Vers un Avenir incertain.

[Helevorn]

Un rictus ridicule s'empara de sa face de rat.

Son corps pesait soudainement sur ma lame, penché en arrière comme il était à présent. Soubresauts mortels de ses muscles pétrifiés par la mort, il bavait et suait des larmes froides. La lèvre tremblante, il saisit de ses doigts griffus le métal de mon épée, happant mon regard avec des yeux de fou. La souffrance grouillait dans son abdomen comme un milliard d'aiguilles, la douleur l'emportait dans une déferlante, culminant dans des sphères inexplorées. Ses paumes s'abîmaient sur le tranchant, faisant ruisseler le reste de son sang noirâtre jusqu'au pommeau.

Sa pupille jaune tenta d'arracher quelque chose à mon esprit, alors que la démence le gagnait. Il bascula la tête en arrière puis la releva dans un ultime effort, la bouche tordue dans un sourire insensée. Un ricanement sinistre s'échappa de sa gorge jusqu'à éclater en un rire mesquin. L'éclaireur Gobelin était arrivé au bord du supportable. Il se cramponna plus fermement à ma lame, tentant de l'attirer plus loin au fond de ses entrailles.

Mes sourcils se froncèrent. Je retins mon bras un instant, prenant le temps de lancer un regard vers son acolyte assis à même le sol, les mains pressées contre la plaie béante de sa jambe qui le condamnait à rester en spectateur.

En un instant ma lame s'enfonça dans le thorax du gobelin et sectionna sa moelle épinière. Son corps glissa sur le sol comme un pantin désarticulé.

Retirant mon épée d'un coup sec, je me dirigeais alors vers ma seconde proie. A mon approche, elle prononça quelques mots dans son jargon infâme, sortit un poignard de nulle part et se le planta dans le cœur.

Le second éclaireur tomba a la renverse sans un cri, les yeux révulsés.

La capture ne sera pas encore pour aujourd'hui...

Modifié (le) 14 janvier 2011 par Helevorn

[Dantevil]

Alors que je m'apprêtais à sortir de la forteresse des Constellations pour tuer quelques monstres, je vis un parchemin posé sur une table près de la porte. Je la pris et la parcouru rapidement du regard.

-"La garde de MZ semble avoir des ennuis avec de mystérieux gobelins; je ferais bien d' y aller faire un tour" me dis-je.

Traversant sans peur de sombres vallées, j'arrivai enfin devant les mines de MZ.

Il ne me fallu pas très longtemps pour apercevoir ces petites créatures verdâtres et armé d'un arc... pointé dans ma direction.

-"Misérable insecte, tonnai-je; comment oses-tu me défier ? "

" Grrrr, graah grooo" me répondit le gobelin en grognant.

"Trop, c'est trop". Déployant ma toute puissance, j'exterminai ce parasite en ne laissant aucune trace de sa présence:

COUP CRITIQUE!Vous attaquez avec 'Aspiration nébuleuse'.

Dégâts infligés: 430 pts de dégats.

Aspiration de 50 pts de vie.

Le monstre meurt à la suite de ce coup.

Continuant mon chemin, je rencontrai enfin un garde : " Quels nouvelles de l'invasion ? l'interrogeai-je

" L'invasion continue encore et encore malgré l'aide des guerriers et des magiciens". Orus nous a demandé d'en capturer un ou deux afin qu'il puisse les interrogés. Ton aide serait la bienvenue; Nous aideras-tu ?'

"Bien sûr". Sur ces mots, j'explorai les alentours afin de trouver ces petits êtres maléfiques. En capturer se révéla plus difficile que prévu car ils ne manquaient pas de courage : Tous préférait mourir qu'être capturés ( J'avais pourtant utilisé toutes les techniques possible : La torture en étant mordu et déchiré par des chiens entraînés par mes soins, les brûlures aux fers chaud, ect ...). Sentant, leur forces les abandonnés, ils se suicidaient tous afin de m'échapper définitivement.

Pendant quelques jours, j'essayais d'en capturer, mais sans succès. Épuisé, j'allais rentrer à l'auberge quand un garde couru vers moi m'apporter une bonne nouvelle : Certains combattants avaient capturé des gobelins et ils étaient maintenant sous la surveillance du mystérieux Orus.

"Enfin, je vais pouvoir me reposer un peu" me réjouis-je.

"Pas pour longtemps, je le crains. Je sens une menace bien plus terrible qui s'approche" me dit craintivement le garde avant de repartir pour faire son tour de garde.

J'entrai à l'auberge, bût quelques chopes d'hydromel afin d'oublier, pendant quelques heures, les problèmes qui pourrait se présenter dans le futur.

*Dehors, le temps s'assombrit subitement et la soudaine bourrasque de vent qui traversa la ville portait les échos d'un rire froid et machiavélique.*

[Aliena]

« Je m'baladais, sur l'avenue

Le cœur ouvert à l'inconnu

J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui!

N'importe qui et ce fut... »

Euh ? Qu'est-ce que c'est que ça ????

Ce matin là, l'artishow de TDE ne s'était pas réveillé avec la bonne chanson dans la tête. D'habitude, le grand Mike lui susurrait des paroles bien suaves dans les feuilles, à l'artishow.

Mais ce matin... Une autre voix chantait en lui et l'artishow de TDE en fut troublé. Peut-être cela avait-il un lien avec les différentes rumeurs qui couraient en ville ? A propos d'une nouvelle forme de menace récemment découverte sur MZ ? Ces bruits de couloirs donnaient la jaunisse à l'artishow qui n'aimait pas les lieux étroits. Et avoir la maladie du jaune pour un vert, c'est le plus pire de tout.

Aussi, pour se changer les idées et pour que le grand Mike lui revienne, l'artishow de TDE sortit se dégourdir la tige. Alors qu'il se promenait au milieu des poissons piquants en admirant leurs écailles, qu'il courait derrière les pitis écureuils pour leur faire la peau, il vit au loin, sous les palmiers, une étrange silhouette trapue.

Il ouvrit ses grands yeux larmoyants tout ronds.

« Mais qu'est-ce que c'est, que c'est que ça ???? » bredouilla-t-il d'une voix chevrotante.

La silhouette restait immobile, dans une position tendue et semblait guetter quelqu'un ou quelque chose. En s'approchant de plus près, l'artishow remarqua que le bonhomme était chaudement vêtu : une longue cape brune l'enveloppait tout entier, ne laissant dépasser qu'un long nez pointu verdâtre.

Oh ! Un vert ! Comme moi !, pensa l'artishow de TDE, ravi. Mais le pauvre... Il doit avoir chaud tout emmitouflé comme ça alors qu'il fait si beau dehors !!!

Soudain, l'artishow sentit l'odeur nauséabonde qui émanait de l'étranger.

« Boeurk ! Fit l'artishow en fronçant le nez. Le pauvre vert ne s'est pas lavé depuis longtemps ! Et la transpiration doit pas arranger les choses !!! ».

L'artishow se planta bien en face de l'énergumène et l'interpella poliment :

« Ohé, toi le nouveau, tout gros ! Faudrait te laver, hein, parce tu pues drôlement !!! ».

C'est alors que l'artishow de TDE vit la lueur mauvaise dans les yeux de son interlocuteur. Il réalisa alors qu'il n'avait pas du tout à faire à un habitant de TDE "“ car un vrai habitant de TDE aurait accueilli cette suggestion avec bienveillance et sourire, cela va de soi.

Au moment où l'étranger brandit son arc dans sa direction, soulevant ainsi sa cape brune et dispersant ses effluves pestilentielles, l'artishow de TDE faillit s'évanouir de dégoût. Sans plus réfléchir, ce qui était assez commode à faire pour lui, l'artishow de TDE récita sa formule de décomposition favorite. Il ne resta bientôt plus qu'un amas de débris de l'étranger vert.

Il faut que j'aille prévenir les gardes de MZ. Plus jamais aucun habitant de TDE ne devrait avoir à subir une telle puanteur, pensa l'artishow, résolu. Si jamais j'en trouve d'autres, j'essayerai d'en ramener au moins un aux gardes, pour lui montrer.

L'artishow s'en alla, joyeux, en sifflotant sa chanson favorite :

« Heal the woooooooorld !!! Make it a better plaaaaaaaaaace.... »

[Ophelia]

Taverne de l'Auberge du Marais, Période Creativa, le 10 [+ 104 AC]

Tout doucement, l'ennui commençait à s'emparer de moi... Tous les jours les mêmes questions, sortir combattre des monstres sans intérêt, ou rester cloitrée dans ma chambre à regretter le bon vieux temps ? Mais plus le temps passait, et plus les réponses me fuyaient...

Puis, c'est en sirotant la boisson que mon ami m'offrit avant de partir en quête d'aventures, que je repensais à ses dernières paroles...

« Lilya, viens me rejoindre à Melrath Zorac »

Mais se faufilant discrètement et rapidement dans la taverne, je ne pus l'interroger...

Pourquoi devrais-je aller sur Melrath ? Que cherches-tu à me faire faire ... Asinus ?

Je passais un petit moment encore à m'interroger après son départ... Pourtant, ayant confiance en lui, je pris mes affaires un peu plus tard, et remonta sur Melrath...

Plus très habituée par ce trajet, je décidais de prendre une chambre à l'auberge de la mine, mais m'arrêtais en croisant une personne qui n'avait rien à faire ici.

J'entamais cependant la conversation...

« Qui es-tu toi ?

- Je suis un des gardes de Melrath Zorac, et je suis ici pour arrêter une invasion de...

- Stop. Je t'ai juste demandé qui tu étais, pas ce que tu faisais ici.

- Mais c'est très important ! Des Gobelins sont en train de rôder par ici, ce sont des menaces !

- Tu m'en diras tant... ne ferais-tu pas mieux d'aller les tuer alors au lieu de rester ici ? »

Puis je partis prendre ma chambre en le laissant ébahi. Filant dans la taverne, j'adressais une missive à mon pain d'épice d'ami.

« Asi,

Comme tu me l'as demandé, me voici de retour à MZ. A l'heure actuelle je suis à l'auberge de la mine.

Je t'y attendrai, et j'attendrai tes explications sur la raison de notre venue ici...

Lilya »

[Asinus]

Le jour s'estompait. La brume de la nuit grandissante s'installait peu à peu dans le ciel. Recouvrant et réduisant progressivement mon champ de vision. Transformant les scorpions des sables en de vulgaires tâches roses noyées dans le désert. De faibles chuchotements. Une ombre furtive. Un bruit sourd vint alors taper à ma porte. C'était Gertrude. L'aubergiste de la retraite des Nomades. Elle me tendit alors une missive où je pus découvrir une délicate écriture.

« Asi,

Comme tu me l'as demandé, me voici de retour à MZ. A l'heure actuelle je suis à l'auberge de la mine.

Je t'y attendrais, et j'attendrais tes explications sur la raison de notre venue ici...

Lilya »

Elle était venue !

Je lui répondis rapidement afin de l'avertir de mon arrivée prochaine avant de me préparer à la hâte, glissant quelques potions en cas de danger dans ma sacoche, équipé de mon orbe et je me mis rapidement en route, traversant la retraite des nomades jusqu'au pont du désert, passant par la Thébaïde du désert.

Comme indiqué, je me rendis dans la hutte de l'ermite où je vis un homme aux allures étranges que je n'avais encore jamais vu auparavant, une cicatrice oblique gigantesque ornant son visage, le regard dur et les dents serrées. Le voyant discuter avec Tileman, je m'approchais alors discrètement, cherchant à écouter ce dont ils parlaient par simple curiosité lorsqu'il me vit et m'interpella, invoquant mon aide pour capturer un gobelin et me promettant... des sous. Des sous...

Modifié (le) 14 janvier 2011 par Asinus

[Ophelia]

Une fois la lettre envoyée, j'attendis dans la taverne patiemment une réponse ou tout simplement la venue de ce dernier.

J'observais tranquillement le soleil par la fenêtre, à son zénith. Préférant davantage le paysage extérieur que les allers-retours des personnes dans la taverne.

Une chose me tracassait cependant même si j'en avais fait fi sur l'instant... Que sous-entendait ce garde par «Des Gobelins sont en train de rôder par ici, ce sont des menaces ! » ?

Je ne mettais guère promenée bien loin dans les alentours, mais même de loin je n'en avais pas vu... Serait-ce de simples foutaises ? Se jouerait-il de moi ?

Mais je n'avais pas envie de me poser de questions pour le moment, peut-être qu'Asi saurait quelque chose, peut-être qu'il pourrait m'expliquer...

Oui, je garderai mes questions pour lui. Etant venu plus tôt que moi ici, il devait déjà être au courant, mais les heures filaient vite et je doutais de le voir encore en cette fin de journée qui s'annonçait.

Etant plongée dans mes réflexions je n'entendis pas qu'on m'appelait, jusqu'à ce que l'on me secoue un peu trop vivement, ce qui eut le don pour me mettre de mauvaise humeur... Levant les yeux, j'aperçus l'aubergiste qui me tendait une enveloppe.

« Du courrier pour vous.

- Hum... Merci. »

Attendant qu'elle s'en aille, je décachetais rapidement l'enveloppe... Une réponse, enfin ! Son arrivée semblait proche, comme la nuit tombante. Finissant mon dernier verre à lente gorgée, j'observais une dernière fois le paysage devenant nocturne... Puis, tout aussi lentement, je me dirigeais vers la sortie de l'auberge, cette lenteur n'étant que pour lui laisser plus de temps. Passant enfin la porte, la surprise s'empara de moi... Un petit personnage était entrain de s'entretenir avec le garde... tout excité. Ayant des choses plus sérieuses à faire, j'interpellais l'aventurier.

« Asi ! Et bien... Je vois que tu n'as pas perdu de temps pour venir ! Comment as-tu fais pour venir si vite ? Et d'ailleurs, pourquoi sommes-nous ici ? »

[Asinus]

Une voix m'interpella, m'interrompant de mes songes.

« Lilya ! Comment vas-tu ? Oui, je me suis dépêché de venir dès que j'ai appris ta venue ! »

Bien qu'on se soit quitté que très récemment, la nécromancienne semblait ravie de me retrouver.

« Ca va très bien et toi Asi ? Tu as fais bon voyage ? C'est très gentil de te dépêcher, mais dis moi, toi qui vient de parler à ce garde... peux-tu me dire s'il s'agit d'une plaisanterie ? »

« Un peu à bout de souffle après avoir parcouru deux fois le Marais avant de remonter à Melrath, mais je vais bien. En ce qui concerne ce que dit le garde, j'ai bien peur que non. Et c'est la raison pour laquelle je t'ai fait venir. J'ai eu écho de cette invasion de gobelin. Cela me semble assez invraisemblable vu leur carrure, mais ne sait-on jamais... Je l'ai entendu de plusieurs personnes, et il vaut mieux en être sûr. »

« Reposes-toi alors, ça ne te fera pas de mal. Ce que tu m'annonces là par contre me laisse perplexe je t'avouerai... J'aurais préféré que cette fripouille de garde mente. Mais soit, si tout le monde en parle, ça ne peut pas être qu'une coïncidence. Vu que je suis là... Que doit-on faire contre ces gobelins ? »

« Je ne suis pas fatigué, je pourrai encore parcourir des milliers de pas s'il le faut. Et il le faut ! Le garde vient de me dire de lui ramener un gobelin afin qu'il puisse l'interroger. »

« Du calme ! Tu ne vas pas te tuer à la tâche non plus pour une chose peut-être... Infondée ?! Certes il le faut si c'est vrai... Mais tu en as déjà croisé toi de ces gobelins ? Si non, quelle preuve avant nous ? Il t'en a montré lui ? A quoi ça ressemble ? Et puis... un gobelin vivant... quelle absurdité ! Du moins jamais de la vie je ne me trimballerai avec une chose pareil sans une récompense. »

« Pas encore. Mais j'ai senti une présence tout à l'heure en venant ici. Une chose furtive. Peut-être le précurseur d'une encore plus grande menace. Qui sait ? Peut-être que ce ne sont que de simples éclaireurs pour estimer la force en présence ici. Et détrompe-toi, il nous récompensera d'or pour la capture d'un des leurs. »

« De simples éclaireurs ? Possible. Mais même vivant je doute que des éclaireurs parleraient... Contre de l'or, cette capture s'avère plus convaincante... Veux-tu retourner là où tu as senti cette présence ? Peut-être traîne t'elle encore dans les parages... »

« J'en doute aussi. Mais peut-être tomberons nous sur un gobelin se préoccupant plus de son sort que peut-être de leur invasion. Oui, allons-y. Avec un peu de chance, on en capturera un. »

« Ou alors nous faudra-t-il un bon tortionnaire pour lui extraire de sa bouche nauséabonde les informations qui nous serons nécessaires. Mais... Je doute que nous puissions posséder ça. Montres moi le chemin Asi, je te suivrai. Partir maintenant est sans doute le mieux d'ailleurs, la créature se sentira moins en danger entourée par la nuit. »

« Tu as raison. »

Sur ces paroles, je fis un geste pour lui faire comprendre de me suivre, sortant de la Hutte de l'ermite.

Le ciel, d'un bleu sombre, était éclairé par la lueur blafarde de la Lune. Pas un bruit dehors. Pas un mouvement. Le calme plat s'était emparé des lieux. Nous partîmes alors en direction de la retraite, là où j'avais senti une présence anormale. Arrivés au rempart ouest de Melrath Zorac, de petits mouvements rapides et agiles émanaient du convoi abandonné.

« Ce doit être eux », chuchotais-je.

Nous nous avançâmes discrètement, jouant de l'obscurité pour nous camoufler, sans jamais lâcher nos cibles de vue.

« Ils doivent être deux. »

D'un mouvement coordonné, un choc ténébreux et un souffle de magie blanche jaillirent de nos orbes respectifs abattant les petits êtres verts encapuchonnés.

Notre magie plus puissante que prévue, aucun n'en réchappa...

« Hum... Ca risque d'être dur pour en capturer un... vivant. »

[Guest citron]

Tuer, tuer et encore tuer.... En ce moment tous le monde parlait de ça ! Les gobelins se faisait tuer en masse, mais rare était ceux qui était capturés. Si après ça on ne se fait pas attaquer par une armée de 10 000 gobelins je sais pas.... Après le nombre des leurs qui ont été tués, ils doivent être plus que révoltés. A moins que ce n'était que de la chair à canon afin d'affaiblir les troupes de Melrath pour mieux nous annihiler après ? Qui pourrait bien le savoir ?

Extirper des aveux de ces bons à rien ne mène nulle part. Pour peu qu'ils soient vivant à ce moment... La majorité du temps, les coups portés part les aventuriers de Melrath étaient mortels. Ce qui nous ramènaient au point de départ.

Tuer, et encore tuer, toujours plus.... Et jusqu'à quand ? Allez savoir, pour l'instant les directives données par le Capitaine Asbert étaient clair : ramener un gobelin vivant pour recueillir des informations en échange d'une belle somme d'argent. Encore fallait-il réussir.

Après tant de tuerie, je commençais à me lasser de taper sur ces choses vertes qui ne tenaient même pas 5 min après que le combat n'ai commencé. Je décidai donc de retourner aux marais, laissant à d'autre l'infime chance d'obtenir les lauriers pour la capture d'une de ces hideuses créatures. Pour ma part, je préférai vaquer à des occupations plus utiles....

Modifié (le) 14 janvier 2011 par citron

[Patafruit]

Empêcher les vilains gobelins de voler les jolis cailloux de Melrath Zorac, certes c'est important, mais il y avait plus important : la construction du bâtiment privé de ses amis, sa famille et lui. Mais une fois chose faite, les vilains gobelins voleurs de jolis cailloux redevenaient la principale "mission" de Patafruit. En chemin entre le Marais d'IssCanak et Melrath Zorac, il rencontra le Capitaine Ashbert qui lui indiqua qu'un vilain gobelin mort, c'était bien, mais qu'un vilain gobelin prisonnier, c'était encore mieux !

Il s'attela donc à la tache, et partit en quête d'un gobelin qui le suivrait gentiment jusqu'au Capitaine. Il n'en fallut qu'une dizaine pour qu'il en trouve un un peu plus téméraire que ses camarades qui se mit à lui courir après. Il l'amena donc au Capitaine qui se saisît de lui avec violence.

- Il pèse lourd et il pue le bougre, dit le Capitaine.

- Il pue le quoi ?

- Le bougre.

- C'est quoi un bougre ? Ça sent comme un gobelin ?

- Euh... Va plutôt prévenir Orus qu'un nouveau gobelin a été capturé et qu'il doit l'interroger.

- Oui monsieur.

Après l'écriture de la missive destinée à Orus, le jeune Patafruit avait une nouvelle mission plus importante encore que les vilains gobelins voleurs de jolis cailloux : trouver un bougre afin de savoir si ça sentait comme un gobelin.

L'aventure l'attendait !

Modifié (le) 14 janvier 2011 par Patafruit

[Suyvel]

Ce fut en revenant à Melrath Zorack que je croisai mon premier Gobelin. Je n'avais alors aucune information à leur sujet, ni aucune idée de l'effervescence que leur présence allait créer... Ce ne fut qu'après ce premier contact que j'appris l'existence de la menace gobeline (si faible qu'elle puisse paraître pour l'heure) et que le capitaine Ashbert, de la garde de la ville, demandait qu'on lui ramène une de ces créatures vivante pour interrogatoire.

Ce fut là que j'appris que le dénommé Orus était en ville et qu'il se chargeait de l'interrogatoire des Gobelins capturés. Cela ressemblait à une prise de pouvoir arbitraire. Je fus gagnée par un mauvais pressentiment. Orus appartenait à la secte des Admins, dont les buts et les motivations sont pour le moins... nébuleux. Et à peine ce Orus débarquait-il qu'il prenait la direction des opérations. Les autorités de MZ le laissaient faire, alors que l'on savait si peu de choses sur lui? Troublant...

On pouvait tout imaginer. Orus et les Admins étaient peut-être étrangers à la présence des Gobelins, et ils s'en inquiétaient comme tout un chacun. Les Gobelins représentaient peut-être une menace pour eux ou leurs intérêts. Ou bien alors les Admins étaient derrière la venue des Gobelins, et Orus était là pour veiller à ce que les éventuels prisonniers ne parlent pas... ou que les habitants de MZ n'apprennent que ce que les Admins voulaient bien leur laisser savoir.

Et entre ces deux hypothèses extrêmes, on pouvait imaginer tout un tas de cas intermédiaires, plus ou moins tordus.

J'en vins à me dire que si je capturais un Gobelin, je ferai sans doute mieux de l'interroger moi-même, afin d'être sûre que l'on ne nous cacherait rien de ce qu'ils avaient à raconter.

Le lendemain et les jours suivants, je me mis donc en route, décidée à capturer un de ces petits éclaireurs. La tâche se révéla ardue. Non que les Gobelins fussent de redoutables combattants, loin de là: je quittai chaque combat sans une égratignure (ce qui me changeait agréablement de mes combats avec les fourmis, mais je m'égare). Cependant les Gobelins ne se rendaient pas, ils combattaient jusqu'au bout. Même sans la moindre chance de vaincre ou de fuir, ils refusaient de se rendre.

En y réfléchissant, je songeai qu'il allait falloir en assommer un si je voulais le ramener en vie. Mais mes frappes célestes ne me rapportaient que des victoires par abandon (oui, le Gobelin, lorsqu'il meurt, a généralement tendance à abandonner, il manque de constance, quoi ), alors j'eus l'idée d'utiliser des sorts moins puissants, dans l'espoir d'éviter la mort d'un éclaireur. Cela signifiait revenir à mon sort basique lumineux, que je n'utilisais plus guère, à part de temps à autre pour achever un ennemi agonisant, et encore... Les diverses tentatives que je réalisai ne furent guère concluantes: les Gobelins tenaient plus longtemps, mais ils finissaient par mourir tout pareil. Damnation.

Changement de stratégie: et si je ne frappais pas pour tuer ou même blesser??? Dans mon arsenal de sorts, j'en connaissais un qui pourrait certainement me permettre de capturer un Gobelin sans même le frapper: mon sort de cécité. Aussitôt, ragaillardie par l'idée d'un proche succès, je me remis en quête d'un de ces saletés couinantes. Et voilà! Près de l'auberge de la mine, un éclaireur se faufilait discrètement... tellement discrètement que Kronan ouvrit la fenêtre de sa chambre pour hurler:

"Non mais c'est bientôt fini ce tapage?!? Y en a qui voudraient bien dormir ici!!!"

Oui, les Barbares ont le sommeil léger, et en plus quand on les réveille, ils sont grognons. Du genre à balancer des coups de hache dans la tronche de tout ce qui bouge. Faut le savoir, ça peut éviter des déboires.

Surpris par cette apostrophe musclée, le Gobelin se jeta derrière des cailloux et se mit à guetter du côté de l'auberge. Chance! Je n'étais pas dans son champ de vision. J'en profitai pour l'approcher furtivement et préparai mon sort de cécité. Ce fut mon incantation qui finit par alerter l'éclaireur, mais trop tard! Avec un sourire de triomphe, je lui lançai le sortilège en plein visage!

Bon, mon sourire mourut rapidement lorsque l'éclaireur décocha une flèche à mon endroit. Certes, il m'avait ratée, j'aurais pu croire qu'il avait tiré à l'aveuglette... mais son regard haineux planté dans le mien me disait le contraire. Bien sûr, j'avais pu rater mon sort, ça arrive, mais je savais que ce n'était pas le cas. Non, au moment où je l'avais lancé, j'avais ressenti une fuite de la magie, qui ne pouvait signifier qu'une chose: le Gobelin était naturellement résistant au sort de cécité. Je pouvais donc remballer ma stratégie.

Et mer...credi.

Frustrée et vaguement agacée de cet état de choses, je décidai de rouvrir la boîte à claques. Et l'éclaireur s'en alla rejoindre ses comparses que j'avais déjà croisés, dans un autre monde. Cela ne faisait pas mon affaire, ma quête stagnait, mais bon ça soulageait un peu. De colère, j'envoyai un coup de pied au petit cadavre. Un vilain geste mais qui produisit un effet inattendu. Une fiole s'échappa du manteau du Gobelin et roula à mes pieds. Je me dis qu'il s'agissait d'une potion de vie dont les éclaireurs semblaient disposer à foison. Je la ramassai et compris aussitôt ma confusion: vu la taille, il ne pouvait s'agir que d'un flacon de vie! Bonne prise. Décidément, ces Gobelins paraissaient bien approvisionnés. Alors certes, je ne savais pas si je réussirai ou non à en capturer un... mais rien que pour du butin comme celui-là, je me sentais d'humeur à continuer la chasse au gob.

Comme quoi, le bonheur, c'est simple: il faut savoir se contenter de ce que l'on trouve.

[ezechiel]

Tandis que je m'apprêtais à sortir de notre belle tente, afin de récolter de quoi l'améliorer et l'aménager au mieux, une missive placardée sur la porte attira mon attention :

"des rodeurs menacent melrath. votre aide est requise. " signé Orus. Pfff je connais pas d'Orus moi...minute...Orus...de la faction méconnue des admins??? keskinouveu çuila??? grommelai je...ça a intérêt a être important...

ca avait l'air urgent aussi rassemblait -je en hâte et en mauvaise humeur quelques litrons de bave de plantovor au cas où, agacé à l'idée de devoir faire de la grimpette dans la mine ...c'est pas du standing d'un maître de l'orbe de se tortiller dans un trou tel un ver, ca convient bien mieux aux barbares!

Bon me voila parti, l'air frais du matin et la marche rapide eurent raison de ma mauvaise humeur matinale qui s'évapora telle la brume putride du marais au sortir de la mine, du coté de Melrath

Rhaa c'est quoi cette odeur? j'ai du marcher dans une crotte de tortogriffe, ca refoule!

J'inspectais mes chausses, puis mes vêtements (des fois que ^^...), non ça ne venait pas de moi...Restait à trouver la cause de l'infection ...chemin faisant le parfum vomitif se faisait plus insistant pour mon nez délicat au fur et à mesure que j'approchait de la mine et j'étais proche de rendre à mère nature ce qu'elle m'avait donné pour petit déjeuner...

Un truc m'intriguait une masse verte informe et inconnue était en train de me mettre en joue avec son arc ...un réflexe et la frappe céleste s'abatit sur lui , le réduisant en bouillie verte...behhhh ca chlingue ce truc c'est ca qui pourri l'air de Melrath?? Orus doit craindre une alerte sanitaire , c'est pas possib'

remontant mes manches, je sillonnais les alentours de la ville , mon orbe a la main éradicant cette masse putride ambulante...

laaaaah! yaaaaah! 75....76... et re yaaaaah! 77 venez à moi saletés! fier de moi je tenais le compte, y'aurais bien une piécette pour celui qui en éliminerait assez...

PAF! Aieuh

c'était Jean qui venait dans m'en coller une derrière les oreilles, moi qui croyait qu'il venait contempler mon massacre. Avant que je puisse réagir sur son agression Il me beugla dessus : Tu crois faire quoi la ??? nous on se crève le cul à tenter de les attraper et toi tu nous sapes le boulot avec tes con****es ...la mission c'est de les capturer CA-PTU-RER!!! va voir Asbert a l'auberge de la mine au lieu de jouer les bourrins idiots...Orus les veut vivants!

une chape de plomb s'abbatit sur mes épaules...quel idiot je fait! 77 meurtres pour rien! déja que la nature fragile des petits hommes verts puants les faisait claquer pour un rien...Au moins j'aurais fait le plein de potions récupérées sur les dépouilles , c'est déja ca !

je me dirigeait donc vers l'auberge de la mine, penaud, prendre les ordres de ce qu'on attendait de moi ...

[Helevorn]

La nuit était claire.

L'air frais du dehors transportait le parfum des ténèbres, me donnant l'irrésistible envie de m'extirper de ma chambre trop chauffée par le feu crépitant encore dans l'âtre.

Je descendis les escaliers de l'auberge d'un pas de loup, déposa sur le comptoir une bourse d'or à l'attention de la tenancière et m'engouffra dans la ville.

Nulle âme qui vive. Melrath Zorac était à ma merci, et les gobelins qui je savais grouillaient derrière les porte de la ville allaient goûter une nouvelle fois à ma lame.

Tuer ses bestioles répugnantes et vicieuses avait rythmé mes journées. J'avais dû en assassiner une cinquantaine sans encore réussir à en capturer un. L'idée même d'en épargner et de ne pas pouvoir participer à son interrogatoire me contrariait au plus haut point.

Le Capitaine Ashbert en offrait pour 1000 pièces d'or. Une somme honnête, mais ce n'est pas l'argent qui me motivait...

Mes pas me guidèrent aux portes ouest. Ma vision nocturne me permis de voir clairement parmi les ombres ce qui pouvait se terrer.

Comme toujours depuis mon arrivée, le désert subissait les attaques répétées des dragons de feu et de glace, rendant la progression hasardeuse, marchant parfois sur un sable brûlant, ou sur un sable figé, gelé et glissant comme la banquise.

Les sens en éveil, je perçus un mouvement derrière l'épave d'une charrette que la ville n'avait jamais pris la peine de se débarrasser. Pour avoir occis plusieurs gobelins à cet endroit, je savais qu'ils le privilégiaient pour se placer en embuscade.

Profitant de mon don d'invisibilité que je n'avais jusqu'alors jamais utilisé avec les éclaireurs, je m'approcha de la charrette sans être vu et y découvris un gobelin. Mon visage se fendit d'un sourire satisfait. Il était assit contre une roue, occupé à aiguiser ses flèches avec un cailloux.

J'hésitais un instant à daigner mon épée, craignant que le son du métal glissant dans le fourreau ne l'alerte. J'avançais encore d'un pas. Le sable crissa légèrement sous mon poids. L'éclaireur s'arrêta un instant, huma la brise et soudain se tourna en direction de la porte, me tournant le dos. Il m'avait sentit mais ignorait où je pouvais bien me trouver, c'est alors que d'un puissant coup sur la nuque je l'assommais net.

Avec un peu de corde trouvé dans ma besace, je le ligota et le hissa sur mon épaule, en route pour l'auberge de la Mine. Je pressais le pas pour éviter de faire une mauvaise rencontre avec ce colis plutôt encombrant...Il n'était pas question de me faire voler mon prisonnier.

Dans les étoiles, j'en vis une scintiller davantage que les autres, c'était celle d'Hilda. Je la sentis tout près. Mes pas devenaient de plus en plus lourd dans le sol meuble, et le gobelin puait atrocement. Arrivé aux ruines de Til'lunis, j'aperçus une guerrière d'aqua plantée en travers du chemin. Mon sang ne fit qu'un tour avant que je m'aperçoive qu'il s'agissait bien d'elle.

Escorté par la guerrière, je rallia l'auberge et me présenta devant le Capitaine Ashbert. Je jeta le gobelin encore inconscient a ses pieds. Il vérifia qu'il était bien en vie puis me donna ma récompense avant de me charger de prévenir Orus.

Je pris une chambre à l'auberge et m'installa au bureau pour rédiger ma missive.

Orus,

J'ai capturé un éclaireur gobelin à l'entrée ouest de Melrath Zorac dans la matinée et l'ai livré au Capitaine Ashbert.

Le Capitaine Ashbert va procéder à un interrogatoire et à besoin de ton aide pour le faire parler, sans doute compte-t-il sur tes talents dans l'art de la torture...

Helevorn

Modifié (le) 15 janvier 2011 par Helevorn

[Sewin]

Le cours de la vie était en train de changer, je voyais les soldats et les gardes s'exciter, que voulaient-ils faire ? Il fallait gagner du temps..

Il fait nuit, j'en profitais pour sortir à la recherche de ces gobelins, connaissant inconsciemment depuis le début la méthode pour les attraper, il était temps de la tester.. Je cherchais, je cherchais.. En croise un, le tue involontairement d'un coup de genou.. Cette nuit n'était pas non plus un avantage pour moi.. Je décidai alors de lancer une bombinette de feu un peu plus loin afin de voir un peu mieux à travers cette nuit. Par chance, deux gobelins se trouvaient non loin. L'un mourra des brûlures, l'autre eu très chaud mais évita la flamme.

"- Tu vas me servir toi, sois calme et tout ira bien.

- GNIIIIII !"

Je sortis ma hache, coupai le sapin qui se trouvait à côté, celui ci tomba à quelques mètres du gobelins, l'étape une afin de détourner l'attention du monstre était réussi. Immédiatement, je sortis une bombinette de glace et la lui jetai aux pieds...

...

...

Ce gobelin était-il devenu un glaçon ? Était-il encore en vie ? Je saisis la masse de glace, l'attachai fixement, et l'approchai de la flamme encore incandescente dur mur de feu lancé précédemment. La glace fondait lentement, pour laisser apparaitre un gobelin tout frais, et tout agité.. J'avais réussi.. Mais pour quoi le voulais-je tant ? Pour le donner au Capitaine Ashbert et Orus, ou pour le faire souffrir comme promis.. Je me dirigeais vers la hutte de l'ermite où se trouvait une auberge, quand je vis le Capitaine dehors, en train de courir après trois gobelins. Mon premier réflexe eut été de tuer les trois gobelins.. Mais je me posai plutôt sur une pierre, admirant le spectacle.

"- Que fais tu à me regarder, aide moi !

- Hum.

- Hey mais ton sac est étrangement gros, et il sent comme ces gobelins.. Ouvre le pour voir !

- Hum.

- Alleeeez !

- Bon.. J'avais prévu de l'ouvrir pour faire avancer la science, mais si tu veux petit, voilà ton joujou."

Le Capitaine sauta partout, me donna une bourse ridicule et me demanda d'envoyer une missive à Orus..

Ceci fait, je rentrai en auberge, histoire de prendre une bonne douche et de boire un coup.. En espérant ne pas avoir fait une erreur de leur confier mon gobelin..

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

... Le temps passe, j'avais pourtant demandé à Orus de me tenir au courant de l'avancée de ses recherches.. Aujourd'hui que vois-je ? Le rapport de Zal Tin suivi de gobelins pendus, dont le mien.. Cela ne restera pas impuni. Si Orus est encore trop puissant pour que je puisse l'affronter, ses gardes tomberont, un à un. C'est promis. S'il y a un fléau à éliminer, désormais il s'agira de moi, et non de l'armée gobeline.

Modifié (le) 15 janvier 2011 par Sewin

[calyso]

Revenant à la ville pour vendre mes herbes médicinales à l'herboriste du coin, apres une bonne journée de cueillette dans les marais, je fus interpellée par un des gardes de l'entrée.

"Et vous la ! Arrêtez-vous !"

Je stoppe net et me retourne vers lui

"Oui ? que puis je pour vous ?"

"Nous vous réquisitionnons pour capturer un gobelin vivant ! Allez patrouiller au alentour de la ville ! Allez voir le Capitaine Ashbert quand ça sera fait ! Rompez !"

"Dites donc vous !Vous auriez pas oublié le mot magique ?" lui demandais-je en m'approchant

"Euh... s'il vous plait ?"

"Bien, je vais voir ce que je peut faire pour vous. mais avant j'ai un sac à vidé"

Je fila chez l'apothicaire régler mes affaires et échanger quelques potins

"vous avez entendu parler du couvre feu ? Les soldats nous demande de rentrer chez nous avant le coucher du soleil et de nous enfermer à double tours. Apparament il y aurait des centaines de monstres verdâtres à nos portes. On n'ose plus sortir de la ville"

J'acquiésa et reparti aussitot aprés avoir confié mon argent au banquier, puis je me lança à la recherche des gobelins. Il n'y en avait pas autant que l'anticaire ne l'avait affirmé, juste quelques éclaireurs qui trainassaient dans le désert. Je m'approcha d'un premier qui se retourna vers moi et m'attaqua avec ces 2 autres compagnons. Ni une ni deux, je distribua des coup de batons. Les gobelins tombèrent raides morts. C'est que c'est fragile ces petites créatures ! Je continua à courir aprés les gobelins plusieurs jours, mais ils mourraient tous, soient parce qu'ils se suicidaient à mon approche comme s'ils savaient quel sort leur était réservé, soit ils jouaient les kamikazes. Je fini par en avoir un en l'assommant avec avec ce que je trouva dans mon sac : une fiole qui se brisa sur la tête du gobelin. je m'approcha de lui et le sauscisonna avec des fibres de jutes tressées. puis le traina par a capuche jusqu'a la cabane de l'ermite, là je vis un homme en armure que je n'avait encore jamais croisé, assis prés de la cheminée. Je me dirigea directement vers lui.

"Bonsoir ! Je vous apporte votre commande : 1 gobelin juste dans les pommes"

L'homme se tourna et me pris le prisonnier pour vérifier s'il respirait toujours

"Excellent jeune fille ! Tiens voici pour toi !" dit il en me lançant une bourse bien garnie.

"Maintennat envoyez un message au général Orus le plus rapidement possible. Pendant ce temps je vais enfermé cette créature en lieu sûr. "

"moi je veux bien, mais il est où votre général ?"

"J'en sais rien, a vous de le chercher"

Grrrr !!! Aucune piste, et je n'avais pas envie de courir à droite et à gauche toute la nuit. Je pris donc une chambre à l'auberge et appela mon piaf de compagnon. Je rédigea un simple mot que j'attacha à la patte de l'oiseau bleu :

"Monsieur le Général Orus,

J'ai amené un gobelin à l'un de vos subalternes. Vous le trouverez à l'auberge de la mine

Cordialement, Calyso magicienne-guérisseuse"

L'animal s'envola à tire d'ailes par la fenêtre, il me suffisait de lui donner le nom du destinataire pour qu'il le retrouve. La nuit étant bien avancée je commanda un repas et m'installa à mon bureau pour réviser mes sorts. Jétais plongé dans un livre quand un craquement me fit lever la tête, devant moi se tenait un homme en armure noire.

"Qui êtes vous ? Que faites vous dans ma chambre ?"

"Bonsoir dame calyso, je suis venu vous remercier du cadeau que vous m'avez apporté. Je me présente, je suis le général Orus" dis il en s'inclinant " J'aurais surement encore besoin de vos services pour la suite de l'opération, je vous contacterais par missive. Bonne soirée et à bientôt"

Sur ces mots il sorti. me laissant à mes pensées.

[Essénaï]

Et puis quoi encore !?

Tu veux que je les borde aussi peut-être ?

J'avais investi la chambre de Ao il y avait de ça plusieurs heures déjà, parce qu'il me devait un chocolat chaud.

Je le dégustais donc, assise sur son lit, quand nous avons appris la nouvelle.

Quelqu'un aurait accroché les gobelins captifs aux arbres.

C'est une bonne chose, même si sous un caillou aurait été bien aussi, mais comme ça, ils sont proches de la nature.

Seul un Tellurique a pu avoir une telle idée.

Et encore, pas tous. Il y en a qui ne prient même plus la Déesse.

Quelle honte...

Enfin bref, la ville, pour contrer la super attaque des gob ( soyons réalistes... Quel besoin avons-nous de plus de gardes ? Ce ne sont pas de petits gob comme eux qui vont nous faire peur. A tous les coups, une rébellion intérieure se prépare, et on fait diversion avec ces idiots de gob pour qu'on ne se pose pas les bonnes questions... ), de nouvelles recrues sont arrivées.

Je ne voulais pas y aller.

Qu'est-ce que ça allait bien pouvoir m'apporter hein ?

Les aider à s'améliorer ?

Ahah ! J'ai que ça à faire moi, déjà que j'ai du mal à me dire qu'il faut que je m'entraine, je vais pas en plus aller en aider d'autres.

Faut pas exagérer.

Mais Ao n'est pas de cet avis. Tu m'étonnes. Lui il voit juste que s'il faut que les autres s'entrainent, je vais faire pareil en les aidant.

Et puis, je vais pas aider des gens que je suspecte n'être là que pour une quelconque rébellion d'un quelconque homme.

Mais, comme d'habitude, Ao a su trouver les mots.

...

En fait non, même pas.

Je vois pas pourquoi je le suis jusqu'à la prison. Ca m'ennuie déjà.

En plus, ils ne savent même pas se servir de leurs armes !

Un croche pied et hop, par terre. Ah ben bravo, ça c'est de la belle garde.

Aussi nulle que les gobelins.

On va aller loin avec ça. Non mais j'te jure.

Et puis pourquoi ils se baladent avec des oranges hein ?

Regardez moi ça... On dirait qu'ils ont deux pieds gauches. Rien besoin de faire, ils tombent tout seul.

Ou avec l'aide de leur orange.

Je les applaudirais presque.

Bon allez, j'en ai marre Ao. On prend les oranges et on s'en va.

[Aosaru]

Les nouvelles arrivaient de Tiwi, qui lui-même tenait ses informations de la taverne. Selon ses sources, les jeunes recrues avaient besoin d'entrainement. Ca tombe bien, Esse aussi.

Je fermai la porte et me tournai de nouveau vers mon lieutenant qui avait l'air plus intéressée par le sort des gobelins que par l'opportunité pour elle de s'entrainer. Si c'est bien la guerre qui nous attend, il nous faudra être prêts. Surtout elle, parce que moi... je maitrise.

Profitant des évènements de ces derniers jours, je m'étais fait une spécialité d'assommer quelques apprentis guetteurs inattentifs et fatigués par leur chasse aux gobelins. Endormis ou simplement occupés à autre chose, ils n'avaient pas vu venir l'attaque en traître et je rentrais les poches pleines.

Argent qu'Essenai ne tardait pas à remarquer et qu'elle m'encourageait à dépenser en boissons de filles.

D'où le chocolat chaud et sa présence ici. Tant mieux, je n'aurai pas à la chercher partout pour une fois.

Je lui fais part de mon idée, non sans la vexer, mais elle finit tout de même par me suivre.

Arrivés à la prison, nous la trouvons étrangement vide, et seuls trois nouvelles recrues nous font face. Ils sont jeunes et sans expérience. L'un d'eux redresse nerveusement son casque, comme pour s'assurer qu'il le porte toujours. Esse a du le remarquer et déjà elle s'approche du malheureux.

Le plus peureux s'étant réfugié aux cotés de l'étrange Orus, nous nous partageons les deux restants.

C'est rassurant,je pourrai peut-être la convaincre de m'accompagner taper des gens hors de la ville.

Bon allez, j'en ai marre Ao. On prend les oranges et on s'en va.

...c'est pas gagné.

[Sewin]

"Passe ton chemin, imprudent. Tous y passeront, tous tomberont un à un."

La rage n'est pas passée, tant que le saigneur Orus n'aura pas proposé un terrain d'entente solide, lui et la garde de MZ seront cibles d'attaques répétées. La première étape était un avertissement, l'assassinat des jeunes combattant euphoriques qui s'empressaient de vouloir se ranger du côté de la garde.

Toujours pas de nouvelles du saigneur, la seconde étape fut quelque peu ennuyante, rapide, mains lassante, éliminer un bataillon de la garde de MZ, des combattants d'une faiblesse déconcertante, comment osaient-ils vouloir se battre contre une armée gobeline dans de telles conditions ?

Je rentrai dans la prison armé et paré au combat, dans ma tête défilaient de différentes idées de la scène, j'imaginais déjà fuser les bombinettes de feu, de glace, les flèches et les coups d'épée.. Une fois à l'intérieur, je constatai que la garde était assez nombreuse, tous s'entrainaient avec des épée de bois, quasiement incapables de souler une arme de fer.. J'avançai de quelques pas, tira un double jet dans la direction d'un duo de soldats qui tombèrent tous deux, les combattants étaient désormais avertis de ma présence.

Après quelques secondes d'attente, les gardes se préparaient encore - je n'avais jamais vu une équipe de bras cassés pareil -, j'aperçus le saigneur Orus non loin.. Il était encore trop puissant pour tomber sous mes flèches.. Mais peut-être pourrais-je..

Peu importe ce que je tentais, il arrivais à le parer.. Il me regarder me battre contre les soldats, les faire tomber un à un, sans intervenir.. Après quelques heures de combats, les gardes de ce bataillon étaient tous à terre, je fixais Orus, il me fixait.. Je me retournai chez Gertrude, après avoir lancé une bombinette de feu aux pieds du saigneur, qu'il écrasa d'une facilité déconcertante..

Trop de soldats étaient morts pour aujourd'hui, mais l'avenir est prometteur.

[Väkirauta]

Il n'y a pas à dire, ces petites choses qu'ils appelaient tous "Gobelins" faisaient fort sensation. Dans les tavernes, on ne parlait plus que de leurs présences, d'une invasion, qu'il fallait les éradiquer. Et qui dit qu'ils n'étaient pas simplement en vacances ? Touristes gobelins... On m'a demandé de nombreuses fois si j'avais réussi à en capturer un. Je répondais simplement que je n'en avais pas encore croisé. Je n'avais nulle envie de faire du mal à ces petites bêtes sans être certaine qu'ils étaient mes ennemis. Je poursuivais donc mes chasses paisibles et mes promenades solitaires.

Alors que je me baladais, je me sentis observée. Un ennemi peut-être, pensais-je en serrant mon orbe contre moi. Je me retournai vivement pour me trouver face à... une petite chose verte encapuchonnée. Et moche, très moche. C'était donc ça, un gobelin ? Il était même armé, mais ne semblait guère menaçant. Je tournai le dos en haussant un sourcil et je poursuivis ma marche.

Quelques minutes plus tard, je vis deux silhouettes familières. Encore ces bestioles ? Ce n'était pas vraiment ce qu'il manquait.

Je faisais dorénavant plus attention aux rumeurs qui circulaient dans les tavernes ; puants et difficiles à capturer (seulement quelques aventuriers y étaient arrivés). Tous rageaient de ne pas y parvenir ou se vantaient des centaines qu'ils avaient exterminés. Alors que moi, je passais à côté sans les toucher mais j'y pensais quand même plus qu'avant. Ces créatures avaient l'air relativement stupides, pourrais-je réussir à en apprivoiser ?

Mais pour cela, il fallait que j'en attrape un... Et cela n'était pas de tout repos. Chaque fois que je tentais de leur exposer mon idée, ils me fixaient d'un regard vide ou s'encouraient en poussant des cris étranges avant de se faire tuer par un monstre ou un aventurier. Ce serait certainement plus difficile que prévu...

[thewhitewizard]

La rumeur circulait dans tout MZ: les nouvelles recrues de la garde avait enfin réuni tout leur équipement et étaient pretes à risquer leur vie pour nous proteger.

Mais la rumeur précisait une chose, nous, aventuriers de tous horizons, qu'ils soient élémentaires ou karmiques, étions autorisées pendant moins de 27h a venir tester ses recrues avant leur prise de fonction officielle.

Etant assez faible, je me suis dit que ça serait une bonne chose pour moi autant que pour ces nouveaux gardes.

On m'avait informé qu'ils se trouvaient encore à la prison, leur lieu de formation. Je me dirigeais donc là bas, et vis que je n'étais pas le premier: un nécrophile nécromant d'aéris se trouvait déjà là. Je le reconnu à sa cape si particulière: Guix s'était précipité vers la prison. Réelle envie de tester les nouveaux gardes, ou vengeance personnelle envers le seigneur Orus qui a tué son gobelin? Lui seul le sait.

En tout cas je repérais un petit groupe de gardes qui avait l'air de fuir la puissance de Guix. J'engageais donc le combat. Ils se débrouillaient plutot pas mal, mais j'avais quand meme remporté la victoire:

et bonne surprise, comme preuve de nos victoires, certains nous laissent une sorte de d'embleme, une distinction (vous appelez ça comme vous voulez):

Demain ces nouvelles recrues prendront leure première relève.Espérons qu'ils pourront nous defendre contre tous les dangers qui nous menacent actuellement.

Modifié (le) 16 janvier 2011 par thewhitewizard

[Patafruit]

Les vilains gobelins voleurs de jolis cailloux n'auraient jamais la chance de mener à bien leur satanique projet ici ! Patafruit s'en était fait la promesse, les jolis cailloux de Melrath Zorac appartenaient à Melrath Zorac, et à personne d'autre. Le bruit qui courrait au sujet de l'entrainement de gardes afin de repousser l'éventuel assaut gobelin était parvenu jusqu'au magicien qui se rendit dans la prison où l'entrainement avait lieu.

Au départ simplement curieux de voir comment s'entraîner face à des gobelins, il fut invité à s'entraîner avec les gardes, car tout combattant était bon à prendre, quel que soit son âge.

- Je sais pô si môman sera d'accord, mais les jolis cailloux comptent sur moi, hurla-t-il avant de se jeter corps et âme à l'entraînement.

Après des heures et des heures à mettre K.O. les gardes qui souhaitaient combattre le jeune combattant en couche culotte avec sa cape rouge, il salua ceux qui auraient plus tard un rôle clef en cas d'attaque de la ville par des gobelins et se dirigea vers l'auberge.

En chemin, il tomba nez à pied avec un gobelin pendu à un arbre, il hurla - tellement fort que son cri fut entendu par les âmes égarées qui séjournaient à l'Auberge Sud du Marais d'IssCanak, et pressa le pas avant de s'enfermer dans sa chambre d'auberge.

- Bon, j'ai pu m'entraîner avec 51 gardes différents et recevoir une distinction pour 36 d'entre eux, c'est pas mal pour un début je trouve, murmura-t-il avant de s'endormir...

[khorne]

Après le treizième Khorne se mis a la poursuite d'un autre gobelin.

Mais quand il venu pour l'attrapé, Rayssoen apparu entre lui et sa proie.

Khorne mit un genou au sole et s'inclina.

La douce voie du dragon se glissa dans son esprit.

Khorne, quels sont les lois que tu ma promis de respecter.

Je ne tuerais jamais mes alliés ni mes amis et je ne tuerai jamais toutes formes de vie pour le plaisir mais seulement pour me défendre, pour me nourrir ou pour survive.

Je laisserai toujours le respect guider mes mots et l'honneur guider mon bras.

J'aiderai toujours mes frères d'arme s'ils ont besoin de moi et resterai toujours loyal envers tout le monde.

La haine, le mensonge et la traitrise n'auront jamais de place dans mon cœur.

Et je me battrai pour toujours pour l'union de ces Terres et pour que le mal retourne en enfer.

Et qu'est-ce que ces êtres vivants qui partagent votre monde vous ont faits?

Rien, mais nous ne savons pas pourquoi ils sont ici?

Alors je t'offre la chance de lui demandé. Parle et il te comprendra.

Mais, je comprend pas un mot de ces bestiole qui pu le bougre.

LE dragon s'évapora.

Je suis un gobelin et si je pu le bourge alors vous avez un odeur de crapaud urticant.

Mais comment? Le dragon a disparut! Mon chef me croira pas quand je vais lui dire que j'ai vu une autre espèce de dragon. Vous parlez notre langue? Pourquoi vous nous tapez tous dessus. Notre grand chef nous avait dit que si ont se contenterait sur notre mission et que nous ne prenions pas les ressources des habitants, qu'ont aurais aucun problème et que même sa leur ferais plaisir. Ils nous a aussi dit que si ont venaient a en croisé un. Qu'on pourrait lui offrir de délicieuse potion qu'ils adorent...mais vous êtes que des prédateur sans scrupule qui prennent plaisir a nous taper dessus. Et ceux qui sont capturés ne revienne jamais ou se retrouve suspendu aux arbres...quand notre grand chef apprendra tous ce qui c'est passé ici, il vous enverras le Waargh.

Waargh?

Le Shamans avait raison...

Mais quel est cette mission?

Attrapé et rapporté une monture a la grandeur de l'esprit du grand chef.

Une monture?

Un dragon et le groupe qui rapportera le plus puissant seront la garde officiel du grand chef.

Alors, je peu vous aidez a l'attrapé ce dragon...

Le gobelin expliqua comment il si prenait pour tenté d'attrapé les dragons.

Au début il y avait trois groupes de trois avec des corde attaché a leurs flèches et 3 éclaireurs pour annoncer la venu des dragons. D'autres avaient tentés leurs chance du côté est de la ville mais sans résultat. Là , c'était plus difficile avec la moitié des ces compagnons accrochés au arbres. Khorne se rendit dans le désert aride avec les gobelins et su comment attirer les dragons. Facile, tu a juste a les défiés et il fonce sur toi avec leurs attaque de feu ou de glace.

Khorne reçus plusieurs attaques simultané des deux dragons mais le feu et la glace ce neutralisaient mutuellement. Et ils reçus alors lui et les gobelins qu'une douche de pluie agréable dans cette endroit aride. Les flèche pris leur envole et les cordes s'enroulèrent dans les ailes des deux dragons. Puis un des gobelin sortie un artéfact qui immobilisa les deux grandes créature au sol. L'autre fit un sifflement aigu et plusieurs gobelins vinrent aidés a transporter les dragons.

Khorne en glissa mot à tous les membres de sa faction et donna l'ordre de protégé les gobelins et de leurs donné refuge dans les marais de notre repaire. Pour pas s'attiré la colère des habitant, ils firent croire que tous les gobelins trouvé par les initié avait été tué, mais en réalité il avaient même libéré les gobelin dans les arbres....

Pour les gardes recru de Melrath Zorac ... Hummm, je vais les défiés un peu. Peut-être, si je les distrais, il ne veront pas leurs captifs s'enfuirent...

Modifié (le) 17 janvier 2011 par khorne

[Onizuka]

Missive pour le capitaine Ashbert

Cher capitaine, votre missive que j'ai reçu de votre part me disait de chasser du côtés de Melrath Zorac, ce que j'ai fait d'ailleurs, mais chasser quoi ? Ne suis-je pas assez rapide pour attraper un gobelin où ils m'échappent sous le nez à chaque fois ? Donc sur cette petite recherche inutile de ma part, je suis retourner vers les miens de ma faction en compagnie de Nadhir. Un moment j'ai décidé de changer ma direction pour rejoindre notre forteresse, j'avais besoin de repos, Nadhir continua vers le sud, arriver devant la forteresse, une troupe de deux gobelins gigotaient au pied d'un arbre. J'ai prit mon épée sans réflechir et j'ai foncé sur ces deux créatures dégoutantes, j'ai su tué le premier mais le deuxième à su prendre la fuite. Donc mon cher capitaine, votre rang d'honneur, est un rang haut placé, la fonction capitaine si je n'abuse pas doit donner des ordres clairs et précis, à ce que je vois annoncer des gobelins sur Melrath Zorac alors que j'en ai pas vu un seul et en voir sur Isscanak. Avez vous pensé à notre sécurité ? Vous voila prévenu de leurs présences sur le marais, je ne sais pas encore si vers l'académie j'en trouverais mais j'irais dés que possible y jetter un coup d'oeil.

Cordialement

Mes salutations capitaine

Lieutenant Onizuka

En espérant que ma missive arrivera à bon port

[Anthariel]

La chasse venait de finir ...

La nécromante totalement exténuée entra dans l'auberge de la mine ...

C'était là qu'elle avait vu pour la dernière fois le capitaine Ashbert, là où elle devait lui apporter son prisonnier

Elle n'en pouvait plus ... Tant d'efforts ...

Des gobs, elle en avait vus !!

Elle leur avait couru après ...

Et avait fini par en attraper un ...

Mais maintenant, en se retournant dans tous les sens, la nécromante, si fatiguée qu'elle ne pouvait reprendre sa forme animale, personne ... plus de capitaine ...

JE VEUX MES SOUS !!!!!!!!!!!!!!!!

[Panda Man]

Créativa le 17.

Aujourd'hui, bien matinal je sortais de la tente, il avait manifestement plut pendant la nuit, la boue m'arrivait presque au genoux. Espérons qu'un éboulis n'embarque pas notre belle petite cabane, ou qu'elle ne s'enfonce pas trop profondément, car les fondations... On en a pas.

Je devais descendre MZ pour l'affaire des Gobelins, qui rappelons le encerclait la cité qu'est Melrath. J'avais eu vent que tout les gob' capturés avaient été exécuté par le grand Orus au cours du grand interrogatoire, et que de nouveaux gens étaient formés pour assurer la protection de la ville.

J'allai donc traverser le Visqueux, et au cours de mon avancée, j'aperçois une capuche qui m'est familière.

Sacré non de non ! Vous ici? Vous n'êtes pas tous morts? J'ai tué plus d'une centaine de tes compagnons cette semaine, j'ai ouïe dire que je n'étais pas le seul et vous arrivez à venir jusque la? Fuyez vous quelque chose?

Oui, un Gob', ici la devant moi, au Marais. Il me regardait avec des yeux tels les soucoupes de la taverne à base de lézard éventail. Il me baragouina quelque chose d'incongrue pour mon niveau en gobélien tout en sortant une flèche et bandant son arc, il allait essayer de m'embrocher le bougre.

Et BIM ! Voila que je l'assommai d'un coups de bâton. Encore un que je ne ramènerai pas intact.

J'arrivais à hauteur du wagonnet, je m'assis correctement, histoire de pas finir avec une démarche douteuse à cause d'un mal de fesse.

Le voyage fût fait, sans encombre, sans dommage physique quel qu'il soit, aussi bénin soit il. Je m'en extirpai sans problème, bien content d'en finir, à force de faire des allers retours, ça allait vraiment devenir dangereux.

Alors que je sortais de la mine, je vis un autre personnage, tout vert comme ses prédécesseurs, je croyais qu'ils étaient tous pendus ou au marais, mais apriori, ce n'était pas le cas.

Et BIM ! Encore un coups magistral de coups de baguette, je suis sûr que peu de mage la manie aussi bien.

Je descendis au niveau des remparts et que vois je? Des gardes ! C'était donc vrai.

Je m'approchais d'eux, ils ne semblaient pas très expérimenté, mais le courage était la, c'est de loin l'une des choses les plus importantes. Leur niveau importait peu pour le moment, ils étaient suffisamment forts pour terrasser les petits archers qui grouillaient un peu partout.

J'adressai donc la parole à l'un d'entre eux :

- Dites moi, vous êtes combien à vous entrainez ici? Demandai-je.

- Et bien, à vrai dire je n'en sait rien, mais assez pour protéger cette ville je suppose.

- Je crains fort qu'on ne sera pas assez si on en croit les rumeurs et les écrits sur Rebom.

- Vous croyez? Vous savez, nous nous entrainons durs, et ils y a pas mal d'individus dans votre genre qui nous aiderons parait-il.

- Je voudrais vous tester, si vous êtes d'accord bien entendu. Un petit duel comme ça.

- Je veut bien, mais ne vous attendez pas à se que je vous fasse de cadeau !

- Qu'il en soit ainsi.

Face à face.

Le jeune gardien de la cité se lança pour donner un coups d'épée sur le panda, mais le rata et se pris un coups de bâton. Et BIM !

Il se releva, et tenta de défendre son poste, mais le magicien lui assena un sortilège des plus basique, il tomba et ne se remis pas sur pied.

Arf, il est tout juste deux fois plus fort qu'un gob', va falloir l'emmener à l'infirmerie le loustic.

J'allais vers l'entrée Ouest, et Je vis cinq soldats s'entrainant. Je m'approchais d'eux, et pris place à coté d'un.

Je voulu les tester eux aussi, le résultat fût peu probant, tous finirent par rester au sol. Ce n'est pas de cette façon que nous allions défendre notre chère et tendre Melrath.

Seront-il prêt à temps...?

[Patafruit]

La rumeur n'avait pas tardé à faire le tour de la ville et à se confirmer : deux aventuriers allaient partir à la recherche des gobelins, afin d'en apprendre davantage sur leurs intentions. Patafruit les connaissait, lui, leurs intentions, ils en voulaient aux jolis cailloux de Melrath Zorac. Il se rendit donc dans la prison de Melrath Zorac, où l'un de ces deux combattants demeurait et s'entraînait avec le reste des gardes.

Au moment où Patafruit entra dans la prison, un fait troublant le marqua : personne ne s'entraînait avec ce combattant. Il s'approcha donc de ce dernier et, après lui avoir demandé son nom, il lui proposa un entraînement mutuel, afin de partager leurs connaissances du combat. Mais Farzel refusa, arguant que le magicien n'était pas assez expérimenté et devait s'entraîner davantage avec les autres gardes.

C'est après un nombre incalculable d'entraînements, de prises de combat, d'égratignures et d'hématomes qu'enfin Farzel se présenta à lui. Sans lui laisser le moindre répit, il dégaina son arme :

- En garde ! Hurla-t-il.

Patafruit obéît, faisant abstraction de la douleur, et mena l'entraînement du valeureux garde jusqu'à son terme. Une fois satisfait de ce qu'il avait appris de Patafruit, Farzel lui offrit une part de l'expérience qu'il pouvait lui offrir, et lui proposa de revenir ultérieurement, lorsqu'il aurait d'autres connaissances à lui offrir.

C'était désormais sur, si ce Farzel allait combattre les cailloux, vu sa puissance, les cailloux de Melrath Zorac peuvent dormir l'esprit tranquille !