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Terre des Éléments

Yuwena

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Tout ce qui a été posté par Yuwena

  1. Yuwena

    Je suis Charlie

    J'ai accroché à la fac une bannière qui dit "Satire darf alles ausser sterben" (la satire à le droit de tout faire sauf mourir, cela combine une citation de Tucholsky qui défendait que la satire ne doit connaître aucun tabou et la phrase que l'on prononce lorsque l'on encourage un mourant à ne pas abandonner). J'ai convaincu l'intendant du théâtre où travaille mon chéri d'accrocher "Je suis Charlie" sur la terrasse, parce que le théâtre est un lieu de liberté d'expression, ce sera visible depuis le pont que tout le onde emprunte pour aller au centre-ville. Ici en Allemagne le mouvement xénophobe Pegida instrumentalise cet attentat comme preuve de l'islamisation de l'Occident. C'est la seule chose qui peut être pire que leur mort (â›ï¸µâ›.)
  2. Yuwena

    Je suis Charlie

    Hier, la rédaction de Charlie Hebdo a été fusillée par des extrémistes. Cette phrase est crue, mais que dire de plus ? Bien que j'ai toujours vécu avec cette possibilité, je n'arrive pas y croire. Je suis bouleversée. Mes héros sont morts et une voix courageuse s'est tue. Mais cette voix ne doit pas s'éteindre ! Nous devons continuer à prôner la tolérance, la liberté d'expression et la justice humaine sur terre plutôt que divine dans les cieux. Il n'y pas de démocratie sans satire ! Et c'est pour cela que je dit partout où je vais : JE SUIS CHARLIE ! http://www.charliehebdo.fr/index.html
  3. Le Regard (part 3) Yùwéna contourna un flanc montagneux, son plaisir fut grand de retrouver le clair jaune du soleil occidental. Elle tourna la tête et vit les astres bleus et verts qu'elle avait oublié jusqu'à lors. Ils étaient bas sur l'horizon et la montagne les avaient cachés. Leur lumière complémentaire au rouge annihilait son rayonnement en lumière blanche. Ils faisaient bon dans cette vallée, tellement même que maintes plantes y avaient cherché refuge. Il ne fut pas difficile de trouver la petite Lilla qu'Urgo lui avait recommandée. Yùwéna suivit les sanglots d'enfant qui pleure. Les yeux de Lilla étaient mouillés et un bref instant, Yùwéna se demanda si c'était là l'oasis dont avait parlé Urgo. De l'eau au milieu du désert, mais cette pensée n'avait vraiment aucun sens. L'aventurière promit d'aider la fillette en détresse, qui en retour promit de lui montrer ses propres yeux. Avec le même sort meurtrier de serpents, Yùwéna tailla les buissons épineux qui avaient écorchés Lilla. Les uns étaient rouges, les autres verts, ils se nourrissaient probablement de la lumière de deux soleils différents. Lilla tint promesse et conduisit Yùwéna au bord d'une oasis. L'eau et la rive étaient obombrées par des hauts palmiers. Aucun vent n'y soufflait, aucun sable ne virevoltait dans les airs. Sur une grosse dalle de pierre, libre de sable, on pouvait approcher l'eau. Yùwéna enleva son ample cape à capuche et s'agenouilla devant le miroir naturel.
  4. Le Regard (part 2) Yùwéna n'eut pas le loisir d'approfondir cette pensée. Avec un fracas métallique, suivit d'un grincement strident, le clapet qui formait la bouche robotique s'ouvrit. Effrayée, Yùwéna bondit en arrière ! Elle avait encore sa dague en main et le serpent, qui se laissait glisser vers le sol, n'eut pas le temps d'un battement de cœur pour regretter ce hasard défavorable à sa survie. Un jeune homme saluait Yùwéna d'un peu plus loin. Il était assis, les jambes ballantes, sur un enclos de bois. Yùwéna s'approcha le cœur en chamade et la main tremblante. „ Tu l'as échappée belle ! Mon champ est infesté par les serpents et je ne peux pas les faire partir. Ils détruisent ma récolte... Peux-tu m'en débarrasser ? Je saurai te remercier pour cette aide. – Je ne blesse, ni ne tue volontiers, mais s'ils ruinent ta récolte et que tu me laisses manger leur chair et tanner leur peau, je le ferai, car leur mort ne sera pas vaine. ” C'est une chose de tuer au couteau un seul serpent pris par surprise. Il y avait dans le champ sept reptiles. Yùwéna lisait dans chacune des pupilles elliptiques le désir ardent de la mordre, si seulement elle avançait d'un pouce ou deux trop près. Heureusement, le choc qu'elle venait de subir avait ravivé en elle la magie. Sa frousse des sept serpents suivants devança sa pensée : elle lança un sort lumineux des plus simples, qui s'avéra pourtant efficace. Elle empocha son butin, comme Saladm se réjouirait en recevant ses peaux complètes, qu'aucune lame n'avait trouée et qu'aucun sang n'avait souillé ! Elle accepta volontiers le remède après la bataille, il calma aussi les coups de soleil de ses mains et de sa figure. „ Tu dois être une magicienne ! ” déclara celui qu'on appelait Urgo, c'était un nom des plus communs sur le plateau et Yùwéna s'était faite une histoire qui racontait comment jadis un héros nommé Urgolin avait conquis ce territoire sauvage et comment par la suite on aimait nommer ses enfants d'après ce fondateur. „ Magicienne à la recherche de la couleur de ses yeux. – Je pourrais te le dire, car derrière le sang se cache une ravissante coloration, mais il me semble que ce n'est pas le but de ta quête. ” Urgo avait regard franc, il était joyeux et beau, surtout il semblait la comprendre. Yùwéna comprit ce qu'était ce sentiment qui la bouleversait. Elle redécouvrait toutes ces choses, mais n'ayant aucun désir de passer sa vie à labourer un champ sous un soleil qui ne quittait jamais le zénith, elle passa son chemin. Urgo lui indiqua le chemin à prendre et elle lui lança : „ Bonne continuation ! ”
  5. Le Regard (part 1) De la chair de serpent, attendrie pendant plusieurs jours dans une marinade d'eau de cactus, c'était le déjeuner quotidien sur le Plateau d'Urgo. Saladm et Yùarni se comprenaient désormais et discutaient dans la langue du désert. "ž Saladm, dis-moi s'il te plaît : mes yeux sont ils écarlates comme les tiens ? "“ Dans le désert, répondit l'interrogée, tous les yeux sont injectés de sang. Le sable a troublé ma vue et je ne peux te dire si les tiens ont une couleur cachée derrière le rouge. "“ J'aimerais bien voir mes yeux de mes propres yeux. "“ Hier encore tu supportais mal l'extérieur, aujourd'hui ta voix est forte et joyeuse. Ta rémission se fait incroyablement vite. Tu peux tenter une ballade et rejoindre le Robot. "“ Une machine ?, s'enquit Yùwéna. "“ Dans ma jeunesse, sa cuirasse lisse mirait ce qui était en face d'elle." Saladm presque rituellement refusa que Yùwéna ne l'aide dans le ménage, elle s'en fut donc trouver El Touristo. Pour rejoindre ce robot, il lui fallu contourner un flanc montagneux, ce n'était pas un court chemin. Du haut de son trône que l'on nomme zénith, le soleil commandait toutes les créatures. Yùwéna accoutumée à la fraîcheur des montagnes ventues se démenait vaillamment contre les rayons qui l'embrochaient. Faussement, elle attribuait sa peine, tout à fait naturelle, à sa morte récente et combattait cette faiblesse avec la détermination d'être guérie, que la mort n'est rien de grave, qu'elle était maintenant une fière aventurière ! Le premier détail qui sauta aux yeux de Yùwéna, avant même la forme vaguement humaine aux deux jambes, torse carré et bras cylindrique, fut que le robot était ascien, c'est-à-dire qu'il n'avait pas d'ombre ! Elle non plus ! Chose curieuse ! Elle fit un tour sur elle-même, creusa dans le sable. Son ombre s'y cachait peut-être pour échapper à la torture calorifère des rayons solaires. Tout en creusant, elle n'avait cessé de réfléchir. Pour que la pénombre existe, il faut de la lumière, elle vient en général d'une lampe et cette lampe... Yùwéna mis la tête en arrière et dirigea son regard vers l'astre-lampe. Un mal de tête déchira les deux hémisphère de sa cervelle, ses yeux douloureux se fermèrent par réflexe. Un œil la zyeutait méchamment et comme tous les yeux dans le désert, il était cramoisis. Chez elle en Aeris, brillait un autre soleil ! Et ce soleil-là était jaune et il n'était pas un cyclope cruel. Mais elle n'était pas dans sa patrie. Ici le soleil était rouge, il était fixe en son zénith ; et la seule clémence qu'il accordait aux habitants du déserts était de disparaître, derrière la lune pendant la nuit. í€ moins que ce ne soit la lune qui l'y forçât. Le dégoût pour l'élément ignique, inculqué depuis sa tendre enfance resurgissait. La téméraire aventurière ne se découragea pas, elle songeait à la victoire de la lune. Yùwéna enfonça sa dague dans le flanc d'un cactus nodal et bu goulument l'eau qui en jaillissait. Elle s'excusa auprès du Maître Nodal de ne pouvoir panser sa plaie, car s'il ne criait pas, il n'en était pas moins un être vivant et sensible. Une aura étrange entourait El Touristo, comme s'il était dans ce monde et dans un autre. En tout cas, il ne bippa mot dans celui-ci. Le sable avait rayé le métal de carcasse jusqu'à la rendre mat. Pour avoir vu ce robot neuf comme un soulier ciré, l'âge de Saladm devait être incommensurable.
  6. La Décision Il faisait bon être à l'étranger. Quand toute l'existence est étrange, mieux vaut être là où rien n'est familier, ni le climat, ni les aliments, ni les vêtements et la manière de se mouvoir avec eux. Yùwéna somnolait sous une toile suspendue entre deux palmiers. „ Je suis morte ? J'étais morte ? J'ai été morte ? ” Songer à la mort, pas le trépas d'un personnage fictif, mais l'expérience qu'elle pourrait en faire l'avait toujours angoissée. Plus maintenant ! Sa décision fut prise en un clin d'œil : elle partirait à l'aventure, au combat s'il le fallait, elle mettrait sa vie au service du Bien. C'était ce qu'elle avait toujours voulu et pourtant jamais osé. „ Les morts suivantes sont moins pis que la première !” Elle avait pendant un mois écouté Saladm et assimilé le dialecte du plateau d'Urgo. Ce qu'elle n'avait pas encore assimilé, c'était la différence entre parler de vive voix et penser tout bas. Le silence criait dans ses oreilles et le bruit se dérobait à son audition. Le silence était le désert, le bruit la voix rauque de Saladm qui sommait sa protégée de rentrer se reposer au frais. Les yeux de Saladm étaient rouges. Ils fixaient Yùwéna avec une insistante tendresse. Elle compris alors le sens des mots et la suivit dans la grotte. En s'endormant, consciente que l'aventure devait attendre sa guérison accomplie, elle songea a un périple ou une énigme simple. „ Demain, je partirai à la recherche de la couleur de mes yeux ! ”chuchota-t-elle dans sa couverture.
  7. Jours à l'étranger Le réveil Elle toussa. Elle toussa encore, puis s'étant tourné sur le côté cracha. Sa gorge était comme emplie de feuilles mortes qui tombent en miettes. Oui, des feuilles dans le vent, l'automne... Une fois encore la toux reprit. Quelqu'un approcha une lanterne, dans la frêle lumière le sable mêlé de salive et de sang semblait plus brun que jaune. „ Ne te meut point, voici de l'eau frisquette, ne la gaspille point en te toussant. Je sais que tu as quinze et cent questions, mais dors encore un bout.” La voix était vieille, immémoriale même, à moins que ce ne fusse le sable qui l'ait enrouée. La voix avait une main... un corps... drapé dans l'ample et clair vêtement de tous les peuples du désert. La nation qui habitait le plateau d'Urgo était connue et renommée pour son hospitalité, sa bienveillance en général. Le partage était leur survit. Elle n'avait pas peur, à quoi bon craindre d'être dans un autre désert, une barbarie hostile ? Dormir semblait judicieux, les mots de la voix sonnait faux, comme échangés. Aphasie... quel beau son ! Un mot venait de surgir de nulle part pour se placer au beau milieu de son esprit. Elle bu, dégusta lentement la fraîcheur miellé du remède. Les yeux lourds elle se rallongea. Lorsqu'elle s'éveilla le lieu était inchangé, on était encore ou à nouveau la nuit. Combien de temps avait-elle dormit ? Elle se redressa, l'effort lui paru considérable, sa respiration s’accéléra... son nez lui faisait mal au passage de l'air, pourtant humide et chaud. Elle passa sa main sous ses narines et sentit une croûte de sang. Son cœur fit un bond vers la vitesse supérieure. Puis elle se rassura, le sable, assurément, en était responsable. La question pourtant restait... Avait-elle été agressée ? „ Six jours ont défilés et cinq nuits se sont accumulées, dès lors que nous te trouvâmes. „ Cela expliquait la faim, mais rien d'autre. Tant de mots étranges lui donnaient mal à la tête. Son interlocutrice semblait comprendre, elle se tut. Tout à coup un souvenir : noir, noir, noir, retour de la vue : un primate/un congénère devant elle, il sourit et est donc inoffensif, s'en occuper plus tard. Retour de l’ouïe : quelqu'un crie... c'est moi... parce que j'ai mal... le primate est en fait un homme, il m'aide à m'allonger dans le sable... Je comprends le sens du terme black-out. Je sens que j'ai perdu à jamais l'image des secondes qui précède l'accident... mais je n'ai pas perdu la mémoire, l'homme me donne des indices sur la date, sur le pays, me fait nommer le nom de quatre divinités élémentaires et tout revient. Il me prie de joindre mes mains au-dessus de la tête... ma coordination est intacte, mais je suis lente comme une tortue à son réveil. „ Je suis Yùwéna ! Yùwéna la fille du faucon ! ” s'écria-t-elle dans le présent. Elle était euphorique de recouvrer de son amnésie passagère, pourtant un peu de déception gâchait l'instant. Le flux de ses pensées était haché, ce n'était pas une histoire. „ Sens-toi bien chez nous Enfant de l'oiseau vert ! Je suis Saladm!„ déclara la voix enrouée, sa langue était proche et pourtant différente de celle de Yùwéna qui comprit qu'elle n'était pas native à ce plateau désertique. „ Tu étais chuté à sol, criant tes pleurs, tu tenais la tête. Nous t'avons secourus et amené sur cette grotte, notre mage t'a posé des questions pour obtenir que tu étais dans tous tes esprits.„ Yùwéna acquiesça et continua : „ Je ne sais plus comment j'ai atterri dans le désert. – Le temps est un maître grand, il te redonnera tes mémoires, une après une. La mort première est la pis des suivantes.” Elle était morte ! Cela changeait tout. Cela ne changeait rien. Saladm joignit ses poignets, les mains écartées et les doigts en lotus. Yùwéna imita son geste et resta seule avec ces pensées. Saladm lui avait laissé au sol une lanterne et des morceaux de cactus juteux. Nopal, c'est ainsi qu'on appelle ce met. Les cinq lettres resurgissaient de la même source qu'aphasie. Je sais écrire, ce n'est pas donné à tout le monde. Je connais beaucoup de termes, sans h bien sûr. J'aime les mots ! „ Je suis conteuse ! ” s'exclama-t-elle pour les seules oreilles de l'échos caverneux. Saladm revint bientôt et Yùwéna lui demanda : „ Le mois de Ciella s'est-il déjà terminé ? – La lunaison de Campana est entamée par moitié. ” Cinq semaines jugea-t-elle s'était écoulé depuis le dernier événement... le dernier événement mémorable. „ Saladm, je n'ai que peu pour repayer tes services, mais je peux te réciter un poème. ” Saladm secoua doucement sa tête, mais avec un sourire aux lèvres. Yùwéna prit cela pour un signe d'approbation. „ Je viens d'Aeris, je ne sais, on amie, comment soufflent les vents par ici, chez nous Flamba est le dernier mois de chaleur et de soleil de feu, il ne connaît qu'un vent léger. Au cours de Dea qui lui suit, l'air s'agite, le soleil faiblit, lentement sous l’arbitrage de l'Unique, l'élément de l'air surpasse celui du feu ; et pendant Ciella il n'est plus de jour de beau temps sans un vent digne de ce nom, les tempêtes aussi battent leur plein. En ces temps venteux, les gens de mon pays aiment écouter chants, contes et strophes à la gloire d'Eolia. J'étais partie seule dans une vallée dont le chemin est mon secret, pour y composer un nouveau poème. ” La conteuse racla sa gorge irritée. „ Au crépuscule de Flamba, quand enfin les feuilles se colorent Et s'achève dans un combat inéluctable et indolore La longue suprématie du soleil, je sors de l'ombre Quittant la douce fraîcheur de mon refuge sombre. Le monarque vaincu abdique sans plus attendre, Sa lumière naguère brûlure, devient une caresse tendre. La dernière brise estivale emporte une pluie dorée, C'est le signal ! C'est le début de la saison adorée. ” Sa voix se cassa, peu importe ! Déclamer ces vers à voix haute lui avait rapporté une partie de son passé. Elle avait à peine achever le poème, que le vent lui souffla une troisième strophe : Mais cet automne-là, pour moi, fut différent Saison annonçant l'hiver, la mort et les esprits errants. L'air tantôt si pur, m'étouffait de ces noirs présages Qui d'un bien funeste destin étaient le cruel ouvrage. Yùwéna garda ces vers pour elle. Nonobstant la douleur, elle ajouta encore : „ Je crois qu'inspirée par le sifflement du vent, je m'égarai en le suivant et chutai dans un précipice, mais l'histoire de ma mort est pour une autre... ” Elle toussa cette fois jusqu'à en vomir. Pourvu que cela fusse tout ce qu'il restait, dans son organisme, de poussière de cailloux jaune, un ennemi infâme qui ne mérite être nommé. Saladm lui fit boire un remède aux reflets bleutés et au goût... ma foi caca-d'oie. „ Point ne parle jusque aube ! „
  8. Description personnelle Entends-tu s'écrire, en lettre d'argent dans le vent, le nom de Yùwéna la fille du faucon ? Elle est proche de toi, bientôt ses yeux verts et pétillants te regardent avec tendresse. Elle est douce et rêve d'un monde bon, mais ne la croit pas faible : la brise estivale et l'ouragan sont fait du même air. Ses qualités sont la persévérance, la rapidité, la beauté et la perspicacité du faucon. í€ l'égal de ces rapaces elle se montre parfois hautaine et c'est assurément son défaut de croire sa morale vraie et supérieure. Apparence : Yùwéna porte un ample manteau couleur crème. Elle a une ceinture à laquelle est accroché une dague et une gourde en peau de serpent sans couture. Ses yeux n'ont pas de pupilles, seulement un iris continu et vert.
  9. HRP : Prière de ne pas intervenir ici avec votre personnage. MP moi pour écrire une aventure ensemble, j'adore le RP en groupe (*^â–½^*). Ce fil de discussion est réservé à relater l'histoire de mon personnage, ses péripéties vécues ailleurs seront résumées. Sommaire I. Annexe 1. Description personnelle................. p. 1, 2° message II. í€ partir du mois de Ciella de l'an 107 1. Jours à l'étranger 1. 1 Le réveil...........................p. 1, 3° message 1. 2 La décision........................ p. 1, 4° message 1. 3 Le regard.......................... p. 1, 5° message 1. 4 Le rho et l'omicron................ p. 1, 9° message 1. 5 Le double V........................ p. 1, 10° message 2. C'est dans la montagne que tout fleuve prend sa source 2. 1 La source, le vent et la marraine.. p. 1, 14° message 2. 2 Les eaux stagnantes................ en construction
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