Alekto Posté(e) 10 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 10 décembre 2012 Bonjour à tous, Pour les fêtes de fin d'année, nous vous proposons un concours Rp sortant un peu de l'ordinaire. Il s'agit ici d'écrire les contes de Noel de TdE. Pas de règles spécifiques pour ce concours, vous pouvez laisser libre cours à votre imagination, en respectant l'univers de TdE. Nous vous demandons toutefois d'écrire dans un français correct, et de faire un petit effort sur la longueur. Un conte a généralement besoin de plus de 15 lignes pour exister. De plus, s'il est besoin de le préciser, tout plagiat sera synonyme de disqualification. L'inspiration est autorisée, la copie prohibée. Vous avez jusqu'au 6 janvier 2013 pour proposer vos textes à la suite de ce message. A vos plumes ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaboji Posté(e) 11 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 11 décembre 2012 Le Bon et la Méchante L'hiver est brusquement arrivé sur Melrath Zorach. La neige puis le froid ont chassé les plus valeureux dans les auberges et dans les cavernes. Ici commence ce conte. La veille de Noí«l. Frédégonde, sorcière maléfique de très haut niveau, est seule. Avoir tué autant de monde, rend difficile de se retrouver entre amis ou même d'en avoir un petit. Pourtant la blancheur immaculée qu'elle voit de sa fenêtre la ramène bien des années en arrière lorsque, jeune sorcière, elle parcourait Melrath Zorach remplie d'une fougue juvénile en défendant le veuf et l'orpheline. Comment a-t-elle glissé vers le côté sombre ? Triste histoire que je vous conterai peut-être un jour. Ce soir, cette mélancolie la rend nostalgique. Elle refait de vieux gestes qu'elle se surprend à se remémorer. Un sapin est dressé à côté de la cheminé ; une décoration faite de branches et de plantes collectées ça et là lui donne un aspect presque festif. Souvenirs ... Toc ! Toc ! Toc ! Elle bondit sur sa baguette et se cale dos au mur, une main sur la poignée de la porte. - Qui va là ? crie-t-elle. - Kabossé ! J'ai froid, j'ai faim et je n'ai plus d'argent ! Kabossé... Kabossé... « Ah ! Oui ! Un guerrier moyen, neutre et sans charisme... ce soir, il dormira au cimetière ! » En un éclair, Frédégonde ouvre la porte et lève sa baguette chargée d'un sortilège mortel. Dehors, le guerrier, l'épée au fourreau, se tape les flancs pour essayer de se réchauffer. Alors, la sorcière maléfique a une légère hésitation ; un bref regard vers son sapin. Kabossé s'est immobilisé et ferme les yeux pour mieux encaisser le coup. La baguette s'abaisse. « Entre ! » Kabossé ouvre un œil, puis l'autre et, voyant la baguette pointée vers le sol, entre et se dirige vers la cheminé. Il tend ses mains vers le feu. « Merci ! Ca fait du bien ! » - As-tu faim ? J'ai préparé du pangolin sauvage avec une salade de plantovor. - Hmmm ! Un délice ! Je peux aider ? - Non, installe-toi. Je vais chercher les plats. Kabossé s'installe à la petite table pendant que Frédégonde, un peu songeuse, file vers la cuisine. Il y a longtemps qu'elle n'a pas échangé plus de deux mots avec quelqu'un. Alors, un repas... Kabossé se lance sur le pangolin dont le fumet rempli la pièce. Il jette des regards vers son hôtesse, en face, qui commence à y lire un peu plus que de la reconnaissance. Tout à coup, il se redresse et fouille dans sa gibecière. Instinctivement, Frédégonde serre sa main autour de sa baguette posée sur la chaise à côté d'elle. - Tiens ! dit-il en lui tendant une grande chaussette. Je ne sais pas pourquoi j'ai gardé ça depuis Noí«l dernier mais je crois que ce soir, c'est de circonstance. Frédégonde, émue, accepte le présent et se lève pour aller fixer la chaussette au manteau de la cheminée. Le coup net qui décapite alors la sorcière fait rouler sa tête sous le sapin et naître un grand sourire sur les lèvres de Kabossé. « Pfiou ! Ca devient de plus en plus compliqué de se faire un haut niveau ! » - Tiens ! Ca fera une boule au sapin ! déclare-t-il à la tête, en guise d'éloge funèbre, tout en récupérant la chaussette. Et c'est ainsi que pour Noí«l, Kabossé le guerrier obtint enfin son karma "juste". Moralité, il ne faut jamais désespérer, des miracles se produisent parfois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Silverhand Posté(e) 11 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 11 décembre 2012 Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. 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De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. 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Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? 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De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? 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Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? 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Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. 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Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. 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Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. 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De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. 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Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. 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Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. 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On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. 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Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. 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Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. 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De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. 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Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? 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Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. 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Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. 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Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. 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Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? 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Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Il était une fois, un archer d'Aqua qui parcourait les Terres des Eléments afin de trouver de quoi subsister jusqu'à la saison prochaine. Rompu de sa journée à lutter contre les monstres, il se dit qu'il avait bien mérité le droit de profiter d'une chambre et d'une chope de bière à l'auberge. Étant un habitué de l'établissement, il se dit qu'il allait pouvoir retrouver des têtes connues. Moins connues aussi d'ailleur. Il trouva en effet 4 lutins de couleurs bleu, rouge, jaune et vert qui couraient partout dans l'auberge. Il réussit à attraper le bleu et lui demanda: - Dis donc, qui êtes vous ? - Nous ? On est les lutins de Noí«l, dit-il d'une voix nasillarde et aiguí«, et surtout insupportable. - Eh ben, encore des guignols déguisés. Il lâcha le petit être et se dirigea vers le comptoir quand il entendit cette voix insupportable. - Dis, t'aurai pas un cadeau pour moi ? Le Père Noí«l est parti, et il nous faut des cadeaux. - Euh ben j'ai mon arc enchanté, mais je suis pas sur que ça plaira à un gosse de 3 ans. - Non, un vrai cadeau, pas un truc en bois minable. - Eh, fais gaffe à ce que tu dis ou tu risquerai bien de te prendre un projectile du cadeau en bois minable. - En bois aussi ? - Rahhh, je sais même pas pourquoi je continue à discuter avec toi. Détournant le regard du lutin il se dirigea à nouveau vers le comptoir, cette fois bien décidé à boire sa bière. - T'aurai pas non plus des guirlandes pour décorer les sapins ? reprit le lutin avec insistance et en lui tirant la manche. - NON !! Je n'ai que mon arc !! explosa l'archer. J'ai simplement soif, alors laisse moi tranquille. Se tournant une fois de plus vers le comptoir qui paraissait toujours aussi loin, il se demanda pourquoi le lutin voulait tellement qu'il l'aide, et pourquoi le célèbre Père Noí«l avait disparu. De toute façon, il pourrait pas y réfléchir avant de s'être rafraîchit le gosier. - Et des contes, t'aurai pas des contes ? Pour raconter ? Estimant ne pas pouvoir boire sa bière avant de lui avoir donné quelque chose, il se décida à lui raconter un conte. - Bon, tu veux quoi comme conte ? - Un conte de Noí«l ! - Euh... ouais. OK, je vais t'en raconter un. Ecoute moi ça: Pour ceux qui ne l'auraient pas compris, ces contes durent éternellement. Pauvre archer, on saura pas s'il a bu sa bière... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lundi Posté(e) 15 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 15 décembre 2012 On raconte parfois dans les tavernes cette ancienne légende de Noí«l, presque oubliée, incomplète, mais précieuse. Est-ce un témoin occulaire qui l'a transmise? Est-ce par révélation? Nul ne le sait mais cette légende brûle encore dans bien des coeurs. C'est l'amour fort, entre Carsin et Frisine, deux êtres que nous, les grands, qualifierions de "petits". Sur une terre riche et inconnue, ils vivaient une vie paisible et agréable au milieu de leurs enfants. Mais contrairement à ce que beaucoup ont envie de croire, ils n'étaient pas rustres. Cultivateurs certe, mais pas pequeno! Ils étaient inventifs et créatifs le tout dans une grâce et une distinction remarquable. Du coup, les enfants ont intégré les traits des parents. Ils ont toujours été en avance sur leur temps, ingénieux au possible mais avec un zèle non pas nourri de paresse ou de gloire mais simplement d'innocence. Mais ces gens étaient petits, presque invisibles pour les grandes gens. Insignifiants et ignorés de tous. Sauf d'une personne : un vieil homme généreux. Qui au détour d'un voyage a pu les observer discrètement. Puis à force de temps et de patience ils ont appris à se connaître et s'apprécier. Le vieil homme s'est installé au milieu de ces petit. Il était comme l'un des leurs. Il n'a jamais voulu exploiter leur savoir et eux n'ont jamais essayer de le transformer en garde du corps. Ces petites personnes étaient joyeuses et leurs habits reflètaient les sentiments de leur coeur. Des chapeaux pointus, des couleurs vives. Aujourd'hui nous en croisons encore de temps en temps si nous prenons le temps de les voir et de ne pas les mépriser. Ils ont beaucoup à nous apprendre ! Mais voilà que pendant une absence du vieil homme, un malheur est survenu dans cette paisible demeure. Carsin a été attaqué par un être puissant et il est rentré à le demeure blessé et agonisant. Frisine, inquiète de tant de violence et de la santé de son mari est entré dans un désespoir sans parole. Etait-il possible de vivre indéfiniment en paix sur ces terres? Probablement que non, malheureusement. Carsin est mort ce jour là et tout a été différent pour la petite famille de lutins. une vie d'errance a commencée, de crainte et de cachette. Où est passé leur joie, leur inventivité? Ils se sont mis en quête de retrouver le vieil homme et ce fût à leur tour de l'observer discrètement et avec temps et patience, ce sont les lutins qui ont intégré le domaine du vieil homme. Noí«l nous permet de voir un instant la joie de cette association. Mais est-il possible que cela dur? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaboji Posté(e) 18 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 18 décembre 2012 (modifié) La merveilleuse veillée de Noí«l Le petit peuple des Cimes a l'habitude de souffrir. Grizzlis, loups, renards et tortues ne font guère le poids face à des hordes de guerriers venues de la plaine pour quérir un trophée. Ainsi l'a voulu Leza D'Mine, dieu unique créateur de toute chose sur cette terre. Gloire à Lui ! Oui, décidemment, le petit peuple souffre. Et cette année est pire encore : Leza D'Mine, créateur et dieu tout puissant, a fait savoir aux oracles que le Père Noí«l ne viendrait pas cette année. Gloire à Lui ! Mais les oracles ne peuvent dire pourquoi. Or, en cette matinée veille de Noí«l, la petite Kioui, jeune tortue des glaces, rentra au terrier familial toute excitée, un tract à la main qu'elle tendit à sa mère. - Maman ! Maman ! Regarde ! Un spectacle ! - Fais voir ça, demanda la maman. Sur un beau papier rose avec des paillettes sur le pourtour, de gros caractères runiques annonçaient l'événement : « Aujourd'hui et aujourd'hui seulement, la Compagnie des Lanceurs de Flamme se produira au Lac Glacé pour le plus grand plaisir des enfants ! Venez nombreux ! Piscine chauffée, spectacle aérien, et de nombreuses surprises dès 14 heures ! » - Ca alors ! dit la Maman, un spectacle ici ! La dernière fois que ça a eu lieu c'était... voyons voir... je n'étais pas née et c'est ma grand-mère qui m'en a parlé. - J'pourrai y aller M'man ? Dis ? Allez ! Toutes mes copines vont y aller. Allez ! Dis oui s'te plaît. « Les enfants n'ont pas tous les jours l'occasion de s'amuser ici, pensa la maman, pourquoi pas ? Si tous les parents font le guet il ne devrait pas y avoir de problème avec ceux des plaines. » Le reste de la matinée fut consacré à la mise au point des règles de sécurité et de surveillance entre les hommes de la tribu et aux préparatifs pour les enfants. Il semble que les femmes préparaient une petite surprise pour la soirée, mais chut ! Après un repas sommaire, l'après-midi arriva enfin. A proximité du lac glacé, les quatre dragons s'affairaient autour d'une grande piscine métallique qu'ils avaient dû amener dans la nuit. Ils crachaient leurs flammes à la base sauf le dragon bleu, visiblement chargé de l'accueil (son souffle glacial ne lui permettait pas de chauffer une piscine mais avec sa gouaille, il pouvait chauffer un public !). - Approchez ! Approchez ! La Compagnie des Lanceurs de Flamme vous présente sa grande animation de Noí«l ! Les relations avec les dragons étaient rares. La surprise fut donc plutôt agréable pour le petit peuple des Cimes qui cherchait désespérément des alliés. Des rampes permettaient d'accéder à la piscine. Les jeunes tortues étaient dans les starting-blocks ! La maman de Kioui lui mit un nœud rose dans les cheveux : « Comme ça, je pourrai te voir nager au milieu de tout le monde. » La petite était aux anges. Pour tous les enfants cette attraction valait largement l'attente du Père Noí«l. D'autant qu'il se murmurait qu'une grande fête se préparait pour ce soir ! - Approchez ! Approchez ! Profitez de notre grand bain ! Les papas faisaient le guet sur les hauteurs et contrôlaient les mouvements dans la vallée. Les mamans avaient de plus en plus de mal de retenir leur marmaille. Le dragon bleu trempa le bout de son aile dans l'eau et affirma en faisant une grimace de contentement que l'eau était à une température idéale pour des jeunes tortues des glaces ! Alors, se fut la ruée. Sous l'œil attendri des mamans, les enfants filèrent de toutes les manières possibles vers la piscine. Ca criait, ça jouait, ça envoyait de l'eau partout. Les enfants trouvaient même que l'eau avait bon goût et qu'elle sentait bon ! La maman de Kioui surveillait le petit nœud rose qui indiquait où se trouvait sa fille dans le bassin. Au bout d'une grosse heure, des enfants commençaient à sortir du bain et se plaignirent auprès de leur mère. L'une d'elle alla trouver le dragon bleu. - Des enfants disent que l'eau est trop chaude, rapporta-t-elle presque sur le ton de la confidence. - Diable ! fit le dragon bleu, je vais prévenir mes cousins de stopper leurs ardeurs et de se préparer au spectacle aérien. Le dragon bleu fila vers ses congénères et leur tint des propos animés. Les trois autres dragons stoppèrent leur souffle chaud. - Et maintenant, le grand spectacle aérien ! lança le dragon bleu. Sous sa direction, les trois autres dragons, de quelques mouvements d'ailes, se posèrent sur le bord de la piscine, en attrapèrent les bords, bien répartis autour, et, par de puissants battements, commencèrent à l'emmener dans les airs, sous les regards admiratifs des hommes, inquiets des femmes et les rires des enfants. Tout le monde applaudit ! Certains devaient même commencer à penser qu'une alliance militaire devait être possible. Une maman demanda benoîtement à voix haute quelle pouvait donc être la surprise. La maman de Kioui, elle, commençait à comprendre la surprise. La très mauvaise surprise. - Alors ! Elle est pas bonne ma soupe de tortues ? demanda Keril Cahendirr - Ca ! C'est délicieux ! Ca change du pangolin farci ou du crabe marron flambé, répondit Orus en gobant une tortue avec un petit nœud rose sur la tête. - Je n'en fais pas souvent car ça me donne des gaz ; et puis une fois de temps en temps, on apprécie mieux. - Divin ! C'est quoi le secret ? s'enquit Orus. - Une cuisson lente mais sur plusieurs heures. Et un bon bouillon bien parfumé ! Et c'est ainsi qu'en cette veillée de Noí«l, Keril Cahendirr, heureux de faire plaisir à son ami, fut satisfait au-delà de toute retenue et lâcha même un pet sonore, ce qui n'était guère dans ses habitudes et s'en excusa au milieu des éclats de rire d'Orus. Quelle soirée ! Aux Cimes, la maman recueillie dans ses pensées et prières, se dit : « Et en plus, il va y avoir de l'orage. Je comprends que le Père Noí«l ne vienne pas. Leza D'Mine savait et avait tout prévu ! Gloire à Lui ! » Une petite larme coula au coin de l'œil de la maman de Kioui. Cela irait mieux l'année prochaine. Modifié (le) 19 décembre 2012 par Kaboji Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kaboji Posté(e) 20 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 20 décembre 2012 Kaboji ? Non merci ! Kaboji, assis derrière sa table, concoctait de nouvelles fables. Des contes de Noí«l morbides dans lesquels les gentils affables se font avoir par des méchants cupides. « Le lecteur avisé, se dit-il à voix haute, va se douter de leur destinée. Il faut que je trouve une chute moins banale et encore plus infernale ! » Un des Lutins du Père Noí«l, en quête de cadeaux éventuels, vadrouillait autour de la demeure de Kaboji et entendit ses propos démentiels. Le sort des petites tortues des glaces, les Lutins trouvaient ça dégueulasse. Il courut prévenir ses frères afin d'assouvir leur colère ! A l'auberge, les quatre Lutins tous à la fois jurèrent de changer la fin des contes de Kaboji au moyen de la magie. Une sorcière à l'oreille indélicate écoutait le serment des courtes-pattes. La tête de Kaboji était mise à prix par la confrérie ; les Lutins semblaient connaître le moyen de mettre la main sur le conteur chafouin. Les Lutins préparèrent leur coup de main ; des sorcières de partout radinèrent ! La veille de Noí«l, Kaboji écrivait encore ses inepties à la lueur d'une bougie. Les quatre Lutins se concertèrent sous sa fenêtre et l'escaladèrent. Discrètement, les sorcières firent le tour pour attaquer côté cour. Les vilaines baguettes crépitèrent, les bons sortilèges fusèrent mais leurs effets s'annulèrent ! Kaboji reçut quelques miettes côté dextre et quelques restes côté senestre. Sa caboche résonne depuis pire qu'une cloche... Ses critiques littéraires, croyant avoir réussi leur affaire, se retirèrent ventre à terre. Dès lors, Kaboji écrivit des contes à l'envers ! Pour les gentils très très gentils tout était réussi et pour les méchants très très méchants, que des embêtements. Ah ! Le bel esprit de Noí«l où les histoires remplies d'arcs-en-ciel et de miel sont belles... Et dont tout le monde se fout ! Plus un pour les lire jusqu'au bout ! Depuis, Kaboji erre gentiment, saluant les cactus la main au gibus et discutant avec les chênes des grands glands de la saint glinglin. Noyeux Joí«l ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Anamaya Posté(e) 22 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 22 décembre 2012 "Le petit flocon de Neige Il était une fois, dans les cîmes au dessus de la ville de Melrath Zorac, un petit flocon de neige. Ce petit flocon n'avait pas de nom. D'ailleurs, aucun d'entre eux n'en avait. C'était un flocon parmi tant d'autres, tout aussi cotonneux, tout aussi froid, tout aussi prêt à retourner à l'état liquide si jamais une main humaine un peu chaude le saisissait. Pourquoi alors, s'intéresser à ce flocon ? Et bien, parce qu'un jour, dans le secret de la nuit, quelqu'un avait bu une potion. Et de ce petit écrin de verre avait coulé quelques gouttelettes égarées. C'était quelque chose d'anodin. Souvent, des gouttes vertes ou rouges d'elixir constellaient la neige, sans compter le sang des aventuriers voire... de la bave... Pourquoi ces gouttes-là eurent un effet particulier est un mystère. Toujours est-il que, d'un coup, notre petit flocon s'éveilla. Oh, il n'était pas le seul ! D'autres s'éveillèrent également tout autour de lui. Ils s'agitèrent, nouvellement dotés d'une perception de ce qui les entouraient. Ils ne pouvaient parler ou voir, car ils n'avaient ni bouches ni yeux. Mais ils percevaient le monde comme autant de pulsations différentes. Chaque petit flocon eut sa propre réaction. Certains fondirent d'angoisses, d'autres cherchèrent à ne plus être rien du tout. Et un petit nombre voulu se nourrir de ce qu'il y avait autour d'eux, autant que leurs sens le leur permettait. C'était le cas de notre petit flocon. Le jour revint, puis une nouvelle nuit. Ils avait goûté à la sensation désagréable d'être écrasé sous un pied, ou lancé avec d'autres flocons, tant et si bien qu'ils étaient tous éparpillés. Et lorsqu'ils se tendaient les uns vers les autres, ils pouvaient percevoir la forme du sol. Mais pour notre petit flocon, ce n'était pas suffisant. Il savait qu'il existait d'autres endroits où le sol n'était pas rempli de neige. Il le savait, car il avait rencontré de la terre sous le pied d'un humain. Et il voulait découvrir cet ailleurs.... Alors dès qu'il en eut l'occasion, le lendemain il s'incrusta dans une chaussure. De toute sa volonté il se maintint là, caché, en attente... C'est ainsi que le petit flocon descendit la montagne et fit ses premiers pas dans le désert de sable. Ses premiers pas... Et ses derniers. Car ce que ne savait pas le flocon curieux, c'est que le soleil était chaud au dessus du désert, encore plus chaud que la paume d'un humain. A peine eut il effleuré le sable, que son petit corps fondit. Il devint eau, et cette eau se mêla au sable qui l'aspira en un clin d'oeil. Il aurait pu s'éteindre ainsi. Ce ne fut pas le cas, Posicillon veillait sur lui. Il n'était simplement plus un, mais plusieurs. De minuscules grains avaient recueillit le petit flocon devenu eau, et sa conscience s'était parcellée. Il percevait tout comme par un prisme... Avec la complicité de l'air, il s'éparpilla, les grains s'éloignant les uns des autres, touchant forêt, créature, feu ou point d'eau. Mais cette découverte avait un prix, et plus les parties de lui s'éloignaient les unes des autres, plus il avait du mal à rester un. Et peu à peu, sa conscience commença à s'effacer. Certains grains ne répondaient plus à l'appel des autres, s'étaient détachés, peu à peu. Lorsque le petit flocon ne fut plus que dans quelques grains, il prit une décision. Quitte à s'éteindre, cela ne pouvait être que parmi les siens, dans ces cîmes qui l'avait vu naître... Et il n'avait plus beaucoup de forces... Trois grains de sables s'accrochèrent à la chaussure d'un aventurier. L'un retomba a peine dépassé la mine. Le deuxième perçut la vibration du sol sous le coup d'un taurus avant de ne plus rien percevoir du tout. Le troisième.... Le troisième sentit le froid avant de se détacher de son porteur. Il n'était pas encore arrivé pourtant... Son chagrin était grand. Il échangerait volontiers les gains de son voyage contre le fait d'être à nouveau à sa place. La Déesse sentit sa douleur, et d'un simple courant d'air un peu plus fort, elle lui offrit ce retour tant désiré. Des autres, flocons de neige, il ne percevait aucun signe. Peut être était-il le seul à avoir tenu aussi longtemps ? Si il avait pu, il aurait soupiré d'aise. Mais il ne soupira pas, et très vite, il ne fut plus. De flocon de neige, il était devenu goutte d'eau et grain de sable. Il avait voyagé et était retourné chez lui. Il avait vécu tout simplement." Mille et un contes de Festiva, auteur inconnu, p.74. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cameilya Posté(e) 25 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 25 décembre 2012 Un soir à la veille de Noí«l, je découvris dans une vieille malle au fond du grenier d'une maison en ruine, un livre dont la reliure était de cuir, un cuir de quatre couleurs différentes, le jaune, le bleu, le vert et le rouge. Sur chaque couleur était gravé un des quatre éléments, pour le jaune l'air, pour le bleu l'eau, pour le vert la terre et pour le rouge le feu. Au milieu en lettre d'or était gravé ZORAC LE VIEIL. Intriguée j'ouvris le livre et là je fus transportée à mille lieues d'ici, dans une autre époque. Une époque où régnait la paix je commençai à lire. Il était une fois, il y a fort fort longtemps à mille lieux d'ici, un pays où les quatre éléments étaient en guerre depuis des décennies. Ils s'entre-tuaient pour une parcelle de terre. Chaque élément revendiquait la possession de ce terrain et ne le voulait céder à aucun prix. Tuant, pillant, massacrant chaque habitant, c'était devenu le chaos. Un jour où le ciel était couleur de sang, les dieux et déesses prirent peur que le ciel ne leur tombent sur la tête, ils décidèrent de se réunir pour trouver une entente. Ils discutèrent pendant des heures, des jours et des nuits, mais aucun compromis ne fut trouvé. C'était encore un échec, ils allaient reprendre la guerre, quand dans un recoin de la forêt ils trouvèrent une louve les regardant d'un air de pitié et les suppliant d'un regard muet de la laisser en paix. Elle avait entre ses pattes ses petits louveteaux et un ourson qu'elle essayait de protéger des intrus. Voyant ce spectacle, ils reprirent la discussion pour se mettre enfin d'accord et vivre en bonne entente. La plus belle des villes, Zorac le Vieil, vit le jour. Elle fut construite par les quatre éléments qui souhaitaient vivre en paix. L'inauguration se passa sur la place de la fontaine, la vieille de Noí«l, en présence de tous les villageois. Pour fêter ce traité, les dieux et les déesses de chaque élément promirent la paix et qu'à chaque soir de Noí«l, il aurai pour symbole un sapin. Un sapin qui serait dressé sur cette même place. La déesse de la terre, Flamine parcourut ses forêts à la recherche de plus beau sapin et le dressa au milieu de la place. La déesse de l'air, Eoline parcourut le ciel à la recherche de l'étoile la plus brillante et la plaça au sommet du sapin. Le dieu de l'eau, Pasicaillon puisa dans ses rivières de l'eau qui servit de guirlande au sapin. Le dieu du feu, Fulfume alluma un bon feu de bois, captura des flammes dans des boules et les plaça sur les branches du sapin. Quand la décoration du sapin fut terminée, les cloches se mirent à sonner pour annoncer la fin de la guerre. En cette minute de paix, la fête commença. Tout le monde se donna la main, dansa toute la nuit autour du sapin et ils festoyèrent jusqu'à l'aube. Au petit matin ils s'échangèrent des cadeaux. La magie de Noí«l dura plusieurs années. On raconte que le soir de Noí«l à Zorac le Vieil le fantôme du premier Noí«l réapparait pour illuminer de son sapin la, place de la fontaine et de donner un peu de chaleur et de paix à ses habitants. FIN Encore émerveillée par cette belle histoire je refermai le livre. Songeuse je me mis à rêver de ce sapin et de ce qu'il pourrait apporter à Melrath Zorac. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alekto Posté(e) 26 décembre 2012 Auteur Signaler Share Posté(e) 26 décembre 2012 Belle citation du poème de Clement Moore, Tranduil, qui vous vaut une disqualification pour plagiat. A l'avenir, abstenez-vous. Merci aux autres pour leur participation. Je rappelle que vous avez jusqu'au 6 janvier pour nous faire partager VOS textes. Joyeux Noí«l à tous. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Celeste La Juste Posté(e) 27 décembre 2012 Signaler Share Posté(e) 27 décembre 2012 Noel sans lui... Petit papa Noel avait décidé de ne pas faire de tournée cette année, laissant les lutins se débrouiller avec tout le travail. Papa Noel, avait acheté un billet pour aller dans le sud, bien au chaud. Les lutins nommèrent 4 lutins de couleurs différentes, des 4 éléments, qu'ils installèrent dans les tavernes, avec ordre de ne pas bouger. Ils mirent des cadeaux tous pareils sur des monstres, mais quiconque essayait de les ouvrir, ne le pouvait pas. Les gens devaient aller porter ces cadeaux aux lutins de leurs éléments, mais ils prenaient les cadeaux mais ne donnaient rien en retour! Quels malotrus! Papa Noel, avant de partir, avait mit dans un endroit magique, un mini village où on pouvait s'amuser, et faire de petites quêtes, cet endroit, était froid, et on pouvait avoir des balles de neige, pour se les lancer, Anthariel avait compris ça, et m'en avait lancé dans notre fort, j'étais devenu un bonhomme de neige! On pouvait aussi dans cette place amusante, faire des sapins de Noel, avec des boules, des guirlandes, et des ampoules, et même une étoile tout au haut du sapin! C'était magnifique! Malgré notre amusement, nous étions un peu triste de ne pas voir Papa Noel, il était indispensable,car les lutins n'arrivaient pas à faire tout le travail correctement, pauvres petits lutins. J'ai entendu un d'eux dire que Papa Noel, était malade, et qu'il devait aller dans un endroit chaud pour guérir. Je regardais le ciel, et je vis pleins d'étoiles plus scintillantes que d'habitude, elles brillaient de mille feux! Je compris que Papa Noel les avait mise là-haut pour nous, et qu'il voulaitr qu'on comprenne qu'il ne nous oubliait pas... " Prends bien soin de toi Papa Noel, et reviens-nous vite l'an prochain!" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sheelah Posté(e) 1 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 1 janvier 2013 Le lutin au grelot Lupvnik le lutin boudait, comme à son habitude. Il boudait, cette fois-ci, car il n'avait pas eu le cadeau qu'il voulait pour noí«l. Il se moquait bien de savoir que ses parents avaient fait leur possible, qu'ils n'avaient que très peu de temps, comme chaque année, à cette période ci. Qu'est-ce qu'il pouvait en avoir à faire, des autres enfants, et de ce fichus père noí«l ? Il ne connaissait pas les premiers, et ne voudrait jamais - oh grand jamais ! - travailler pour le second. Il boudait, donc. Au départ, il était resté bouder dans la maison de ses parents, pour leur montrer à quel point il était énervé. Mais ils semblaient s'en moquer. Alors, énervé plus par leur indifférence que par cette histoire de cadeau finalement, il était sorti, trouver refuge dans les bois. Il marchait rageusement, tapant du pied dans tout ce qu'il pouvait afin de se défouler. Il prit même une branche de sapin, arrachant avec fougue les aiguilles pour se retrouver avec dans les mains une branche nue dont il se servit pour taper se qui se trouvait autour de lui. Ses bottes commençaient à être mouillées à cause de la neige qui couvrait le sol, mais il n'en avait cure. Il tapait. Tapait. Branches. Cailloux. Neige sur le sol. Tronc d'arbre. Tout ce qui passait sous son bâton recevait un coup. C'est ainsi qu'il reçu un énorme tas de neige sur lui, en tapant la mauvaise branche. Sous la surprise, il resta immobile, ne sachant comment réagir. Ne pouvant réagir. Il se sentait soudain las. Triste aussi. Et tout mouillé maintenant. Il avait froid aussi. Alors il laissa son bâton, sorti de toute cette neige et alla un peu plus loin, s'assoir sur un tronc d'arbre. Il était là, seul, triste, prêt à pleurer, lorsqu'il sentit sur son épaule une main chaude. Il releva la tête, et vit une femme, belle. Elle était tout de blanc vêtue et, autour de ses pieds, la neige avait fondue tandis que des fleurs semblaient pousser, fleurir, comme par magie. Elle lui sourit tendrement, prit son bonnet, qui sécha rapidement entre ses mains, et fit apparaître à son bout un petit grelot. Elle remit ensuite le bonnet sur la tête du petit lutin, le fit grelotter puis émit un petit rire. -Ne sois pas triste petit lutin. C'est noí«l... La déesse lui sourit une dernière fois, puis disparut dans un rayon de lumière. Lupvnik, après avoir compris ce qu'il venait de se passer, remua la tête pour faire chanter son grelot. Cette douce musique apaisa son cœur. Il revint alors, le cœur léger chez ses parents. C'est ainsi que les lutins découvrir les grelots. Depuis ce jour où la Déesse Fimine apaisa le petit Lupvnik, les lutins ne peuvent résister à l'appel des grelots. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
khorne Posté(e) 1 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 1 janvier 2013 (modifié) LE PHÉNIX ET SA FLUTE Il était une fois, il y a si longtemps que tout le monde a oublié la date, dans une ville dont le nom est si difficile à prononcer que personne ne s'en souvient, vas savoir si elle existe encore. Un petit joueur de flute, son chapeau sur sa tête, un vieux manteau bleu avec une corde attaché à son corps, qui remontait la rue principale en frappant ses pieds gelés sur le pavé plein de neige. Malgré tous le pas de danse et tous les airs sifflés, il ne parvenait pas a se réchauffé. Il se disait que si un passant appréciait sa musique, qu'il aurait peut-être une chance d'être invité dans leurs réveillons du Festiva. Les soir de se mois, les villageois se réunissent ensemble pour oublier un peu les froids de l'hiver. Mais Ceux qui ont a préparer cette soirée son préoccupé a en mettre plein la vue aux convives. Ils ont donc la tête a préparé la maisonnée et le casse croûte, bien aux chaud en leur demeure. Les invités eux sont a la course pour déniché le plus beau cadeau de remerciement à faire aux hôtes de ces soirées mais ils ne semble pas pensé qu'un petit joueur de flute était le cadeau le plus précieux pour une soirée bien réussi. Un petit moineau paresseux c'est levé trop tard un matin et c'est confrères étaient tous envolés pour des climats plus chauds. Dans se froid, il semblais être le seul a apprécier le siffletin du garçon. Ses airs lui rappelaient la compagnie des beaux jours d'été. Il suivait donc le petit et en profitait même pour allé se couché dans sa poche, tous prêt de son cœur, là où il fait chaud et où le petit partageais avec lui des miettes de pain. Celui si trouvé derrière la boulangerie, dans les poubelles. Qui voudrais acheter d'un pain, écrasé et tombé au sol dans cette frénésie des achats, pour leurs invités si précieux. Mais bien vite le jours tomba, annonçant le début d'une autre belle soirée, a l'intérieur, au tour d'une table, dans des pièces réchauffés au feux de cheminées toutes biens décorés. Les rues se vida sans que personne semble prendre conscience du petit. Il se recoquilla dans le coin d'une ruelle, là ou le vent soufflait moins. mais tranquillement il perdit sa chaleur corporel. Le petit oiseau, la tête tournée vers le ciel pour prier les dieux, vu parmi les étoiles, une toute rouge qui semblait danser parmi les autres. Ce tison tous chaud sortie d'une cheminé était pour lui un cadeau envoyé des Dieux. Il pris donc son envole et vif comme si il devait attraper le dernier repas de sa vie, le pris dans son bec et venu le déposé dans un trou de la flute du garçon. Mais la magie de l'étoile rouge ne donna pas le résultat escompté et la flute s'enflamma. Mais le garçon lui apprécia et plaça ces mains de chaque cotés pour les réchauffer. L'oiseau triste d'avoir détruit l'objet magique qui leurs permettait de communiquer entre eux pris son envole en quête d'une autre flute. Mais malheur quand il sortie d'entre les murs qui le protégeait du vent. Le bout de sont bec encore imprégné du tison pris feux. Et puis, rapidement cette petite flamme s'attaqua a son plumage et l'oiseau se transforma rapidement en une flamme volante. Vulfume, qui avait entendu les murmures du jeune garçon qui le remerciais pour les flammes offert, c'était penché sur le monde des humains. Ils vue cette créature de feu et l'aima. Mais il sentit que la créature perdait la vie. Alors il lui insuffla une énergie nouvelle. L'oiseau sentit sa nature changer. Il sentit cette nouvelle force. Les dieux lui avait donné en cadeau. Grâce a son action généreux pour réchauffé l'enfant, l'oiseau n'aurait plus jamais froid. Vulfume heureux de sa création convoqua sur le champ Eolia pour qu'elle vienne voir. Elle lui dit mais comment va-il pouvoir se reproduire avec ces semblable. Vulfume en colère lui répondis que cet oiseau était unique et qu'a sa mort il renaîtrait de ces cendres, voilà tous. Après quelques acrobaties de joie, l'oiseau repensa a l'enfant et a sa quête. Il devait lui rapporter une autre flute. Sans avoir a craindre les flammes, il pouvait, par les cheminées,entré dans les maisons. Il en volât une première et la rapportât a l'enfant. L'enfant devait se réchauffé et de toute façon, cette deuxième flute avait pris feux aussi. Il repartie donc a la recherche d'une autre et lui rapportât. Le feux pris de l'ampleur et réchauffa l'enfant. Le garçon pour remercier Vulfume donna un nom a sa créature car elle était unique. Phénix, voilà comment je t'appellerai. Cette nuit la, les humains prirent connaissance de cette nouvelle créature. Elle fit éruption dans toutes les soirée et volât toute les flutes. Mais la quête du phénix ne faisait que commencer. Et puis il dénichât, loin dans une autre ville dont le nom est si difficile à prononcer que personne ne s'en souvient, vas savoir si elle existe encore. Dans une grande tour, là ou vivait un grand magicien, une flute faite dans un matériaux qui ne s'enflammât point a son touché. Il la rapportât donc a l'enfant qui pus se remettre a jouer pour son bonheur. Cette flute était elle magique? Peut-être a cause de sa rareté dans le village ou la peur de revoir ce phénix revenir dans leurs maison? Les villageois donnèrent généreusement toute sorte de bien a l'enfant et a son phénix qui sont devenu, celons les dires, les plus riche des terre des éléments. A la mort de l'homme. On plaça sur son tombeau la sculpture d'un phénix, fabriqué avec tous l'or qu'il lui avait rapporté. Et on dis que si vous êtes un être très généreux, que celle-ci laisse tombé la flute pris dans son bec. Le vrai phénix lui? On dit qu'il a suivit l'homme au panthéon, au chaud tous prêt de Vulfume. Modifié (le) 1 janvier 2013 par khorne Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guest tranduil Posté(e) 2 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 2 janvier 2013 Une petite fille pas comme les autres: Il était une fois une petite fille, c'était la plus moche de toutes les petites filles du village ou elle habitait et elle était très triste car elle n'avait pas d'amies pour jouer avec elle. Ses parents la présentait a beaucoup d'autres enfants mais a chaque fois elle se retrouvait a jouer seule dans son coin car les autres la trouvait trop laide. Tout les soirs, avant de s'endormir, elle fermait les yeux et elle priait le seigneur de lui donner une amie le lendemain et tout les lendemains, elle pleurait en voyant a la nuit tombée qu'elle n'avait toujours pas d'amies. Cependant, elle restait très croyante et était persuadé que si elle continuait a prier, un jour, dieux finirait par l'entendre et lui donner une amie tant désirée. Avec le temps, l'hiver arriva et fini par l'installer, il faisait un froid glacial et la neige recouvrait toutes les collines, tout les champs et même toutes les maison. Dehors, les autre enfant s'amusait ensembles, il faisait de la luge, des batailles de boules de neige, on les voyait décorer les sapin a travers les vitre de leurs maison, la joie et la bonne humeur était au rendez-vous pour ce mois de décembre. Le 1er jour du mois, la petite fille décida de faire un bonhomme de neige en espérant trouver une amie qui aurais envie de faire le bonhomme de neige avec elle, malheureusement, personne ne venu a elle et elle resta un jour de plus a jouer seule. A la fin de la journée, son bonhomme de neige n'était pas le plus beau de tous, loin de là, il était petit, de la terre s'était mêlé a la neige, il n'avait pas d'écharpe ni de bonnet mais la petite fille le trouva très réussit et personne n'osa lui dire a quel point il était raté pour ne pas gâcher le peu de joie qu'elle avait en ce moment. A la tombé de la nuit, elle se mit a pleurer comme tout les soir et la, elle se rappela de sa journée, sans qu'elle ait eu le temps de s'habiller, elle avait déjà traversé la maison pour rejoindre son bonhomme de neige dans le jardin. Elle lui donnais un nom, lui mettais un bonnet, une écharpe, rajoutait de la neige blanche fraîchement tombé, ré-alignait les petits cailloux dessinant son sourire et le vaporisait d'eau pour parfaire sa silhouette. Quand elle fût fatigué et engourdie par le froid, elle retourna dans sa chambre et sourit largement, elle avait un ami, ce n'était que son bonhomme de neige mais c'était déjà quelqu'un dans son coeur, au lieu de prier pour avoir une amie ce soir, elle pria pour que son bonhomme de neige reste toujours son ami et qu'il ne parte jamais. Le lendemain matin, elle se leva et couru vers le jardin, son bonhomme de neige était toujours la et il était magnifique, elle le rejoint dans le jardin dès qu'elle pu et tout les gens qui passait par là la félicitait pour ce magnifique chef d'oeuvre. Tout les jours elle l'imaginait un peu plus vivant, un peu plus réel et le soir de Noí«l finit par arriver... Comme vous le savez, pendant la nuit de Noí«l, le miracle les plus extraordinaires se réalisent et les voeux des enfant sont particulièrement puissant or ce soir là, la petite fille imaginait le bonhomme de neige plein de vie, dansant, chantant, festoyant et s'amusant avec elle, c'était fantastique !!! Au beau matin, elle fit comme a l'accoutumé et couru voir si le bonhomme de neige était encore là mais a la place de la joie qu'elle ressentait habituellement en le voyant, elle senti son coeur s'effondrer sous le poids du chagrin, le bonhomme de neige n'était plus là. Elle ouvrit ses cadeaux tristement et retourna pleurer dans sa chambre pour se consoler de la terrible perte qu'elle venait de subir mais au bout de quelques minutes, elle entendit quelqu'un toquer a la fenêtre, elle jeta un bref coup d'oeuil et là, quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit son bonhomme de neige animé ! Elle sorti avec lui et alla jouer dans le bois, ils y passèrent une merveilleuse journée et le soir, la petit fille était la plus heureuse du monde. le temps passa, les jours de la petite filles était tous plus magnifiques les uns que les autres mais l'hiver touchait a sa fin. un soir, son père lui dit que si elle n'était pas polie avec ses amis, ils partirais ailleurs pour la punir de sa méchanceté, la petite fille y cru fermement et se mis en tête d'être très polie avec son bonhomme de neige mais un soir, elle oublia de lui dire au revoir avant de rentrer chez elle. Le lendemain, elle s'en souvenue et elle couru vers son bonhomme de neige mais elle ne trouva qu'une flaque d'eau et un soleil éclatant. Elle fût très triste car elle cru que c'était de sa faute si son ami était parti et elle culpabilisa pendant des semaine et des semaines puis un beau jour, elle se trouva une amie, puis une autre et encore toute une ribambelle. Son véritable cadeau qu'elle avait reçu ce Noí«l-ci en fait, c'était pas un jouet ou un bonhomme de neige, non, c'était le droit de croire en ce qu'elle voulait et que ça se réalise, elle était comme une magicienne parmi les hommes, elle avait dorénavant quelques chose de plus, quelque chose pour que ce que lui disent les autres ne l'atteigne plus comme une flèche mais comme une plume. FIN. voilà, ça c'est de moi et c'est pour dire que même si on vous aime pas, si vous vous sentez seul, vous vous sentez nul et faible, il y aura toujours quelqu'un pour penser a vous, quelque chose pour vous donner l'avantage enfin, de l'espoir en bref. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Salaha Luvia Posté(e) 2 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 2 janvier 2013 La porte de l'auberge s'ouvre sur un vieil homme vouté. S'appuyant sur un bâton noueux, il s'avance vers le feu. Aussitôt les enfants accourent. Un jeune garçon approche un fauteuil de la cheminée. Le vieillard s'y assoit comme d'accoutumé. Alors les bambins prennent place tout autour de lui. « - Quelle histoire vas-tu nous raconter ce soir ? - Celle de l'ourse et de l'enfant. » Sur le conteur sont fixés dix paires d'yeux émerveillés. Tout au fond de leurs prunelles brillent déjà mille étoiles. « - Notre histoire commence un matin de Campana... Le ciel était couvert, l'atmosphère humide. Il pleuvait depuis trois jours déjà. Pas la moindre éclaircie n'était visible à l'horizon. Jax était debout près de la fenêtre. Il contemplait avec envie les deux renards qui courraient dans le jardin. Il aurait tant aimé aller les rejoindre. Ce devait être amusant de courir ainsi, de sauter dans les flaques et jouer avec les feuilles. Si seulement sa maman n'était pas si peureuse. « Ce n'est pas un temps à mettre le nez dehors, tu vas tomber malade. » Malade ? Et quelle importance ? Il avait été malade une fois. Son nez coulait et il n'arrêtait pas de faire « atchoum ». Ce n'était pas bien grave. C'était vite passé, il n'avait pas eu mal. C'est tout juste s'il s'en souvenait. Il s'en moquait d'être à nouveau malade, s'il pouvait aller jouer dehors avec Truffe et Chaussette. Il s'approcha de la porte, posa la main sur la poignée... « - Jax, que fais-tu ? - Maman, s'il-te-plait. Je m'ennuie tellement. - Non. Si tu sors, tu vas attraper froid. Viens plutôt m'aider à préparer le repas. - Mais, papa est dehors lui. - Ton père travaille, c'est différent. Qui s'occuperait des réserves de bois si les bûcherons restaient chez eux à la première pluie venue ? - Mais... - Cela suffit ! » Le garçon fit la moue mais obtempéra. Le soir venu, il tenta sa chance avec son père. « - Papa, pourquoi je ne peux jamais aller jouer dehors ? - N'es-tu pas bien dedans ? Assis au chaud, près du feu ? - Non, on s'ennuie à la maison. J'aimerais tellement retourner jouer dans les bois. C'est beaucoup plus marrant. - Bon. Je vais te proposer un marché. J'ai prévu d'aller à la chasse dans deux jours. Si tu es sage, je t'emmènerais avec moi. - C'est vrai ? Vrai de vrai ? - Oui. Mais jusque là, tu restes sagement à la maison, d'accord ? » Le petit garçon sauta au cou de son père. Par un bisou, le marché fut conclu. Bien plus tard, alors que Jax dormait, ses parents veillaient encore. « - Tu es sûr que c'est une bonne idée ? - Ne t'inquiète pas, je veillerai sur lui. - Et qui veillera sur toi ? - Ellissa, tu t'inquiètes toujours trop. Nous n'avons plus vu trace de ce grizzli. Il doit être loin à l'heure qu'il est. Peut-être même a-t-il commencé à hiberner. Ne te fais pas de souci. » Il en fallait bien plus pour rassurer une mère, mais elle n'insista pas. Le jour de la chasse vint finalement. Hork troqua sa hache contre l'arc que lui avait offert son père le jour de ses dix ans. Ainsi le voulait la tradition de sa famille... rôdeur de père en fils. Dans deux ans, il offrirait à Jax un arc semblable. Il était temps qu'il assiste à sa première chasse. « - Tu es prêt ? - Oui ! » Ellissa regarda ses deux amours s'éloigner depuis le pas de la porte. Un étrange pressentiment l'habitait. Les deux silhouettes disparurent bientôt sous les conifères. « - Dis papa, pourquoi maman a-t-elle si peur des bois ? » Ils marchaient depuis moins d'une heure. La forêt allait s'épaississant autour d'eux. Le chemin disparaissait sous la mousse. Hork s'arrêta pour regarder son fils. C'est vrai qu'il avait grandi. « - Pourquoi penses-tu qu'elle a peur ? - Et bien, elle ne veut pas que j'aille dehors. Et puis, elle regarde toujours par la fenêtre quand tu n'es pas là. Je crois qu'elle a peur de la forêt. C'est depuis que tante Esmé est venue nous voir... - Hum. Bon, je pense que tu es assez grand pour savoir. » Posant la main sur l'épaule du petit curieux, il reprit d'un ton sérieux : « - Il y a six jours ton oncle a été attaqué par un grizzli. Il n'a qu'une blessure légère à l'épaule mais l'animal court toujours. Ta mère a peur qu'il ne vienne rôder près de chez nous. Voilà pourquoi elle ne te laisse plus jouer dehors. - Grand-père disait toujours que les ours ne sont pas méchants. Qu'ils sont les frères des rôdeurs. - Les grizzlis sont dangereux, Jax. Il faut être très prudent. Tu me promets de toujours faire attention ? - Oui, papa. Dis, c'est pour ça que maman était triste ce matin ? - Oui. Mais cet animal doit être loin maintenant. N'aie pas peur, je suis là. - Je sais, papa. - Bien, maintenant, silence. La horde ne doit plus être loin. » Ils reprirent leur marche à un rythme plus modéré. Hork avait appris à son fils à se déplacer en silence dans les bois. Le petit était doué. Même les feuilles ne bruissaient pas à son passage. Pour peu qu'il se débrouille avec un arc, il serait un bon rôdeur. Père et fils avancèrent ainsi une centaine de mètres. Comme leurs oreilles s'habituaient au silence, ils perçurent les bruits de la forêt. Là, un renard venait de se faufiler à travers un taillis. Ici, un oiseau prenait son envol. Plus loin, un écureuil s'élançait dans les branches. Jax adorait tous ces bruits. La forêt l'émerveillait et il rêvait de se fondre en elle. Son père s'arrêta soudain. Il plaça un doigt devant ses lèvres. Puis, il porta la main à son oreille. L'enfant écouta. Le bruit de l'eau lui parvint comme un murmure lointain. En se concentrant, il réussit à l'entendre distinctement. Ils approchaient d'une rivière. Les cerfs venaient souvent s'y désaltérer. La chasse commençait. Comme pour confirmer les conclusions de son fils, Hork sortit une flèche de son carquois et l'encocha. Il tira sur la corde sans la tendre complètement, puis reprit sa marche, plus discret que jamais. Jax lui emboîta le pas, avide d'expériences nouvelles. Une centaine de pas, une éternité pour un petit garçon. Sa patience était à rude épreuve. La chasse était-elle toujours aussi lente ? Son père s'immobilisa enfin. Lentement, il posa un genou à terre. Dissimulé derrière un fourré, il banda complètement son arc. La rivière était là, courant entre les berges vertes. Il se tenait de l'autre côté... un cerf majestueux. Son pelage était brun foncé. Ses bois étaient longs comme un bras d'homme. Immobile au bord de l'eau, il émanait de lui une véritable noblesse. Quand la flèche siffla, il tourna la tête vers eux. Un instant, l'espace d'une seconde, Jax perçut son regard. Il n'y vit pas la moindre peur, juste de la résignation. Alors quelque chose se brisa en son cœur. « - Viens. » Son père s'était levé et se dirigeait vers sa proie, morte. Il s'agenouilla près de l'animal. Il murmura quelques mots avant de retirer la flèche du corps encore chaud. « - Qu'as-tu dit ? - Un vieux poème elfe... ton grand-père me l'a appris. Je ne saurais te le traduire, mais il rend hommage à l'adversaire vaincu. C'est une tradition. - Le cerf était ton adversaire ? - Oui. Un noble adversaire avec qui je dois lutter souvent. - Pourquoi ? - Parce qu'il faut bien manger. - Papa... - Oui ? - Je n'aime pas la chasse. » Un sourire compatissant sur les lèvres, Hork se baissa pour ramasser la carcasse. Il avait été à la place de son fils un jour. Même s'il avait du mal à s'en rappeler maintenant. C'était un grand cerf. Ils auraient de la viande pour une période au moins. A l'approche de la saison froide c'était un cadeau. « - Fimine soit louée pour ce présent. » Alors qu'il se relevait, un grognement s'éleva derrière lui. Il eut tout juste le temps de se retourner. Le grizzli était sur lui. Une bête de trois mètres de haut. « Cours Jax ! » La patte de l'animal frappa l'homme à la tête. Le chasseur s'effondra, inconscient. « Papa ! » Le grizzli se tourna vers l'enfant. Terrifié, Jax s'élança dans les bois sans réfléchir. Persuadé que son père était mort, il courut pour sa vie. Les larmes brouillaient ses yeux, son souffle était court. Il courrait encore. Il avait froid, partout. Son cœur était glacé. Il courrait toujours. Ses jambes lui faisaient mal. Il ne devait pas s'arrêter. Il ne savait plus où il allait. Il était perdu dans les bois, la nuit allait tomber. S'il s'arrêtait le grizzli le dévorerait. Il devait courir, plus vite, plus loin... Il s'effondra, à bout de force. Quand Jax rouvrit les yeux, il se trouvait au pied d'un sapin. Le noir régnait autour de lui. La lueur des lunes parvenait tout juste à percer l'épaisse forêt. Quelques halos de lumière éclairaient de ci de là un rocher, un buisson, un tronc... Ce n'était pas assez pour se déplacer. Encore moins pour se repérer. Il s'assit et se blottit contre l'arbre. « Ne pas bouger, attendre les secours. Mais quel secours... » Il étouffa un sanglot comme lui revenait la vision de son père allongé au sol. Les bruits se multipliaient autour de lui. Les sons anodins de jour devenaient terrifiants de nuit. Un oiseau de passage, un renard en chasse, le vent dans les arbres... « - Fimine aide moi... » Un buisson bougea près de lui. L'ombre d'une immense tête se dessina dans les branchages. « - Non, pitié... » Jax s'évanouit. L'ours s'approcha de la créature. Il la renifla. Un grognement lui échappa. Son instinct lui criait « danger », « ennemi ». Pourtant, l'être était si petit. Il en fit le tour. Pas d'arme. Il le bouscula du bout de la patte. Pas de mouvement. Mort ? Non, ça respirait encore. Le corps frissonna. C'était petit, frêle, vivant et ça avait froid. Il sentit à nouveau. L'odeur se teinta d'un parfum plus familier. L'ours était une ourse. Elle avait été une mère, avant que les chasseurs ne lui prennent son petit. Les chasseurs comme celui qui avait voulu voler sa proie un peu plus tôt. Elle regarda l'enfant. Si elle le laissait là, il allait mourir. Elle l'attrapa et le plaça sur son dos. La grotte n'était pas loin. La charge était minime pour une ourse de sa taille. Elle fut bien vite chez elle. Elle posa le petit aussi délicatement qu'elle put. Le sol était de terre. Assez confortable pour un ursidé, il devait être rude pour un humain. Soucieuse du bien être de son invité, elle lui aménagea un lit de branchages. Puis, elle partit pêcher. Elle devait encore prendre du poids avant le long sommeil de la saison froide, et son invité aurait surement faim à son réveil. Quand Jax ouvrit les yeux, il faisait jour au dehors. Il était allongé sur un lit de branchages au fond d'une grotte. L'entrée de la caverne était assez grande pour laisser passer la lumière des soleils. Dans la pénombre, l'enfant distingua une source d'eau à quelques pas de lui. Un ruisseau coulait là, sortant de la paroi rocheuse pour donner naissance à un petit bassin. Il avait soif, il n'avait rien bu depuis des heures. S'il ignorait ce qu'il faisait là, il aurait tout le temps d'y réfléchir une fois désaltéré. Il se leva donc. Tout du moins, il essaya. Une vive douleur à la cheville le retint. Il s'assit, puis doucement retira sa botte. Sa cheville avait pris une couleur bleu-mauve. Libérée de la pression du soulier, elle enfla rapidement. Il se souvenait vaguement de sa course effrénée de la veille. Il avait du se faire une entorse. Comment allait-il rentrer chez lui maintenant ? Où était-il d'ailleurs ? Et... Un sanglot lui échappa comme l'image de son père inconscient lui revenait. « - Non, ce n'est pas possible... il ne peut pas... être... » Jax porta la main sur sa bouche comme pour s'empêcher de prononcer la suite. Il était seul, en un lieu inconnu. Il ignorait si son père était encore en vie. Il ne savait pas ce que serait demain, si seulement demain était. Il était perdu, blessé, assoiffé... « - Boire, je dois d'abord boire. Grand-père disait toujours, si tu es perdu, commence par chercher une source d'eau. » Luttant contre le désespoir qui lui serrait le ventre, il rampa jusqu'au bassin. L'eau était fraîche, revigorante. Il s'y abreuva longuement. « - Ensuite, soigner ses blessures... mais je n'ai pas d'herbes. » Il se souvint avoir perdu sa besace pendant sa course. Il ne lui restait que le petit canif qu'il portait toujours à la ceinture. Il était capable de reconnaitre les plantes médicinales. Son grand-père le lui avait appris avant de partir pour le dernier voyage. Mais comment allait-il les trouver s'il ne pouvait marcher ? « - De la nourriture et un endroit où s'abriter. Au moins j'ai déjà le second. » Il regarda le lit de branchages sur lequel il s'était réveillé. Un tel amas de branches n'avait rien à faire dans une grotte. Quelqu'un avait du le fabriquer. Quelqu'un qui l'avait déposé là. Quelqu'un qui allait bien finir par revenir. Quelqu'un qui... était peut-être son père. L'espace d'un fol instant, Jax se mit à rêver. Son père n'était pas inconscient. Il était juste tombé. Mais il s'était relevé. Il avait vaincu l'ours, puis il était parti à sa recherche. Il l'avait trouvé dans les bois et l'avait amené ici pour le soigner. Oui, Hork ne devait pas être loin. Il reviendrait bientôt le chercher et ils rentreraient chez eux. Sa mère les attendrait sur le pas de la porte, inquiète comme toujours. Il revoyait déjà la petite chaumière au milieu de la clairière, à l'orée des bois. De la fumée sortait par la cheminée. Sur le feu mijotait un bon repas. « GrrrreumUnf » Jax releva la tête. Une ombre se tenait à l'entrée de la caverne. Une silhouette massive qui n'avait rien d'humain... L'ourse s'approcha de son hôte. C'était réveillé. Ça avait bougé jusqu'à l'eau. Ça devait avoir faim aussi. Elle jeta à ses pieds les deux poissons qu'elle avait ramenés. Ça la regarda bizarrement. Ça avait peur. Elle le sentait. « Grumph ? » Elle pencha la tête sur le côté. Ça n'avait pas l'air de comprendre. Elle s'avança un peu plus, poussa le poisson du bout de la truffe. Ça recula, terrorisé. Ça sortit quelque chose. Un objet brillant... Le grizzli était revenu. Il était là pour lui. Jax tremblait de peur. Que pouvait-il faire ? Ce monstre avait attaqué son père, et maintenant il allait le tuer, lui. Il recula jusqu'à toucher la paroi rocheuse. Sa cheville lui faisait horriblement mal. Il était piégé, il ne pouvait pas fuir. En désespoir de cause, il sortit son canif. Il était fils de rôdeur, homme des bois, il ne se laisserait pas faire ! Ça avait peur. Ça transpirait la peur. C'était fragile, et menaçant à la fois. Les humains étaient si étranges. Elle aurait pu le réduire en pièces d'un seul coup de pattes. Mais ça n'était qu'un petit. Elle recula. Ça la regarda bizarrement. Ça avait l'air de comprendre. Le grizzli reculait. Jax regarda son petit couteau dans sa main serrée. Un tel animal ne pouvait avoir peur d'une si petite arme. Puis il vit le poisson. La bête l'avait posé devant lui. Était-ce pour lui ? « - Ce n'est pas possible. » L'ourse s'était assise. Leurs regards se croisèrent. Une seconde, un instant d'éternité. Ils se comprirent enfin. Les jours passèrent, la saison froide vint. La neige recouvra la forêt de son blanc manteau. Jax reprit vite des forces. L'ourse lui apportait de quoi se nourrir. Plus étonnant encore, elle lui ramena des racines d'Arnica. Il en fit un pansement pour sa cheville et peu à peu l'inflammation se résorba. A l'abri dans la caverne, il passait ses journées à regarder au dehors. Il ignorait ce qui était arrivé à son père. Était-ce le même grizzli qui les avait attaqués, et qui maintenant prenait soin de lui ? Parfois il l'espérait. Il se disait qu'un être si gentil ne pouvait pas tuer un homme. Sans cesse les leçons de son grand-père résonnaient en sa mémoire. Il disait que les ours avaient une âme eux aussi. Il se souvenait de cette histoire qu'il racontait toujours... « - J'ai parlé avec un d'eux une fois. J'avais tué un cerf sur son territoire. Il n'était pas content, je peux te l'affirmer. Il était debout devant moi, gueule ouverte. J'ai cru qu'il allait me tuer. - Qu'as-tu fait grand-père ? Tu as attaqué le premier ? - Non. Nos regards se sont croisés et j'ai compris. C'était son territoire, sa proie. Alors, j'ai reculé et je suis parti. Il m'a laissé en paix. Les ours sont nos frères, nous devons apprendre à vivre avec eux. » Son père était intervenu alors. Qu'avait-il dit ? Ah oui... « - Arrête avec tes bêtises papa. Le petit a passé l'âge d'écouter ces contes de bonnes femmes. Il ne deviendra jamais un homme si tu le berces d'illusions. Les grizzlis sont dangereux. Un jour, Jax devra les combattre lui aussi. » Pourtant, l'ourse qui partageait sa grotte avec lui n'avait rien de méchant. Elle était si douce, si gentille. Sans elle, lui aussi serait parti pour le dernier voyage. Son père pouvait-il se tromper ? Et où était-il maintenant ? Les journées se succédaient et se ressemblaient. Jax ne trouvait pas de réponse à ses questions. Plus d'une période avait du s'écouler quand, un soir, l'ourse vint le réveiller. Elle le poussa gentiment du bout de la patte jusqu'à ce qu'il ouvre les yeux. Alors elle s'exclama : « - Debout petit homme. » Il se redressa en un sursaut. « - Mais... tu parles !? Pourquoi n'as-tu rien dis jusque là ? - Aujourd'hui est un jour spécial », répondit l'ourse. L'enfant la regarda, hébété. Elle esquissa ce qui ressemblait fort à un sourire... un sourire d'ours. « - C'est Noí«l mon petit, le jour où tout devient possible. Viens avec moi. » Ils sortirent de la caverne. Alors l'ourse invita l'enfant à monter sur son dos. Ensemble ils s'élancèrent à travers la forêt. Ils parcoururent des milles et des milles. La neige défilait sous les pattes massives de l'animal. Elle courrait si vite qu'elle semblait voler. Défiant le vent, elle gagna rapidement la petite clairière à l'orée des bois. La nuit était sombre, les étoiles discrètes, mais la petite maison demeurait visible. Du toit blanc s'élevait de la fumée et les fenêtres étaient éclairées. « - C'est... c'est chez moi... - J'espère bien. Je n'aimerais pas avoir à courir comme ça plus longtemps. - Tu, tu crois que mes parents sont là ? - Il n'y a qu'une façon de le savoir, petit. » L'enfant descendit du dos de l'ourse et fit deux pas, avant de s'arrêter. Les souhaits pouvaient-ils vraiment se réaliser ? L'animal le poussa d'un léger coup de tête. Devant eux, la porte de la maison s'ouvrit sur une large silhouette. Un arc à la main, l'homme scrutait l'obscurité. « - Allez, ils t'attendent. » L'enfant se retourna une dernière fois. Il passa ses bras autour du cou de l'ourse, et l'étreignit de tout son cœur. « Merci », murmura-t-il, avant de s'élancer vers son père. Jax retrouva les siens cette nuit-là. Toutefois, au fond de son cœur les paroles de son grand-père étaient devenues certitude. « Les ours sont les frères des rôdeurs. Nous sommes semblables. Apprends à les comprendre, et tu n'auras jamais rien à craindre d'eux. » Dans l'auberge, le silence s'est fait. Les enfants regardent le conteur, les larmes aux yeux, le sourire aux lèvres. « - Alors Jax est finalement rentré chez lui ? - Il semblerait. - Il a eu beaucoup de chance tout de même. - De la chance ? Non, je ne crois pas. Pour qu'une chose se réalise, il faut y croire très fort. - Alors c'est juste parce qu'il le voulait qu'il est rentré ? - Peut-être, peut-être pas. Qu'en pensez-vous ? » Les enfants se regardent, hésitants. Puis, une petite fille qui ne doit pas avoir plus de sept ans se lève. Elle se dandine un moment, semblant réfléchir. Enfin, elle s'exclame : « - A Noí«l, tout devient possible ! C'est l'ours qui l'a dit. » Autour d'eux les adultes éclatent de rire. Mais dans son cœur la petite fille ne doute plus. Tous les rêves peuvent se réaliser, si on y croit vraiment. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Selene Posté(e) 4 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 4 janvier 2013 Le Conte des quatre Rocchus En des temps remontant à la création du monde tel que nous le connaissons, il fut une créature oubliée des Ages, oubliée même des légendes, une oeuvre brève mais issue des quatre divinités élémentaires, alors qu'ils étaient encore jeunes et pleins de fougue. Ainsi, aux cotés des six races Primaires mythiques, naquit également le Vulcanus. Chaque dieu s'accorda avec les autres pour y mettre la qualité qui selon lui était la plus précieuse. Vulfume lui donna l'étincelle de lumière, la chaleur de la vie qui brulait au coeur de la créature. Fimine fit en sorte que sa carapace comme son esprit soit aussi solide que le roc, pour résister à tout conflit. Posiscillon lui accorda la force tranquille de ses marrées, la persévérance qui finit toujours par aboutir Enfin Eolia le pourvu de douceur et de compassion envers les autres. Très vite, les Vulcanus furent connus comme des créatures modèles, toujours prêtes à aider leurs prochains, à résoudre pacifiquement les conflits car en ce temps là, les dieux comme les espèces vivaient encore en relative harmonie. Un jour, un évènement particulier ému les dieux qui gardaient un oeil bienveillant sur leurs protégés. Un oiseau un peu gauche qui ne payait pas de mine et possédant des ailes si petites et des pattes si grandes qu'il ne pouvait voler se trouvait en difficulté. Sans doute était-il voué à disparaître, victime d'une malformation malheureuse, mais un Vulcanus de passage le prit en pitié, et refusa de le laisser là agonisant, affamé et incapable de se débrouiller seul. Il alla chercher toute sorte de nourriture pour tenter de sauver l'oisillon, mais ce dernier refusait systématiquement de manger, sans doute déjà trop faible. La créature divine s'obstina, persévéra jusqu'à épuiser ses idées en terme de nourriture possible. Les dieux attendris par la scène se consultèrent et d'un accord commun accordèrent au Vulcanus un Don précieux. De son coeur il pouvait désormais extraire une petite perle comestible qui rendrait force et vitalité à qui le mangerais. L'oisillon accepta cette nourriture et recouvrit force et joie de vivre à l'instant. Depuis ce jour tout individu de cette espèce put posséder le même don.. En l'honneur de ces créatures, une fête fut organisée chaque année, On la nomma d'abord fêtes des lumières, symbole de l'étincelle lumineuse vivant au coeur de chaque Vulcanus. Plus tard, dans d'autres langues, cette fête fut appelée Noí«l. ........................................ Ainsi passa le temps mais un jour éclata la Guerre Divine des Élément, de nouvelles races apparurent, de nouvelles querelles, et les Vulcanus peinaient de plus en plus à réconcilier tout le monde, d'autant plus que même ses créateurs ne s'accordaient plus et avaient oubliés leurs créations.. Lorsqu'arriva plus tard Niue et Quen, désignés pour remettre de l'ordre en ce monde, ils ne trouvèrent plus qu'un dernier individus de cette race, solitaire et trop peiné par des années de déchirement pour jouer encore son rôle autrefois si apprécié. Niue ne vit en lui qu'une autre race déchue et imparfaite, indigne de l'Unique et se devant de disparaître. Avec force il projeta la pauvre créature et l'envoya se briser en quatre morceaux au sol, puis tourna les talons et repris ses activités destructrices. Vint alors Quen, qui pris pitié des quelques morceaux mais ne savait que faire. La divinité remarqua alors que de petites étincelles de couleurs s'évaporaient vers le ciel, les dons des dieux repartaient... Quen rassembla les morceaux épars du Vulcanus et dans l'un mis l'étincelle rouge, dans un autre l'étincelle verte, dans un troisième la jaune et le dernier morceau fur porteur de l'étincelle bleue. Ce jour là, de la pitié de Quen naquirent les Rocchus. De leur ancêtre commun ils gardent la capacité à libérer de petites pastilles qui redonnent de la force. Chacun est porteur de l'étincelle d'un des dieux élémentaires et d'un seul uniquement. Parfois, il peut lui arriver aussi de délivrer de petites perles étincellantes à la couleur de son élément.. Et c'est pourquoi le rocchus est la seule créature actuelle à exister sous quatre formes différentes.. Vraiment la seule? Non, car rappelez-vous ce petit oiseau trop haut sur patte... Son espèce prit l'habitude de se nourrir de perles de Vulcanus, puis ensuite de fragments de Rocchus, si bien qu'ils prirent peu à peu les couleurs de leur nourriture. Ainsi se scinda l'espèce des Voletous en quatre sous-espèce distincte Noí«l est toujours fêté à travers le monde, mais tous semblent avoir oublié son origine. Pourtant, au coeur de l'hiver et du froid, cette fête reste le symbole d'une lumière intérieur, d'un esprit de réconciliation, d'apaisement et de bonté. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sayanel Posté(e) 5 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 5 janvier 2013 (modifié) La parabole des oursinets gloutons. Voilà deux jours que petit grizzli gardait le lit dans le coeur chaleureux de la grotte maternelle. Il avait visiblement trop abusé du miel de Noí«l et maintenant, et son petit ventre et sa petite tête lui faisaient très mal. Étrangement frigorifié, il remonta à lui sa couverture en marmottes confectionnée la nuit dernière par sa maman. Il se rappela la leçon de sa maman au sujet de la dite couverture. Les marmottes ayant le sommeil lourd, il suffisait d'en trouver une cinquantaine, de les ramener dans la grotte puis de les nouer une à une, en utilisant queues et papattes et cela faisait une douillette couverture bouillotte. Le seul problème était pour les marmottes qui, à leur réveil, mettaient toujours des heures à se dépêtrer et à retrouver aussi le bon sens. Certaines confondant leur papatte avec celle de leur voisine, ce qui donnait à chaque fois lieu à une enquête pour savoir quel était le pelage le plus en accord avec celui de la papatte. Il en était encore à se morfondre en ses douleurs quand il entendit un petit bruit à côté de lui et, bientôt, put y discerner une lueur... et dans cette lueur se trouvait une oursonne miniature voire même minuscule qui lui souriait. Bonjour petit grizzli, dit l'oursonne d'une voix très douce, j'ai entendu dire que tu n'étais pas bien, poursuivit-elle. Oui, c'est vrai, dit le petit grizzli d'une voix chevrotant mais, mais, comment le sais-tu ? C'est ma maman qui te l'a dit ? Oh non, petit grizzli, c'est Papa Ours Noí«l qui était tout triste que ses cadeaux t'aient rendu malade mais comme maintenant il hiverne, c'est moi, la fée lutine et oursonne, qui suis venue t'apporter le remède. Le petit grizzli eut les yeux pétillants de joie et de curiosité. Et qu'est-ce que c'est ce remède, ça se mange, c'est du miel ? Malgré sa maladie, il salivait toujours de gourmandise. La petit fée lutine oursonne sortit alors un flacon de l'une de ses poches et plus le flacon approchait, plus il grossissait jusqu'à atteindre une taille pour petit ursidé. Le petit grizzli bavait de plus en plus en portant le précieux flacon à ses babines quand il lut l'étiquette, promesse de la grimace à venir "huile de foie de morue". Moralité: " A petit grizzli trop gourmand, le remède est souvent fort peu ragoutant " Modifié (le) 5 janvier 2013 par Sayanel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
calyso Posté(e) 5 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 5 janvier 2013 C'est la veille de noí«l et toutes les familles se sont réunies pour fêter cela. Dans l'une des maisons de Melrath Zorac, on s'active à finir de préparer le réveillon : les femmes s'occupent du repas tandis que les hommes se chargent du bois pour alimenter la cheminée durant toute la veillée. Les enfants, tout excités, courent autour de la table, se glissant entre les jambes des adultes. Seule la grand-mère ne s'agite pas frénétiquement dans tous les sens. Assise au coin de l'âtre, dans une chaise à bascule, elle tricote silencieusement à la lumière du feu. Lorsque les adultes s'exaspèrent de la turbulence des enfants qui leur en font voir de toutes les couleurs, c'est cette aïeule qui décide de ramener le calme. D'un geste elle invite les petits de s'asseoir devant elle, en demi-cercle, et pose son tricot sur ses genoux. « - Les enfants, et si je vous contais une histoire ? - Oh oui, mamie "˜rène ! s'exclame un petit garçon - Raconte nous celle des dragons, renchérit un autre - Non, moi je préfère celle avec des animaux tout mignons, s'exclame sa sœur - Et pourquoi pas avec de jolies princesses ? Ajoute une autre » Les enfants recommençant à se chamailler : c'est à celui qui parle le plus fort, la grand-mère frappe alors dans ses mains pour ramener le calme : " Vous ai-je déjà conté celle de l'Esprit d'hiver ? " demande t'elle Les enfants secouent la tête en signe de négation et se réinstallent en silence afin de ne pas louper le début. La vieille femme leur sourit, satisfaite et commence son histoire. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Il était une fois, il y a bien longtemps, au moment où notre bonne ville venait d'être construite, un petit garçon qui vivait avec sa mère dans une chaumière en fibres de palmiers. Ils n'étaient pas très riches et subvenaient tant bien que mal à leurs besoins en vendant les herbes médicinales que la jeune mère cultivait ou trouvait au-delà du désert. Le petit garçon aidait autant qu'il le pouvait, en chassant de petits animaux et en pêchant dans le lac à la sortie de la ville. Cela contribuait grandement à améliorer le repas du soir. Un jour, alors que les nuits se rafraichissaient et que la fête de noí«l n'était plus qu'à quelques jours. Le garçonnet tomba sur un vieillard qui faisait la manche dans une rue délabrée. Il n'avait sur le dos qu'un vieux manteau mité dont la capuche lui mangeait la moitié du visage et un bout de bois qui lui servait de bâton. La paillasse sur laquelle il était assis avait connu des jours meilleurs et ne devait guère l'isoler du froid. Pelotonné contre un mur, pour se mettre à l'abri du vent, il patientait, immobile, qu'une âme charitable dépose quelques piécettes dans son bol en terre cuite. L'enfant, un peu triste pour ce vieillard qui risquait de passer les fêtes dans la rue, alors que tant de gens allaient festoyer et s'amuser dans l'insouciance de ce qui se passait aux alentours, décida de lui donner le peu d'argent qu'il avait réussi à économiser depuis plusieurs jours pour faire un cadeau à sa mère. Il les laissa tomber dans l'écuelle et fila aussitôt jusque chez lui, avant que le vieil homme ne l'aperçoive, se disant que finalement il y avait plus mal loti que lui. Tandis qu'il s'enfuyait dans la nuit, le mendiant avait relevé la tête et suivait l'enfant de son regard gris. Cette nuit la le garçon avait pleuré en silence, sous sa couette, car il ne pourrait pas offrir la jolie pièce de tissu qu'il avait repéré pour sa mère. Les jours suivants, Alan ne revit pas le vieil homme. Sa place était vide ; seule sa paillasse prouvait à l'enfant qu'il n'avait pas rêvé, ainsi que sa bourse vide. La veille de noí«l, alors que la nuit était tombée et qu'ils s'apprêtaient à manger le repas du réveillon composé d'un coq à la bière et d'une bûche à l'orange que la maman d'Alan avait préparé avec amour pour faire plaisir à son fils, on frappa à la porte. Tous deux se levèrent d'un bond pour aller ouvrir, espérant qu'il s'agissait du père de famille disparu depuis des années, mais il ne s'agissait que du vieux mendiant qui avait frappé à toutes les portes, dans l'espoir de bénéficier d'une place au chaud en ce soir si spécial sans être accepté nul part. Un peu déçue mais ayant le cœur sur la main, la mère du petit Alan invita l'étranger à entrer et à prendre place à table. Malgré ce frugal repas, la soirée se passa dans la joie et la bonne humeur. Le vieux monsieur avait plein de choses extraordinaires à raconter au petit garçon qui l'écoutait, émerveillé. La mère oublia, durant quelques heures ses soucis et se prit elle aussi à rêver, jusqu'à ce que les bougies se consument une à une. Avant que la dernière ne s'éteigne, elle envoya son fils au lit et pria le vieil homme de rester pour la nuit. Elle lui installa une couverture au coin de la cheminée et, une fois que ce dernier fut allongé, elle parti à son tour se coucher. Le lendemain, à leur réveil, le vieil homme n'était plus là. A la place, ils découvrirent sur la table une corbeille de provisions remplie de fruits frais, de petits pains encore chauds et de viandes fumées ainsi qu'une petite bourse de pièces d'or pour subvenir à leur besoin. Il y avait aussi un joli arc en bois avec un petit carquois en cuir tanné remplis de flèches et un joli livre d'histoires pour Alan. Sa maman, quant à elle, se voyait offrir de jolies fleurs en pot et une jolie robe pour remplacer la sienne usée par endroit. Tandis que mère et enfant pleuraient de joie dans les bras l'un de l'autre en remerciant les dieux qui leurs avaient offert toutes ces belles choses ; le vieil homme disparaissait à l'horizon, sous la neige qui tombait à gros flocons. C'était la première fois qu'il neigeait en plein désert. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- « Et savez-vous qui était ce vieux bonhomme à la longue barbe blanche ? Ce n'était rien d'autre que l'Esprit d'Hiver qui avait récompensé cette famille, touché par leur générosité malgré leurs faibles moyens. Depuis ce jour, tous les ans, lorsqu'arrive la période froide et que la course des soleils se fait plus courte, on dit que vous pourrez croiser, aux abords de la ville, une personne dont le visage ne vous dit rien. Il peut s'agir d'un voyageur égaré, d'un vieux mendiant, d'un enfant orphelin, d'une mère triste ou d'une grand-mère qui à besoin d'aide. Cette personne n'est autre que l'esprit d'hiver qui vient voir si les humains méritent sa bénédiction. Aussi n'hésitez pas à rendre service à ceux qui en ont besoin afin qu'un jour, lorsque l"˜esprit sera satisfait, nous auront peut être la chance qu'une jolie pluie de flocons de neige tombe sur Melrath Zorac, le jour de noí«l. Et vous pourriez commencez par aider vos mères en mettant la table. » Les enfants se lèvent alors tous d'un même bond et posent couverts et assiettes sur la longue table espérant que l'Esprit d'Hiver les regardent, sous l'œil malicieux de la grand-mère qui reprend son ouvrage. 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Suyvel Posté(e) 6 janvier 2013 Signaler Share Posté(e) 6 janvier 2013 (modifié) Alors que le réveillon de Noí«l battait son plein au village du Souffle d'Eolia, Suyvel ressentit le besoin de s'isoler un peu. Elle sortit sous le ciel obscur de cette belle nuit d'hiver et déambula au hasard dans les rues pour une fois désertées. Désertées, mais pas tout à fait : une guerrière que la magicienne connaissait bien vint la trouver. « Suyvel ? Ca va ? Que fais-tu là toute seule ? » Ysabeau, sa bienveillante générale, s'était aperçue de son absence, et s'en était manifestement inquiétée. Sa sollicitude toucha Suyvel mais elle ne savait trop elle-même ce qui l'avait poussée à sortir ainsi... elle hésita et Ysabeau remarqua son manque d'assurance. La guerrière la connaissait bien. « Ca ne t'embête pas si je te tiens compagnie un moment ? » Et sans attendre de réponse de la magicienne, elle lui prit le bras d'autorité. Suyvel n'osa pas protester. Elles marchèrent en silence quelques minutes, puis Ysabeau revint à la charge : « Alors, qu'est-ce qui te préoccupe ainsi ? - Je ne sais pas... c'est cette fête de Noí«l, je crois... C'est une coutume humaine que j'ai découverte il y a déjà longtemps, mais j'ai l'impression de ne pas y être à ma place... - Ta place est ici, avec nous, et tu le sais bien. - Oui, bien sûr, mais... - Mais Kronan te manque, c'est ça, hein ? » Suyvel se mordit la lèvre. A l'intérieur de sa poitrine, c'était comme si quelque chose venait de se tordre. Le barbare avait quitté ces terres depuis plusieurs mois. Elle avait passé le précédent Noí«l en sa compagnie et cela était resté dans son souvenir le meilleur qu'elle ait vécu. Mais aujourd'hui, il devait être loin... Ysabeau la regarda avec compassion. « Qu'elle est dure, l'absence d'un ami qui vous est cher... Mais je crois connaître le remède idéal. » Suyvel la dévisagea, très intriguée. Les yeux de l'Ignée pétillaient de malice. « Trouve-toi un homme avec qui passer l'hiver, le cœur au chaud. L'amour te fera oublier ton vague à l'âme... - L'amour ? » Suyvel se sentit vaguement piégée. « C'est un sentiment humain que... je ne connais pas. - Oh, allez ! Il y a bien assez d'hommes dans ce village. Il y en a bien un pour lequel tu as un faible, non ? Un pour lequel ton cœur bat un peu plus vite ? - Je... je ne crois pas, non. » Ysabeau en fut quelque peu déboussolée. « Aucun ? Vraiment aucun ? - Je t'assure... je ne pense pas avoir jamais été amoureuse... et ce n'est pas faute de le souhaiter, pourtant... - Si tu le souhaites, tu trouveras l'amour. Tôt ou tard. - Tu crois ? Je ne suis pas humaine, après tout... c'est peut-être normal. - Tu ne vas pas me dire que les elfes noires sont incapables d'aimer ! - Dans la société drow, il n'y a pas de place pour l'amour, non. En aucune manière. Les préceptes de Lloth sont clairs : pas d'union entre hommes et femmes. Les mâles sont des êtres inférieurs auxquels il nous est interdit de nous attacher. La Reine Araignée apprécie d'ailleurs que les femmes lui offrent en sacrifice sanglant leurs anciens amants et concubins... - Quel monde horrible. Mais tu en es sortie ! Et celles qui l'ont quitté comme toi, elles ont certainement trouvé l'amour, elles. - Je ne... C'est possible... En fait, je viens juste de songer à un conte que j'ai lu dans un recueil d'histoire, à notre bibliothèque. - Un conte ? Tu veux bien me le narrer ? - Maintenant ? - Je ne connais pas de meilleur moment que la nuit de Noí«l pour cela. - Alors... d'accord. » Suyvel rassembla ses souvenirs de lecture. * * * * * C'était le jour de la Noí«l, il y a bien longtemps. Dans un long couloir résonnaient les pas des hommes en armure. Ils vinrent s'arrêter devant une lourde porte verrouillée qu'ils ouvrirent. A l'intérieur de la pièce se tenaient plusieurs femmes, qui en entouraient une plus jeune, affairée à un méticuleux travail de broderie sur une robe. Les chevaliers firent sortir les dames de compagnie, qui s'éclipsèrent prestement. Puis l'un d'eux s'avança vers la jeune femme. « Il est l'heure. » La jeune femme leva les yeux de son ouvrage et répondit : « J'ai presque fini. Encore quelques points et je vous suis. » Et une demi-heure plus tard, la troupe fit son entrée dans la cathédrale. Elle encadrait de près la jeune femme, qui avait revêtu la robe sur laquelle elle travaillait : une robe de mariée. Cela paraissait incongru en un jour de Noí«l car les prêtres ne célébraient usuellement aucun mariage ni aucun office autre que celui dédié à ce jour sacré. Mais la jeune femme n'était pas n'importe qui : elle était Tanith, fille du défunt Duc Tanawyn. Et surtout, elle allait épouser le Roi Anislas. Et à quoi bon être Roi, si l'on ne pouvait célébrer son mariage le jour de son choix ? Ce mariage était l'événement de l'année, peut-être de la décennie. Un mariage royal revêtait toujours une portée considérable. Mais celui-là avait fait parler dans tout le royaume, et le moins que l'on pouvait dire était qu'il ne faisait pas l'unanimité. Car Tanith allait épouser le meurtrier de son père. * * * * * « Quoi ? Le roi avait tué le Duc ? Le père de Tanith ? Quand ? Et pourquoi ? » Ysabeau n'avait pu retenir cette exclamation. Suyvel réfléchit un instant et répondit. « Il est vrai que je n'ai pas commencé cette histoire par son début chronologique. J'aurais peut-être dû... En fait, il faut remonter plusieurs siècles en arrière. En un temps où Melrath Zorac faisait partie d'une province dirigée par un grand noble. Une province entourée d'autres fiefs, appartenant à d'autres seigneurs, tous rivaux ou presque. Les guerres de voisinage étaient fréquentes... » * * * * * Ce fut dans ce contexte, en ces temps de combat incessant, qu'il foula ces terres pour la première fois. Tanawyn, l'elfe noir, était un renégat de son peuple. Il ne connaissait rien des conflits qui déchiraient les provinces et de leurs motifs, mais il savait qu'un homme aguerri dans le métier des armes trouverait sans peine à se faire employer. Et Tanawyn était un guerrier expérimenté. Sur les champs de bataille, sa vitesse et sa technique faisaient merveille, éblouissant ses alliés, terrifiant ses ennemis. A tel point qu'il fut bientôt suivi par toute une compagnie d'humains qui souhaitaient combattre à ses côtés. Tanawyn n'avait pas de parti-pris dans ces conflits, aussi se fit-il mercenaire et vendit-il ses services au plus offrant. Ses services et ceux de sa troupe, toujours grandissante. La Compagnie de l'elfe noir se tailla une réputation à la pointe de l'épée. Cependant, Tanawyn commença à se lasser de ses combats sans but. Ce fut alors que son chemin croisa celui de l'homme qui allait changer sa vie. Le Baron Branislas était un jeune chevalier, un de ceux qui guerroyaient sur ces terres disputées. Sa situation était critique : son puissant voisin l'assaillait sans relâche. Alors qu'il était presque acculé à défendre son château familial, il eut vent du passage dans la région de la compagnie de l'elfe noir. Sans hésiter, il chevaucha en personne jusqu'à leur campement et demanda à rencontrer Tanawyn. La négociation fut certainement difficile car Branislas n'avait guère les moyens de payer une troupe de mercenaires réputés. Nul ne sut ce que les deux hommes se dirent ce jour-là... mais lorsque le château du baron fut effectivement menacé, Branislas fit une sortie, et Tanawyn accourut avec sa troupe, qu'il engagea dans la bataille, attaquant l'ennemi sur son flanc. Leur victoire fut si complète que dans la foulée, Branislas put soumettre le fief de son ennemi. Ces mois de combat côte à côte avaient rapproché les deux hommes. Branislas et Tanawyn en étaient venus à s'apprécier mutuellement, et de ce respect mutuel naquit une amitié profonde. Le baron avait beau sembler être un seigneur de guerre parmi d'autres, il était néanmoins animé d'un but différent. Un jour, il confia à l'elfe noir son grand dessein : il souhaitait mettre fin à ces guerres interminables qui ravageaient la contrée, en unifiant tous les seigneurs sous une seule bannière. Et il lui demanda s'il l'accompagnerait. Tanawyn aurait accepté à la condition expresse que cette bannière soit celle de Branislas. Et ce fut ainsi que l'elfe noir fut le premier à jurer fidélité à celui qui allait devenir le roi de cette contrée. Il fallut aux deux hommes près de vingt années de guerre pour parvenir à vaincre tous les seigneurs rivaux et à fonder un royaume unifié. Branislas devint roi, et fit de Tanawyn un de ses barons, puis un duc auquel il confia un riche fief, et enfin le grand connétable du royaume. Tant et si bien que, lorsque Tanawyn épousa l'une des filles de Branislas, nul ne s'en étonna. Il était au faîte de sa puissance et de sa gloire. Mais une telle ascension ne s'était pas faite sans susciter des jalousies parmi les grands du royaume. Surtout s'agissant d'un étranger, qui n'était même pas un humain. Lorsque Branislas mourut, à un âge avancé, les envieux surent qu'ils tenaient là une opportunité à saisir. Stanislas, fils aîné de Branislas, fut couronné. Très vite, une partie de son entourage lui fit remarquer la menace que faisait planer Tanawyn sur son trône. Le Duc Tanawyn était alors le noble le plus puissant du royaume après le jeune roi, et béni de la longue vie accordée aux races elfiques, il était toujours vaillant et encore plus expérimenté dans l'art de la guerre. En outre, s'il n'avait aucun droit au trône, ses fils, issus de son mariage avec une tante du nouveau roi, étaient de fait les cousins du souverain. Si la lignée de ce dernier venait à s'éteindre... alors un demi-elfe noir pourrait prétendre au trône. Les années qui suivirent virent de nouveaux conflits naître avec des royaumes voisins, inquiets de l'apparition d'une nouvelle puissance. Le Roi Stanislas marcha contre les envahisseurs et, à chaque fois, il demanda à Tanawyn de tenir l'avant-garde avec ses troupes. Tant et si bien que la province du Duc paya le plus lourd tribut en vies humaines. Conscient que cela devenait un problème grave pour ses sujets, le Duc conseilla d'autres stratégies au Roi, puis l'implora de faire cas de la vie de ses soldats. Le Roi promit d'y songer et ne fit rien : il voulait affaiblir son puissant vassal. Tout cela prit de telles proportions que le Duc se trouva un jour face à un dilemme terrible, pris au piège entre sa loyauté à la Couronne et ses devoirs envers ses sujets. Ses appels à la raison ayant été ignorés par le Roi, il se résolut à une décision extrême : faire sécession du royaume. Mais hélas, cela fut perçu par le Roi comme la preuve que sa méfiance envers le Duc était justifiée. Il convoqua parmi les pairs du royaume tous ceux qui souhaitaient combattre l'elfe noir et leur ordonna de lever leurs troupes. Les armées royales, impressionnantes en puissance et en nombre, marchèrent contre le Duc, écrasant toute résistance et brûlant tout sur leur passage. Tanawyn, sachant qu'il ne pouvait faire front, opta pour une stratégie de harcèlement permanent et de raids meurtriers. Ce fut néanmoins insuffisant pour briser l'assaut puissant de Stanislas, et bientôt le château ducal fut assiégé. Longtemps, Tanawyn fit tenir ses troupes, déchaînant l'enfer sur la tête des assaillants. Il leur fallut des mois pour seulement enfoncer les portes principales. Alors l'avancée des armées royales fut irrésistible. En quelques jours, la basse ville fut prise. Après quoi, ce fut le tour de l'enceinte de la citadelle. La résistance se regroupa dans le donjon, puis dans la salle d'honneur, où Tanawyn se tenait, aux côtés de sa famille "“ femme, fils et filles, y compris la jeune Tanith. Ce fut le dernier combat de Tanawyn. Il fit preuve de toute la virtuosité de combattant qu'on lui connaissait, semant la mort dans les rangs de ses ennemis, mais c'était sans espoir : submergé sous le nombre, il fut capturé vivant et amené devant le roi Stanislas... * * * * * « Et Tanith ? Elle a donc survécu à cette bataille ? » Ysabeau n'avait pu s'empêcher d'interrompre le cours du récit. Suyvel acquiesça. « La fille du Duc était encore jeune à cette époque. Son père, fidèle à certaines traditions drows, lui avait enseigné les rudiments du métier des armes, mais on n'avait jamais attendu d'elle qu'elle se batte. Elle grandissait dans un milieu très protégé. Lorsque l'assaut final fut lancé, Tanith chercha simplement un abri pour échapper aux soldats du roi. Elle connaissait bien la salle d'honneur et y avait trouvé une cachette qui lui avait maintes fois permis de se soustraire à la vigilance de sa gouvernante et, une fois encore, personne ne la trouva. Mais elle fut le témoin de tout ce qui se passa... » * * * * * Tanith vit son père traîné devant le Roi Stanislas. Celui-ci dégaina son épée, en appliqua la pointe sur la gorge du Duc, puis la tendit à son fils aîné, le Dauphin, Anislas. Il lui ordonna de tuer son ennemi. Or le Prince Anislas ne partageait pas les vues de son père au sujet du Duc. Son enfance avait été bercée par les récits des faits d'armes de Tanawyn et il lui vouait en secret une admiration sincère. Il n'avait jamais vu en lui un ennemi de la Couronne. L'attaquer et le déchoir était déjà injustifié à ses yeux, le tuer alors qu'il était prisonnier lui parut infâme. Il finit néanmoins par faire ce que son père le Roi exigeait de lui. Lorsque la tête de Tanawyn roula au sol, le Roi aurait dit à son fils : « Il est temps pour toi de savoir tout ce qu'implique être roi. » Selon la légende, Anislas serait tombé à genoux devant la dépouille de Tanawyn. Le siège avait duré l'été et tout l'automne. Tanawyn périt le jour de Noí«l. Le Roi et ses barons décidèrent de laisser leurs soldats célébrer ce jour à leur guise. Ivres de vin et de vengeance, les soudards des armées royales se livrèrent aux excès les plus atroces : les viols sur les femmes de la ville furent sans nombre, des soldats prisonniers et des civils furent tourmentés, suppliciés, crucifiés, pendus ou encore brûlés vifs. De tout cela, Tanith fut la spectatrice impuissante. La cruauté humaine se révélait à elle dans toute son horreur et elle en fut marquée à jamais. Avant l'aube, elle parvint enfin à se faufiler hors des murs de la cité, sans être repérée, et alla chercher refuge du côté d'un lac qui lui était familier. Au milieu de la matinée, elle en rejoignit la rive. Elle eut la surprise de constater qu'elle n'y était pas seule : un jeune homme en armure fixait l'étendue liquide. Elle eut un choc en reconnaissant l'assassin de son père ! C'était le Prince Anislas qui se tenait là, immobile. Tourmenté par son acte, il avait fui la fête morbide. La fureur que Tanith ressentit alors l'emporta sur la raison : ramassant une pierre, elle se jeta en hurlant comme un démon sur celui qu'elle détestait de toute son âme. Si Anislas fut surpris, il sut néanmoins réagir. Il était passé entre les mains des meilleurs maîtres d'armes du royaume. Et si Tanith n'avait que douze ans, lui en comptait dix-sept. Il déséquilibra la jeune fille et la fit choir, et Tanith se retrouva vite à terre, sur le dos, les bras fermement maintenus au sol et une dague pressée contre sa gorge. Ce fut seulement à cet instant, alors que leurs visages étaient proches, qu'Anislas reconnut son agresseur. Il l'avait déjà vue plus jeune, dans des réceptions à la cour du Roi. Et il avait entendu des hommes de son père dire que le corps d'une des filles du Duc n'avait pas été retrouvé, et qu'elle pouvait donc être encore en vie. Il en manifesta un grand trouble. Au final, il fut incapable de prendre la vie de la jeune fille. Alors il fit une chose extraordinaire : il fourra la garde de la dague dans la main de Tanith puis se releva en la libérant de sa prise. Il lui dit alors : « Ta vengeance est juste. Je n'essaierai pas de m'y soustraire. » Tanith hésita. Etait-ce lié au comportement inattendu du Prince ? A son apparent repentir ? A son regard que l'on disait clair comme l'aube ? Toujours fut-il que Tanith sentit sa colère s'évanouir et ne put se résoudre à frapper celui qui lui offrait sa vie. Puis d'un coup, elle se jeta sur lui et le mordit cruellement au cou. Ensuite elle bondit dans les fourrés alors que des voix d'hommes "“ celles des hommes du Prince "“ se faisaient entendre. L'absence d'Anislas avait fini par être remarquée. Et Tanith s'enfuit, entamant une vie de vagabondage. Il lui fallut apprendre à survivre seule en plein nature, y compris durant l'hiver. Elle dut faire montre de toute sa volonté de vivre, notamment quand elle fut cernée par une bande de loups affamés. Certaines rencontres l'y aidèrent. Quelques personnes la reconnaissaient parfois et, en mémoire de son père le Duc, ils l'aidaient comme ils le pouvaient. Un vieux rôdeur finit par la recueillir et elle apprit beaucoup de lui : la façon de chasser, de trouver sa pitance en pleine nature, de se cacher, d'effacer ses traces... car elle était poursuivie par les hommes de main du Roi Stanislas, désireux d'éteindre la descendance de Tanawyn une fois pour toutes. Sa route fut régulièrement entrecoupée de combats, qu'elle gagna invariablement. Outre sa vigueur physique et sa grande rapidité, elle bénéficiait d'un avantage : les soldats à ses trousses ne voyaient en elle qu'une jeune fille sans défense. Le temps qu'ils réalisent à quel point ils se trompaient, ils étaient généralement déjà morts. A quinze ans, elle était une combattante accomplie et une rôdeuse capable de survivre partout. Elle fit alors une rencontre qui changea radicalement sa triste existence, en la personne d'une vieille veuve. Celle-ci la cacha chez elle et lui donna l'éducation qui convenait à une damoiselle. Ce fut à cette époque qu'elle apprit la broderie. Ces deux années passées aux côtés de la vieille femme furent les plus paisibles de son existence. Mais Tanith devait apprendre qu'il existait pire que les loups : les chiens de guerre. Les hommes du Rois retrouvèrent sa trace et massacrèrent la veuve. Tanith ne put la sauver et dut faire appel à tous ses souvenirs de sa vie passée pour se sortir de ce guêpier. * * * * * « La pauvre ! s'exclama Ysabeau. Le destin s'acharnait sur elle... Et elle a réussi à s'enfuir ? - Mieux que cela : elle a tué tous les soudards. Aucun d'eux n'avait soupçonné à quel point Tanith apprenait vite et bien. C'était sa grande force... Sans cela, elle serait morte très vite. Bien sûr, la mort de la veuve l'a jetée à nouveau sur les routes, où elle reprit son existence de rôdeuse. Elle était sans cesse persécutée par les hommes du Roi et elle en eut vite assez de cette vie... » * * * * * Tanith, à dix-neuf ans, était déjà blasée. La vie lui semblait sans intérêt. Ce fut alors qu'elle se trouva un but : venger son père. Elle s'en sentait capable. Elle se mit donc en quête de retrouver tous ceux qui avaient trempé dans le complot contre Tanawyn. Dès qu'elle eut identifié un baron comme comploteur, elle se mit en quête de le retrouver. Elle s'arrangea pour le coincer alors qu'il était seul dans sa chambre. Elle l'interrogea sur ses complices, lui fit avouer quelques noms et l'égorgea en souvenir de Tanawyn. Elle appliqua la même méthode aux suivants et put ainsi identifier tous les coupables. Elle suivit donc la piste du sang... A vingt-et-un ans, Tanith était l'assassin le plus recherché du royaume. Tous les comploteurs avaient péri. Tous sauf deux : le meurtrier "“ le Prince Anislas "“ et le responsable "“ le Roi Stanislas. Deux cibles qui paraissaient hors de portée de Tanith, à cause de la surveillance de tous les instant dont ces deux-là faisaient l'objet. Pourtant, un jour, le Roi défilait sur son chariot, assis dans un fauteuil à baldaquin, entouré de ses chevaliers, lorsqu'une ombre sauta du toit d'une maison voisine et, en un bond incroyable, atterrit sur le baldaquin pour le transpercer d'un même geste. L'épée trouva le crâne du Roi. Le tout n'avait pas pris plus de quelques secondes. Même les chevaliers du Roi, à quelques pas de lui, n'avaient pu réagir. Néanmoins, lorsque Tanith dégagea sa lame, elle fut assaillie de coups de lance de toute part. Pour en éviter un bien placé, elle dut sacrifier son équilibre et tomba sur les pavés de la route. Aussitôt, elle fut cernée et aurait été mise en pièces si un cri jailli de la foule n'avait pas distrait les chevaliers du Roi de leur colère. « Le Roi est mort ! » A côté du Prince Anislas, qui chevauchait avec la garde, le capitaine tira son épée et clama : « Vive le Roi Anislas ! » Et Tanith fut amenée manu militari devant lui pour être jugée. Tous s'attendaient à une sentence de mort "“ avec exécution publique immédiate "“ pourtant, telle ne fut pas la décision d'Anislas. Il fit mettre la prisonnière au cachot et l'y laissa le temps de son couronnement. Puis il vint la trouver en personne et lui fit la plus étrange des propositions. Elle tenait en deux mots. « Epouse-moi. » Et Tanith accepta sa demande. * * * * * Nouvelle exclamation de surprise de la part d'Ysabeau. « Il lui a demandé sa main ? Et elle a accepté ?! » Suyvel eut un léger haussement de sourcils. « Aussi surprenant que cela paraisse... oui. - Le prince estimait peut-être que chacun ayant tué le père de l'autre, il était préférable de tirer un trait sur leur terrible passé et de construire l'avenir ensemble... Mais il est étonnant de penser qu'une demi-elfe noire allait ainsi devenir la mère des futurs princes. - Demi-elfe noire, oui, mais il paraît qu'elle avait plus l'air d'une humaine. A ce qu'on dit, elle avait hérité des traits de sa mère, et du tempérament de son père. A part son teint plus mat et ses oreilles un peu allongées, rien ne la distinguait vraiment... Et selon la légende, c'était une belle jeune femme. - Et elle a dit oui... Elle se souvenait de sa rencontre au bord du lac, certainement... Quelque chose a dû naître entre eux ce jour-là... - Sans doute. Il n'en restait pas moins qu'Anislas dut soustraire sa promise à la vindicte populaire, qui réclamait sa tête pour le meurtre du Roi. Il la fit garder dans une pièce de son palais, sous haute surveillance, par ses chevaliers les plus fidèles, avec pour elle l'interdiction de sortir et de posséder une arme. - Une vie de prisonnière... la pauvre. - Oui mais elle était traitée avec tous les égards. Et elle obtint une faveur spéciale : celle de broder elle-même sa robe de mariée. Dès que les esprits se furent calmés, le Roi fit publier les bans de mariage... » * * * * * Tout le royaume était en effervescence. Le Roi allait épouser celle qui avait tué le Roi son père, et celle-ci accordait sa main à celui qui avait mis fin aux jours du Duc Tanawyn. Les mauvaises langues allaient bon train, disant que ce mariage était maudit. D'autres y voyaient l'expression du plus pur romantisme. Mais tous étaient d'accord sur un point : ils doutaient que le mariage puisse réellement se faire. Pourtant, en ce jour de Noí«l, tous les seigneurs du royaume étaient massés dans la cathédrale pour assister à la messe de mariage. La tension fut à son comble quand la mariée parut au bout de l'allée. Sa robe était superbe, et ceux qui purent la voir de près constatèrent que des scènes y avaient été brodées. Certains comprirent qu'il s'agissait là d'un tableau, retraçant les moments importants de la vie de Tanith, immortalisés par son art. La mort de son père... la rencontre avec Anislas, au lac... sa fuite dans la forêt... son combat avec les loups... la mort de la veuve... celle du Roi Stanislas... tout était là, en un témoignage ouvragé que beaucoup jugèrent déplacé. L'office débuta et survint finalement l'échange des consentements. Lorsque le Roi fut interrogé, il répondit d'une voix haute et claire : « Oui. » La question fut alors posée à Tanith. Celle-ci hésita longuement, laissant un silence de plomb s'abattre sur l'assistance. Certains jugeaient qu'elle abusait, d'autres estimaient que sa réponse n'était pas requise, car si la volonté du Roi était de l'épouser, qui était-elle pour s'y opposer ? Mais Anislas ne dit rien et lui laissa tout le temps nécessaire pour donner sa réponse. Tanith finit par ouvrir les lèvres... « Oui. » Le prêtre les déclara mari et femme. Alors ils se firent face. Discrètement, Tanith tira de la manche de sa robe une grande aiguille de broderie qu'elle avait réussi à dissimuler à ses gardiens. Anislas vit néanmoins son geste mais n'appela pas ni ne se recula. Il la regarda dans les yeux et lui murmura : « Je savais que tu n'abandonnerais pas. C'est aussi pour cela que je t'aime. » Il défit son col pour lui montrer une chose que Tanith devina avant même qu'il l'explique. « Je porte encore la marque de tes dents, depuis notre rencontre au lac. » Puis il écarta largement son col, offrant son cou. « Frappe juste. » Ce fut ce qu'elle fit. L'aiguille s'enfonça dans le côté gauche de son cou, jusqu'aux centres nerveux vitaux. Anislas eut encore la force d'articuler : « Lorsque je serai dans l'autre monde, j'irai trouver ton père... et je lui demanderai son pardon. » Lorsque le corps d'Anislas heurta le sol, il était déjà mort. Tout avait été si vite et si discret que les chevaliers, pourtant aux aguets, n'avaient pu réagir. Et lorsqu'enfin ils se ruèrent vers l'autel, Tanith tourna l'aiguille contre elle et en frappa son sein, perçant son propre cœur. Cette fois, elle ne les laisserait pas la prendre vivante... Son corps s'affaissa sur celui de son mari, dans une débauche de broderies. Nul n'avait compris que sa robe de mariée ne constituait pas le témoignage de son existence, mais son testament... * * * * * « Et voilà, fit Suyvel. Telle est la réalité de ma race : nous sommes plus portés à la vengeance qu'à l'amour. Et une fois celle-ci accomplie, Tanith n'avait plus de raison de vivre. Elle a choisi de mettre fin à son existence sans but... - Ce n'est pas que je viens d'entendre, dit doucement Ysabeau. Tanith a voulu accomplir sa vengeance quoi qu'il lui en coûte, mais elle n'a pu supporter d'être séparée de celui qu'elle aimait. A tel point qu'elle a choisi de le rejoindre dans la mort... - Tu... tu crois... ? - Oui, j'en suis persuadée. Et si une elfe noire aussi implacable que Tanith a pu aimer celui qui avait le sang de son père sur les mains, alors toi aussi tu portes en toi la capacité d'aimer... Il faut juste que tu trouves celui qui s'accordera à ton cœur. » Cette révélation frappa Suyvel. Elle n'avait jamais envisagé cette histoire sous cet angle... Brusquement, quelque chose chavira en elle et elle se retrouva secouée par un gros sanglot, agrippée au cou d'Ysabeau. Des années d'éducation sévère, à réprimer toute forme de sentimentalisme, venaient d'être mises à mal. Sans prévenir, le barrage mental avait cédé devant le flot grandissant de ses émotions. Des larmes roulèrent le long des joues de Suyvel et vinrent se mêler aux flocons de neige sur la cape d'Ysabeau, pour y geler et refléter de mille feux la clarté des lampions de fête. Sur ces terres déchirées, oubliées des dieux et même du Père Noí«l qui les avait désertées, peut-être restait-il malgré tout un peu de la magie de Noí«l "“ suffisamment pour vaincre l'insensibilité d'une elfe noire... FIN. Modifié (le) 6 janvier 2013 par Suyvel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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