Panda Man Posté(e) 24 novembre 2015 Signaler Share Posté(e) 24 novembre 2015 (modifié) Ecrire sur du cuir n'est pas chose aisée, surtout lorsqu'on commence à s'y mettre croyez moi.Le Panda s'afférait depuis maintenant un heure à écrire on ne sait quoi sur un cuir étendu sur une table.Il réussi non sans mal, mais réussi à faire ce qu'il voulait. On pouvait voir un bloc de papier entouré de ce cuir auquel il donnait tant d'acharnement depuis l’après-zénith. Exploration en eaux troublesLe guide des espèces animales et végétales de la Terre des Eléments. Livre rédigé par Panda ManAvec la collaboration de Freterral, référent naturaliste de l’Académie. Modifié (le) 24 novembre 2015 par Panda Man Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Panda Man Posté(e) 24 novembre 2015 Auteur Signaler Share Posté(e) 24 novembre 2015 (modifié) Lorsqu'on ouvrait le livre, après avoir passé une nouvelle fois le titre, mais cette fois ci sur papier, et non pas sur la couverture, on pouvait lire : Ce livre a été rédigé dans l'unique but de répertorier tout ce qui peuple notre terre ainsi que leurs particularités. Certains éléments peuvent être choquants, d'autres beaucoup moins. Tout ce qui sera noté aura été vérifié, mais beaucoup de choses peuvent manquer et peuvent être rajoutées si des éléments nouveaux sont découverts ou rapportés. Saches qu’il a été rédigé grâce à l’encre de poulpeuse (Tremoctopus sp.) fraichement dépecé, sur du papier à base de lin (Linum usitatissimum) [Fabrication artisanale par Aqral et fils]. L’outil qui a permis de poser à plat tout ce baratin intellectuel que tes yeux lisent n’est ni plus ni moins qu’une plume de phoenix arc-en-ciel (Gallus arcus). La couverture quant à elle est issue du tannage d’un cerf d’Irliscia (Cervus irlisciaeus). Modifié (le) 24 novembre 2015 par Panda Man Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Panda Man Posté(e) 25 novembre 2015 Auteur Signaler Share Posté(e) 25 novembre 2015 (modifié) Lorsque l’on ouvre à la première description, on observe une illustration animée par magie de l’individu décrit. Le rocchus – Petram coloratumL’une des espèces les plus meurtris de cette terre, elle a été victime de ses deux plus grandes faiblesses :Sa quasi impossibilité de se mouvoir ainsi que sa très faible aptitude à pouvoir riposter.Il existe en plusieurs couleurs, sa carapace faite d’éclats de roche lui fournit un corps solide, si vous lui asséné quelques violents coups, ce dernier se fissurera et il ne restera presque que les éclats qui composaient sa structure externe, on peut néanmoins observer un liquide s’enfoncer dans le sol. L’intérieur de du rocchus est tout autre, un corps mou, presque visqueux, lorsque son enveloppe rigide se casse, ces fluides vitaux s’infiltrent dans le sol et sembleraient pouvoir redonner un rocchus s’ils trouvent les éléments nécessaires à sa recréation.La reproduction du rocchus est aussi étrange que l’observation mentionnée ci-dessus. En effet, ces derniers seraient hermaphrodites, et lorsque le temps se fait gris et que la pluie tombe à une période définie dans l’année, on observe une expulsion de masses colorées (suivant la couleur du rocchus) par différentes fissures de la bogue des rocchus. Les masses se mêlent à l’eau qui ruisselle et n’est plus décelable. De nombreuses personnes rapportent néanmoins l’apparition de rocchus où des marres d’eaux se forment durant le mois de Pluvia.La grande capacité de régénération du rocchus semble être sa force, sa reproduction quant à elle semble contribuer à la non disparition de l’espèce plutôt qu’à la colonisation de nouveaux espaces.La possibilité de mixage des différentes sous espèces de rocchus n’a jamais encore été observée, seul un mythe raconte la présence d’un rocchus d’une taille bien plus élevée que la normale arborant de multiples couleurs. Modifié (le) 25 novembre 2015 par Panda Man Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Panda Man Posté(e) 16 décembre 2015 Auteur Signaler Share Posté(e) 16 décembre 2015 (modifié) Le Nasylaire – Nasum commune Voilà une espèce méconnue de la terre des éléments, le Nasylaire dit commun. Ces humanoïdes grégaires vivant dans la forêt d’Irliscia est de forme globulaire avec un nez protubérant qui lui a valu sa dénomination. Ces êtres sont craintifs, et peu de gens se sont déjà intéressés à eux.Une récente découverte les éloigne des autres humanoïdes connus. En effet, la protubérance nasale à laquelle on lui prête un grand odorat ne serait rien, une narine servirait effectivement au sens de l’odorat tandis que l’autre comme orifice excréteur et reproducteur. Le nasylaire ne produit que très peu de fèces, son grand tube digestif lui permet d’excréter que très peu de matière fécale, couplé à sa capacité de recyclage d’eau il ne rejette que des petits amas blanchâtres que tout le monde apparentait à du mucus séché.La reproduction est assez complexe, le mâle expulse des spermatocytes (sortes de capsules de spermatozoïdes) dans la narine reproductrice de la femelle qui garde la semence jusqu’à sa mort. En effet, cette espèce sémelpare (ne se reproduit qu’une seule fois, à la fin de sa vie) meurt avec sa progéniture en elle à cause de son implantation placentaire mal placée. La majorité du temps ce sont des jumeaux ou triplés, qui assurent un renouvellement de l’espèce. Une éducation brève des petits se fait par le groupe de nasylaires du couple. Modifié (le) 16 décembre 2015 par Panda Man Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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