féminin oublié Keril : Corrigé
  6. La Source, le vent et la marraine (7° partie) „ Je t'ai raconté combien mon mariage coûterait ! – Oui Yùèn, je suis sûre que Faramèn et toi avez mis de côté pendant longtemps pour ce jour somptu...eux ” Des insultes ne mèneraient à rien, mais sa cœur avait compris somptuaire de toute façon. „ Pendant, insinua Yùèn, toutes ces années où tu as vécu dans cette maison... –- Si ton assiette était vide ou si tu as d'autres créanciers que Yado, mais pas pour le prestige d'un mariage luxueux. – Du luxe ! Sale...” „ Yùyù, c'est son argent, intervint Andelle. Yùwéna peut en disposer comme elle veut. – Non mère, ce n'est pas mon argent ! J'ai promis à la personne qui me l'a confié de l'employer à devenir aventurière, j'investirai cet or dans des équipements et dès demain pour une serpe d'herboriste. – Égoïste ! La même petite égoïste qu'avant ! ” Yùèn s'enflammait. „ Tu as toujours fait ce que toi tu voulais faire : quand j'aidais Maman dans le ménage, tu jouais dehors avec le vent, quand Papa est mort j'ai commencé à travailler de mes mains... – Mais tu aimes la couture ! – J'aime ce loisir : inventer des vêtements, coudre, tricoter, broder... mais pas repriser les chaussettes des autres, devoir travailler jusqu'à tard le soir pour un client impatient, passer une semaine d'ennui à tailler vingt tuniques du même modèle simple et peu coûteux. Pendant ce temps, tu te promenais et parfois contais tes histoires et nous disais toujours que c'était ton service à la communauté, que tu éduquais les enfants, écartais les soucis... Et ne recommence pas avec ces mêmes illusions que tu te fais ! Ne dis pas que tu vas partir à l'aventure pour que nous puissions vivre en paix, devenir plus riches, trouver l'accomplissement de notre vie. Tu travailles pour tout le monde, plutôt que pour quelques uns. C'est ton caprice ! Pendant ce temps Faramèn et moi essayons de ne pas ruiner l'estime pour nos deux familles. Qu'est-ce que la communauté croira de nous, si nous ne fêtons pas trois jours en invitant tout Suspentia et tout Nuagia à nos tables ? ” Les deux sœurs se couchèrent fâchées et passèrent la nuit dos à dos.
  7. Idem pour Eolia, mais ça me semble plus logique attendu sa légèreté nébuleuse : Mais y bien y penser, le feu ça ne pas de masse, c'est cela le combustible qui a un poids. Peut-être que Vulfurne marche au gaz Et pour la statue en arrivant à Terra :
  8. Tel Atlas le Ciel, je porte la statue de Vulfurne : Enorgueilli par cet exploit je tente à une épaule :
  9. 1. De quelle couleur est le remède que Saladm administre à Yùwéna ? Le remède a des reflets bleutés. 2. Comment s'appelle la figure de style à cet endroit du texte ? Et celle-ci ? Le silence criait dans ses oreilles et le bruit se dérobait à son audition. L'association du goût à la couleur caca d'oie est une synesthésie. La seconde phrase est un chiasme. 3. Quelle étymologie la Conteuse invente-t-elle pour le nom Urgo ? "une histoire qui racontait comment jadis un héros nommé Urgolin avait conquit se territoire sauvage et comment par la suite on aimait nommer ses enfants d'après ce fondateur." 4. Quelle est la particularité de la gourde de Yùwéna ? "la gourde n'avait aucune couture, le cuir était extensible comme la gueule du serpent insatiable" 5. L'élément de Yùwéna est le perroquet. Justifiez cet affreux à-peu-près ! Le perroquet appelait une réponse comique, puisque rien d'autre ne justifie ce mot, sinon qu'une syllabe a été ajoutée a "pet" et "rot" pour faire un mot (rappelant un peu la lettre suivante Q). C'est une référence à Le Rho et l'omicron, où Yùwéna découvre son élément est l'air. 6. Pourquoi/Comment Yùwéna exclue-t-elle les trois autres éléments ? - feu : le soleil rouge qui l'accable dans le désert, le dégoût inculqué dans son enfance (on déteste toujours plus ses voisins que les ennemis lointains) - eau : sensation désagréable dans l'eau comparée à l'urine - terre : n'avance pas dans le sable 7. Quelle forme de magie choisit Yùwéna ? La magie des objets, contrairement à ce qu'on pourrait croire. 8. Comment s'appelle le bureaucrate qui accueille les nouveaux aventuriers près de la statue d'Èolia ? Pourquoi peut-on supposer qu'il a une voix aiguë ? Il n'est pas nommé. Sa voix semble venir de la statue d'Eolia qui est féminine et ne devrait donc pas être confondue. 9. Quel est le diminutif de Yùwéna ? Yué, Fille du Faucon était bon aussi, mais c'est plutôt un surnom. 10. Quel est le 999è mots de l'histoire ? Début 11. Rédaction : décrivez l'apparence de Yùwéna en 3 à 5 phrases. - cheveux châtain - cape beige - jeune - yeux verts sans pupilles - petite pour ne citer que quelques éléments
  10. La Source, le vent et la marraine (6° partie) Elle s'était imaginé son retour différemment. Elle ne régurgitait pas beaucoup, mais avec difficulté. Ah enfin ! Ça se calmait. Elle fixa le pot de chambre jusqu'à en faire disparaître le contenu, c'était mieux que d'inquiéter sa mère avec du sang. Docteur Yado lui tendit un verre d'eau pour se rincer la bouche et quelques feuilles de menthe fraîche à mâcher. Il écouta ensuite les bruits de sa respiration et conclut : „ Il vous faut de l'huile de menthe, à appliquer sur votre poitrine tous les soirs. Cela libérera vos poumons. ” Yùwéna lui apprit alors que cela tombait bien puisqu'elle voulait devenir herboriste. Le médecin semblait soulagé, mais de quoi ? La mère entra alors dans la pièce avec une part de gâteau au cactus et une bière mousseuse pour le médecin. Elle avait la tête baissée de quelqu'un qui a honte ou qui demande une faveur magnanime. Toute cette révérence : docteur, maître, vénérable Yado. Flash ! Yùwéna saisit sa bourse et en sortit une pièce d'or. Elle était grosse comme l'ongle du pouce et si fine qu'on pouvait à deux mains la plier, mais combien plus solide que toutes les promesses passées de Dame Andelle. „ Voilà qui devrait couvrir toutes les dettes de ma famille. – En effet, Damoiselle Yùwéna, je n'ai jamais douté que ce jour viendrait.” Sa voix disait le contraire. „ Je me souviens justement que j'ai sur moi une fioline d'huile de menthe, je l'oublie facilement, elle est tellement petite. – Gardez-là pour un autre patient Docteur Yado, je m'occuperai moi-même de cueillir les feuilles. ” Les yeux ronds comme des feuillus verts Andelle raccompagna le médecin à la porte. Il rassura autant qu'il pu la mère, lui assurant la bonne santé de sa fille qui avait seulement d'un jour de repos pour se remettre de l'émotion d'être de retour parmi le siens. Yùwéna avait remis sa tunique, mais laissée sa ceinture dans la chambre. Elle retourna dans la pièce principale, où le regard de Yùèn l'attendait, un filet qui couvrait toute la pièce, la petite sœur ne pouvait s'abriter nulle part.
  11. La Source, le vent et la marraine (5° partie) Le médecin et Yùwéna passèrent dans la petite chambre à coucher des deux sœurs. Le lit qu'elles se partageaient au milieu, au mur le seul autre meuble notoire : la glace de Yùèn qui était la seule possession de valeur de toute la maison. Yùwéna s'assit sur le bord du lit, face à la fenêtre pour donner assez du lumière au docteur. Il s'était quant à lui approché le tabouret qui servait aux deux sœurs à se coiffer l'une l'autre le matin. Yùwéna défit sa ceinture, la posa à côté d'elle avec tous les objets qui étaient y accrochés. Pendant qu'elle ôtait sa tunique aux manches longues, Yado vit sa gourde. Il remarqua qu'elle était faite d'un serpent entier, sans couture. „ C'est une fort belle gourde que vous avez là ! ” Yùwéna ne voyait pas où il voulait en venir, mais elle ne devait laisser cette obsession vestimentaire de ses compatriotes l'irriter. Le docteur venait après tout de lui livrer un bon sujet pour converser avec sa sœur. Oui, cela valait mieux que de parler à nouveaux de justice, de meurtres impunis, de toutes ces choses que Yùèn trouvait moins importantes que son amour et la recherche d'une petite vie tranquille, à l'ombre d'un grand chêne nourricier et tant pis si les autres n'ont pas son tronc comme paravent. „ Hépathique, ” murmura le médecin en reposant la main gauche de Yùwéna sur sa cuisse. Elle pensa pour elle : „ Évidemment avec toute cette bile noire que je me fais, mon cœur bat trop vite. ” „ Je vais très bien docteur, juste un peu excitée d'être de retour. C'est ma mère qui voulait que je vous vois. ” Il ne semblait pas d'accord sur le premier point, mais ne la contredit pas tout de suite. „ Vous étiez morte Damoiselle Yùwéna. Je sais que chaque mort est une expérience unique, il y a cependant quelques ressemblances d'un point de vue purement médical.” Le docteur Yado avait eu souvent à faire à des aventuriers ressuscités pour la première fois et bien que ce fut une chose fréquente, tous avaient une tendance soit à se prendre pour une sorte de messie, soit à croire que personne ne pouvait comprendre ce qu'il leur était arrivé. „ J'aimerais savoir si vous ressenti certains symptômes. ” Yùwéna souriait poliment. „ Une amnésie antérograde ? – Oui, mais mes souvenirs sont presque tous revenus. ” Le presque convaincu Yado il répondit : „ Le reste vous reviendra avec les odeurs, les lieux, les sons d'ici. – Tous les autres symptômes ont disparus, je suis même plus forte qu'avant parce que je me suis entraînée. – Se sentir bien c'est le début de la santé, mais pour l'amour de votre mère qui se fait tant de soucis, laisser moi m'en assurer.” La médecine aéride se fonde principalement sur une dizaine de points du corps, où le pouls peut-être tâté. Yùwéna mit sa tête un peu en arrière, pour que le médecin puisse le prendre aux veines jugulaires. Il palpa aussi les ganglions, puis procéda avec les autres points du mesure du rythme cardiaque que la combinaison de Yùwéna laissait libre. Cela prenait quelques temps que Yùwéna remplit avec la question qui l'obsédait et que le silence avait fait revenir : „ Savez-vous pourquoi on me nomme la Fille du Faucon ? – Je n'en sais rien, répondit une vois distraite. „ C'est ma femme ... qui s'occupe de raconter ” Le médecin qui se contrait sur autre chose séparait des groupes de mots par des pauses. „ des contes de fées …. aux enfants malades.... Je suis un homme de science. – Alors expliquez-moi mes yeux ! – Tant que vous n'avez aucun problème pour voir, l'absence de pupilles n'est pas une maladie. Par contre votre voix éraillée ! ” Il la pria d'ouvrir la bouche et examina le fond de sa gorge. „ Vous étiez dans le désert n'est-ce pas ? Je ne demande pas à cause de votre peau bronzée, mais parce qu'il y a une bonne pelleté de sable dans votre gorge. Et vous vous sentez forte malgré ça ? – Oui j'étais sur le plateau d'Urgo, une tempête de sable s'est levée hier. Le remède sur le Plateau est un liquide caca d'oie. ” Elle fit une mine de dégoût et avant d'avoir pu expliquer ce qu'elle avait voulu dire le médecin lui répondait: „ Je ne connais pas, mais j'ai sur moi une fiole d'un élixir bleu.” Son seul mauvais souvenir des jours à l'étranger ! „ Vous vous souvenez de Lina ? Elle a son apothèque à la taverne. Je ne dis pas cela parce que c'est ma fille, mais vraiment ses potions sont remarquables ! De vrais petits miracles. ” Fabuleux en effet pensait sa patiente. „ Mes autres filles toutes devenues apothicaires, mais tellement loin, voyez-vous je ne peux pas m'assurer de la qualité de chaque flacon. Alinéa par exemple travaille dans une forêt maudite. C'est tant mieux, Lina suffit pour toute la montagne, chaque potion surpasse mes attentes ! ” Yado vomissait des compliments, tandis que Yùwéna vidait son estomac dans un pot de chambre.
  12. Habemus vincitores ! (´∀)*.:* frenchouf *:.*ヽ(´∀ヽ) et sur la seconde place : ☆*°☆*°☆* Noeleroi °☆*°☆*°☆ On s'arrangera par MP pour les récompenses. Je posterai demain des les bonnes réponses !
  13. Yuwena

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    J'ai déjà remercié Guix par MP, mais puisque tout le monde vient ici je ne veux pas passer pour une ingrate Je suis très contente de la flèche que mon poème a tirée dans ton cœur ( ☀️◡ ☀️ ) et je dépenserai ton or pour m'acheter des fleurs ! (pas tout quand même, j'aurai du mal à ma les lancer moi-mêmes). Vivement le prochain concours de ton imagination productive ! Et vivement toutes vos participations ! Merci Fiathen ꒰。•‿•。꒱ Mon intention n'était pas de blesser, mais d'être constructive.
  14. Yuwena

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    Suite à la discussion hier soir sur le chat, je remercie Ignis et Tigrrr pour l'aide qu'ils m'ont apportée, sans que je la leur aie demandée (quand on fait une bêtise, c'est bien que quelqu'un nous le dise). Voici quelques points que je voudrais clarifier : 1. Pour moi loisir et ambition ne sont en rien des contraires et quand on pratique, par exemple un sport, c'est normal de recevoir des conseils de ses coéquipiers ou de se faire dire qu'on aurait mieux joué si... En escalade, si quelqu'un n'a pas réussit l’ascension qu'il s'était donné pour but, hé bien des escaladeurs plus expérimentés (et je ne suis pas la seule a avoir une plume expérimentée sur ce forum) lui donneront des conseils. Comme cela il progressera et les autres peuvent écouter aussi. Et dans le cas précis de frenchouf : ça m'aurait découragée d'avoir eu une si bonne idée et le juge il n'a même pas compris. J'aimerais dire ici qu'il y a un malentendu, et que j'en suis probablement la fautive : pour moi ce que j'ai écrit sur les textes n'était pas du "décorticage", ni un commentaire littéraire comme à l'école. Ça aurait été du taf et m'aurait pris au moins une heure, peut-être deux pas texte, j'ai vraiment seulement écrit ce que j'ai remarqué à première lecture et en discutant avec mon chéri à table (ça notamment pour les textes de Ginji et Héphaistos). 2. Mon expérience sur les jeux que j'ai joués jusqu'à maintenant a été que les gens jasent entre eux sur les RP : "faire un récit avec X ? Ah non hein !" Puis s'en suit une explication d'une précision littéraire remarquable qui dénigre le style de la personne. Alors qu'il suffirait de lui dire : pense à mettre des points de temps en temps, concentre sur le dialogue c'est que tu fais de mieux... Et on aurait vite le plaisir de jouer avec une personne de plus. Comme au foot où on ne prend toujours que les bons joueurs dans son équipe, plutôt que d'apprendre aux et aussi grâce aux maladroits, déconcentrés, p'tits nouveaux... 3. Pour ce qui est de ne pas voir de science dans le RP : Soit c'est seulement une question de goût personnel et dans ce cas c'est parfaitement arbitraire de n'avoir qu'un juge. Soit il y a des critères sur lesquels se basent l'opinion et dans ce cas ce n'est pas une coïncidence que Guix et moi, sans nous être concertés soyons arrivés aux mêmes deux meilleurs textes (Hépha s'étant disqualifier par une erreur). Est-ce important que les uns voient les effets et les autres perçoivent seulement leur lumière ? 4. On m'a conseillé de me contenter de dire „ j'aime bien ”, je vais continuer à le faire dès que je verrai une personne sur le chat ou à l'évoquer dans un MP. Néanmoins, je ne vois pas d'intérêt à poster un message sur le forum pour cela et c'est peut-être la raison pour laquelle la section commentaire a été si peu été utilisé dernièrement. Je trouve que de regarder un peu derrière la coulisse des textes met de la vie dans la partie RP, reconnaît que celui qui écrit est toujours écrivain, même s'il ne travaille que par instinct. C'est un artisan et je le valorise comme tel ! Mon expérience jusqu'à présent comme modératrice de fofo JDR était que plus gens se mettaient au RP (peut-être voyaient-ils qu'il ne faut pas attendre le St-Esprit ou de se lever un matin avec un talent magique pour l'écriture) et plus venaient lire les RP quand un texte recevait des critiques. Alors qu'un „ j'ai adoré ” sans explications, cela fait plus „c'est mon pote ”. Nous ne sommes pas non plus au pays des bisounours, où on ne doit surtout rien dire qui est un sens ou un peu de profondeur : pour moi poster un „ j'aime ” c'est du small talk, c'est bien ! C'est utile ! Cela fait plaisir ! Et on en a absolument besoin ! Mais s'il n'y a que cela : c'est vide ! 5. Après si vous êtes dégoûtés qu'on dise plus de bien ou moins de mal du texte d'un autre, ou qu'on ait un œil critique sur le vôtre, ne participez pas à un concours. Le RP en général c'est d'être publier, donc d'être lu ! Et je suis absolument pour qu'on donne des avis structurés à ceux qui rendent leurs textes publics, le RP est une bonne plateforme pour devenir plus performant (et je ne parle de devenir poète, mais de jouer de mieux en mieux au fil des années). Dans le cas d'un concours, c'est plus vrai que n'importe où ailleurs puisqu'on donne son texte pour qu'il soit comparé aux autres. Voilà, tout ceci dit : je ne posterai plus de commentaires en public, les personnes qui étaient contentes de mes retours continueront à en recevoir si elles écrivent des nouveaux RP ou que je rattrape leurs anciens messages. Si quelqu'un veut savoir ce que j'ai pensé de sa participation au concours, il suffit de me MP ;o)
  15. Yuwena

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    Frenchouf : tu as écrit : , il prenait l'épée de la petite fille et se décidait à suivre le chemin de la bête Si "il" et la bête sont la même personne, cela voudrait dire que le Croloup est le narrateur qui a mal au ventre et qui se voit d'une perspective externe (lacérant la poitrine de la petite etc.). Où ai-je comme Guix mal compris ?
  16. Yuwena

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    Moi j'suis une bourrine! Fiathen c'est le premier de tes textes auquel j'accroche. Le style était probablement trop particulier pour devenir la version officielle, mais je ne l'ai pas trouvé non plus lourd quoique c'était juste. C'était cohérent ! Il avait des quelques perles dans la façon de s'exprimer Rayna. Le loup au pouvoir de Merlin et dont l'intellect dépasse celui de Rayna était original, bien réalisé avec les niveaux de langues. Malheureusement je n'ai trouvé sympathique aucun des deux personnages, je ne pouvais pas m'identifier. Il manquait aussi le raison pour laquelle le Croloup est devenu plus fort.
  17. Yuwena

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    Maintenant les autres qui m'ont bien plus sans classement exact. Les deux versions de Ginji Mon aquamancienne préférée use d'un procédé narratif vraiment remarquable, c'était peut-être à la base une excuse pour ne pas choisir entre deux idées, mais la réalisation est si bonne que ça n'a aucune importance ! L'autre originalité du texte est la bénévolence du loup : J’en arrivais à me demander s’il existait réellement car plus personne ne l’avais vu depuis quelque temps, et pire encore, je me demandais s’il était si terrible que ça. Il tuait du bétail, mais il fallait bien qu’il se nourrisse. Son infamie ne semble qu'exister dans les ragots colportés par la rumeur, dans l'incompréhension des humains. Il tue au final c'est exact, mais citons les pensées antérieures de Rayna : il s’en prenait aux aventuriers qui voulait le combattre, était-ce de l’auto-défense ou une véritable preuve de cruauté ? C'est cet élément principalement qui m'a fait écarter Ginji du podium. Je ne crois pas qu'il soit bon que le monstre que nous devons tous tuer soit un gentil qui n'est méchant que quand on lui cherche noise. C'est un plaidoyer pour les incompris et contre les préjugés (bonus morale !).(Ginji j'ai lu ce que tu m'as envoyé par MP, mais ici je reste sur le texte tel quel, comme je l'ai lu et ta justification partait sur quelque chose que tu n'as pas dit). Les autres éléments sont un style moins parfait que celui de Suyvel et Hephaistos. Côté RPG : La description de la vie d'aventurier est précise et plausible, elle donne un cadre à nos IRL actions sur les maps. Si on m'imposait de décrire la façon d'écrire de Ginji en le moins de mot possible je dirais : elle ose ! Un détail encore sur la forme, Ginji si tu lis ceci et prends mes conseils à cœur : utilise un vert moins flashi, ou met en gras, en tout rend ça moins agressif et plus lisible )
  18. Yuwena

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    J'accorde la deuxième place à Héphaistos ! Sa contribution est la plus longue, mais ça plume bien taillée ne faiblit a aucun moment. J'ai déjà loué son style descriptif et pour ne pas me répéter je relève aujourd'hui une autre qualité : Héphaistos n'utilise pas que la vue. Il a même écrite une synesthésie, et cet effet est la véritable diva des figures de styles. C'est difficile (en dehors d'un poème) d'en écrire une sans donner au lecteur l'impression de s'être trompé de mot. Ici elle est justifiée par le réveil d'un étourdissement. L'ouïe est associé au touché : Le doux son des flots de lave lui caressa les oreilles. Il use aussi du procédé d'isoler des phrases par la forme, si je dénombrais toutes les figures de son texte dense, ça ferait un sacré trombinoscope. Le passage où Rayna convoque l'elfe de façon peu orthodoxe est mon préféré de tout le concours. Héphaistos a su donner vie à la carte ! Dans ce sens, peut-être aurait-il été le meilleur texte pour devenir la version officielle. (mais le texte de Suyvel est plus léger et plus focalisé). J'écris aurait parce qu'une bête erreur l'a disqualifié. La morale qui m'est si chère : Hepha entre dans les pas de personne de moindre que Mary Shelley ! Son Croloup aspire à l'humanité, mais est rejeté des humains qui le considèrent comme un monstre qu'il n'est pas et c'est finalement par l'humanité ( la rage qu'il rend aux hommes) qu'il devient monstre. Un paradoxe des plus pertinents. Ce qui est une solution ingénieuse au problème posé par Guix : qu'est-ce qui rend le Croloup plus fort ? L'autre question auquel le texte trouve une réponse convaincante est celle du comment rendre l'histoire que nous connaissons tous passionnante ? En donnant une phobie à la protagoniste. Une phobie bien embêtante avec le comique et les obstacles que cela amène et qui rendent le récit intéressant. Bravo à toi aussi !
  19. Yuwena

    Commentaires HRP

    L'heure approche où Guix chassera notre impatience ! Pour tous ceux qu'elle dévore en ce moment, mes commentaires/critiques pour tuer le temps d'ici là : La Ballade d'une sœur dévouée Pour moi le meilleur texte de ce concours, s'il faut en choisir un seul ce qui n'est pas facile, était celui de Suyvel. D'abord la forme : un titre autre que celui de Guix et qui rend curieux : une ballade donc ? Les couplets aèrent et organisent le texte (soit dit en passant Suyvel répartit fort bien ses paragraphes), les sous-titres sont alléchants. Suyvel use d'une figure de style typique du RP et dont je n'ai toujours pas trouvé le terme rhétorique : elle détache des phrases du corps avec saut de ligne, avant et après. Un effet que j'aime ! Voilà qui nous mène tout droit à son plus grand mérite qui est d'avoir su écrire du suspens. Et ça c'était difficile vu que nous connaissions tous le sujet et la fin. Bien sûr, vous me direz on se doute que c'est une potion d'intelligence avant qu'elle ne le révèle, mais j'ai gardé des images vivantes... palpitantes du combat en particulier, mais aussi des péripéties précédentes. Suyvel décrit bien ! Je vois ses personnages agir, sait pourquoi il le font et dans quel environnement. Je crois qu'elle saurait écrire des bon scripts pour le septième art. Pas que côté style, ses idées aussi sont originales (le vol pour n'en citer qu'une) et scéniques ; ce qui rejoint un peu mon commentaire sur les paragraphes. Il faut absolument mentionner qu'elle a, à mon sens, le mieux rempli les critères imposés par l'énoncé. Passons maintenant a la part RP : Elle a brillamment introduit son propre personnage dans l'histoire et je crois que Suyvel aime son perso (c'est un grand compliment venant de moi qui reproche toujours le contraire aux scénaristes de série TV). Bien que Rayna ait beaucoup de caractéristiques d'anti-héros comme son larcin et ses propos racistes, elle ne devient pas antipathique. En outre on a pas ce bête sentiment que Suyvel se force à être politiquement incorrecte, comme c'est souvent le cas dans ce genre. Son interaction dépasse le "mon personnage a vu Rayna faire quelque chose" (qui n'est pas mal, juste fréquent dans les textes proposés). Bravo ! Je passe les détails : le texte n'était pas dépourvu d'humour, ne manquait pas de vocabulaire, une jolie morale à la fin, une belle personnification du paysage Aéride etc.
  20. Après avoir postée sa missive, Yùwéna contempla un instant la blanche statue de la déesse. Une plaque de marbre aux lettres dorées y avait été apportée, et soit qu'elle fut nouvellement installée, soit que Yùwéna l'ait oubliée dans mort, elle la voyait pour la première fois. C'était un éloge d'Eolia. Il était signé du nom de : " Suyvel Ayflesh !" Sa marraine était donc poète ! Le hasard faisait bien les choses, car assurément on ne pouvait pas mettre cette coïncidence sur le compte de l'administration, le bureaucrate avait seulement saisit la plus haute enveloppe du tas qui attribuait des parrains aux nouveaux aventuriers.
  21. Les deux arriveront à destination, mais sur le forum m'évitera de devoir supprimer des messages privés (j'arrive régulièrement à 100).
  22. Pour masquer ton style ? C'est vrai qu'on reconnaît bien tes vannes, même sans signature Ou pour rester mon chouchou Edit : je voulais dire donner les solutions pour ceux qui n'aurait pas trouvé, pas affiché les réponses de tous ceux qui ont réussit.
  23. J'oubliais bien sûr de préciser que les bonnes réponses seront affichées à la fin du concours et s'il y a lieu un bêtisier anonyme.
  24. Très bonne question (je l'attendais et tu viens de devenir mon chouchou  ̄(=⌒・⌒=) ̄ ) : on commence après l'histoire personnelle au premier titre ;o)
  25. J'offre une petite récompense au lecteur le plus assidu et le plus vif d'esprit de la Chronique de Yùwéna ! Les autres ne baisseront pas dans mon estime, parce que les questions que je vais poser sont précises (mais par forcément dures) et je chipoterai sur les réponses ! Les règles du jeu : -- une participation par joueur, mais vous pouvez vous mettre à plusieurs, la récompense sera partagée -- le premier à avoir trouvées toutes les bonne réponses gagne 50 PO, le second (le cas échéant *diable* ) 30 et le troisième 10. L'heure d'entrée des MP faisant foi -- les réponses sont à envoyer par MP. Une fois par jour je réponds à tout le monde en chipotant pourquoi vous avez faux, jusqu'à ce que nous ayons un vainqueur (ou trois si deux autres ont toutes les réponses le même jour). -- vos questions sur le déroulement du concours sont à postées ici, pour que les réponses servent à tout le monde 1. De quelle couleur est le remède que Saladm administre à Yùwéna ? 2. Comment s'appelle la figure de style à cet endroit du texte ? Et celle-ci ? Le silence criait dans ses oreilles et le bruit se dérobait à son audition. 3. Quelle étymologie la Conteuse invente-t-elle pour le nom Urgo ? 4. Quelle est la particularité de la gourde de Yùwéna ? 5. L'élément de Yùwéna est le perroquet. Justifiez cet affreux à-peu-près ! 6.. Pourquoi/Comment Yùwéna exclue-t-elle les trois autres éléments ? 7. Quelle forme de magie choisit Yùwéna ? 8. Comment s'appelle le bureaucrate qui accueille les nouveaux aventuriers près de la statue d'Èolia ? Pourquoi peut-on supposer qu'il a une voix aiguë ? 9. Quel est le diminutif de Yùwéna ? 10. Quel est le 999è mots de l'histoire ? 11. Rédaction : décrivez l'apparence de Yùwéna en 3 à 5 phrases. Question facultative : À votre avis, pourquoi Yùwéna est-elle la fille du faucon ? Bonus ! Un seul par personne ! Trouvez dix fautes d'orthographe/de frappe dans le récit pour compenser UNE mauvaise réponse. Je ne relis pas mes RP, parce que ça me rappelle le boulot et vous connaissez l'adage : Ne fais rien et ce que tu dois faire absolument, fais-le faire par les autres !
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