Le 13 Braisa Quel journée !

[Calisto]

Récit du Nécromancien Calisto - Période Braisa, le 13 de l'an de grâce 103 après le cataclysme

Sparcks mon fidèle ami et moi-même étions dans une taverne à l' extrême ouest de Melrath Zorac. Soudain le commerçant de l'armurerie Galia & fils entra dans la taverne à bout de souffle ...

Il avait l'air complètement bouleversé.

« - Que t'arrive-t'il ? Me renseigne je conscient que quelque chose n'allait pas ...

- Un voleur tous vêtu de bleu vient de nous dérober le Grimoire Scellé !

Il faut absolument le retrouver et le tuer, s'expliqua t'il.

- Qu'a-t-il de si spécial ce grimoire ?

- C'est le plus puissant recueil de la magie des mots existant à ce jour sur Melrath ! »

Et la tous le monde se rua vers la sortie, voyant cela, Sparcks et moi-même partîmes au Nord a la recherche du mécréant, fouillant les milles et unes cachettes des cimes enneigées on ne trouva absolument aucune trace du fameux voleur ...

Sur le chemin du retour Thald un jeune mage, nous croisa et il nous indiqua la cachette du voleur que seul il ne pouvait vaincre et un autre problème se posa, c'était tous ces démons des enfers qui nous bloquaient le passage.

Face à cette difficulté, on décida de former une équipe solide :

Alzeus, le Général des Flibustier de l'Harmonie,

Tigrr et Chamsin, les Guerriers d'Aeris,

Jball, Arioch et moi-même, Combattants de l'Union-Escorte,

Et enfin Thald, le Mage qui fut notre guide.

Une fois arrivé campement des nomades on a eu l'agréable surprise de ne voir aucun Enfer dans les parages.

On traversa la forteresse de Fargol, et on arriva enfin devant la brave bête il ne fit pas long feu fasse a notre enchainement de sort magique, nos flèches et nos coups d'épée.

Ce scélérats tomba sous un dernier coup de glaive du Général Chamsin, dans sa chute il fit tomber un livre tellement beau que je ne pus m'empêcher de m'en saisir avant les autres.

Je compris que ce livre m'était destiné que ce soit aussi bien par sa beauté que sa grandissime puissance. Quelle joie d'avoir récupérer ce recueil refermant tous le savoir de mes confrères nécromants.

Je remercier tous mes compagnons et puis d'un geste de la main je leur disais au revoir.

En emboitant le pas, je me surpris a chuchoté :

« - Mon précieux »

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